De ma fenêtre, j’entends le bruit du vent,  l’air frais, les oiseaux chanter, plus le soleil qui envahit la chambre. Parfait pour prendre son petit déjeuner en pensant aux vacances d’été. Dans l’après-midi, j’entends quelques voitures passer, des bus à moitié vides, des passants, des rires, des cris,des bruits évoquant la joie. Bien sûr vers 20 heures les applaudissements, quelques personnes utilisent des casseroles, crient, sifflent pour mettre un peu plus d’ambiance. Puis ensuite tout est calme, j’entends de nouveau les oiseaux chanter comme au matin, ce qui est inhabituel.

De ma fenêtre, j’observe les arbres fleurir, devenir de plus en plus verts, beaucoup plus naturel avec le soleil qui s’y reflète, qui fait briller les feuilles. Le soleil qui envahit la pièce et crée des ombres sur le mur. J’observe les passants, certains se promènent avec leurs enfants et leur chien ou d’autres vont faire les courses pour eux ou peut-être pour leurs grand-parents, tous portent des masques. J’observe les immeubles en colonnes, il y en a des modernes, des haussmanniens qui je trouve sont beaucoup plus beaux. Les différents types d’architecture d’immeubles sont mélangés. J’observe aussi le ciel rempli de nuages  qui me fait penser aux fresques  sur le plafond de certains musées ou châteaux . Le soir, vers 20 heures, on ne voit presque personne sortir de leurs fenêtres ou balcons pour applaudir il suffit de se pencher un peu pour voir énormément de gens encourager les soignants.

De ma fenêtre, je sens l’air pur envahir mes poumons, cet air pur que l’on sent habituellement quand on sort de la ville, loin de cette pollution. Un endroit dont on ne peut profiter que pendant les vacances mais l’air pur  petit à petit arrive en ville. La nature a repris ses droits.

 

Tania TERESHENKO 3ème4