De ma fenêtre, je vois le beau ciel de printemps me réveillant chaque matin.

Je vois les riverains promener leurs chiens.

Je vois le parisien ne faisant plus de va-et-vient, restant confiné avec les siens.

La ville-lumière s’éteint.

 

De ma fenêtre, j’entends les encouragements du voisinage.

Par ses cris on retrouve le sens du partage.

J’entends que le virus fait des ravages.

 

De ma fenêtre je sens l’odeur du printemps.

Je sens le vent qui m’emporte vers un nouvel horizon, pour enfin sortir de cette prison. 

 

Ihssene Slimani 3ème4