Catégorie : Classe de 1re primaire

Nous insérons les photographies prises au Musée gaumais dans les illustrations de notre futur album multilingue.  Nous laissons libre cours à notre créativité en ajoutant des dessins et des collages.

La classe de première primaire participe à ce concours.  Notre production sera une adaptation de l’album « Bou et les trois zours » intégrant des photos prises au Musée Gaumais.  Si vous souhaitez nous aider en traduisant un passage de l’album dans votre langue ou dans une langue de votre choix, n’hésitez pas à vous manifester.

Merci d’avance.

À partir de l’album « Victoire s’entête », de Claire Cantais, nous avons découvert une vingtaine d’oeuvres du Musée du Louvre.  Chacun à son tour a plongé sa main dans la boite du musée pour y piocher une image de l’album, que nous avons observée et décrite.  En plaçant les oeuvres chronologiquement sur une bande de papier, nous avons appris les notions de récent et ancien.

Voilà pourquoi votre enfant souhaite aller visiter le musée du Louvre. 😉

Des membres de « La Trêve » nous ont raconté des histoires dans leurs langues respectives.

Nous avons assisté à une adaptation en turc de l’album « Une girafe sur le toit » de Sophie Daxhelet sous la forme d’un théâtre d’ombres.  Ensuite, trois albums nous ont été lus : « Dans les pas de papa », de Sabine De Greef, en russe, « Des papas et des mamans », de Jeanne Hashbé, en arabe, et « Le roi, sa femme et le petit prince », de Mario Ramos, en portugais.  Nos conteuses du jour nous ont impressionnés : toutes parlent au moins deux langues et certaines jusqu’à cinq.

Après une pause photo devant les décorations de Noël, nous avons repris le bus. 

Une chose est sûre : la culture, ça fatigue.

Nous sommes partis à la recherche des jouets oubliés par saint Nicolas dans les vitrines du musée.  Ce fut l’occasion de découvrir avec quoi jouaient nos ancêtres : avion Meccano, dînette en étain, Teddy rembourré avec de la paille, baigneur en celluloïd … 

Ensuite, nous avons mangé dans une des salles : vaisselle en faïence et boites en plastique se sont fait face le temps d’un repas.

 

 

Y a-t-il assez de niches pour chaque chien ? Y a-t-il assez de carottes pour chaque lapin ? Sans compter, nous trouvons un procédé pour comparer de grandes collections.  C’est indispensable pour comprendre les notions « plus », « moins » et « autant ».

Nous observons le mot sur le tableau numérique : nous l’épelons, nous le découpons en syllabes, nous décrivons la forme des lettres et le geste pour les écrire.   Ensuite, nous répétons les lettres dans notre tête sans regarder le modèle et nous reproduisons le tracé avec notre doigt.  Enfin nous l’écrivons sur notre ardoise en respectant la forme et la taille des lettres.  Chaque série de mots est travaillée tous les jours.  C’est ainsi que nous pouvons les mémoriser.

Nous découvrons l’album « Bou et les trois zours  » d’Elsa Valentin et Ilya Green, au moyen d’une boîte à raconter. Ensuite nous plaçons les mots sur les objets symboliques de la boîte.

Le texte est à écouter ici :

Mardi 28 mai nous sommes allés en excursion au Préhistomuseum de Ramioul.  Nous avons appris les gestes de nos ancêtres de la Préhistoire.

Nous avons lancé la sagaie avec un propulseur pour chasser un rhinocéros laineux.

Nous avons appris à allumer un feu.  Madame a frappé un silex et une pyrite pour produire des étincelles sur de la poudre d’amadou, un champignon qui pousse sur les arbres.  Ensuite, nous avons soufflé pour enflammer de la paille.

 

Les hommes préhistoriques utilisaient des outils.  Nous en avons découvert quelques-uns.  Le grattoir servait à gratter la peau des animaux pour fabriquer des couvertures, des vêtements ou des tentes.  Le harpon servait à pêcher.  La sagaie et le propulseur servaient à chasser.

Nous sommes allés dans une grotte.  Nous avons vu des stalactites, des stalagmites et des colonnes.  Il y avait aussi un crâne d’ours.

Nous avons représenté des animaux sur une fresque.  Nous avons utilisé de la poudre de pierre et du charbon de bois.

Nous avons fabriqué une lampe à graisse en argile.  Pour cela, nous avons formé une boule, puis nous l’avons transformée en poire.  Après, nous l’avons aplatie et nous avons creusé un trou pour y mettre une bougie.