De ma fenêtre, j’entends un Paris calme, les oiseaux qui chantent, les feuilles bruyantes à cause du
vent, mais beaucoup moins de bruits que lorsque nous n’étions pas en confinement, et, le soir à 20 heures,
j’entends le voisinage applaudir et féliciter les soignants.

De ma fenêtre, je vois le ciel bleu, les oiseaux qui volent, beaucoup de bâtiments et le jardin de
l’immeuble.

De ma fenêtre, je sens un air frais, sans odeur particulière, sauf aux heures des repas, où les plats
des voisins entrent chez moi. Je sens aussi l’herbe et les arbres, grâce au jardin autour de l’immeuble.

Amélie Chapeau 3e4