Mon expérience interculturelle à Caen

Quand on m’a demandé de donner un exemple d’interculturalité en France, la premiére chose qui m’est venue à l’esprit a été l’existence du plat “crêpe” dans la cuisine française.

J’ai réfléchi c’est une analogie avec les“blinis” russes. Apres, j’ai décidé de comprendre les origines de cette tradition.

En fait, personne n’a imité. J’ai trouvé sur l’internet que, en dépit de l’immense amour que les Russes ont pour les crêpes, il faut reconnaître que l’auteur de la première recette de crêpes ne nous appartient pas.Il est supposé que ce plat est connu depuis l’antiquité, et peut-être plus tôt. Le temps passait, les recettes variaient, chaque nation avait sa recette exclusive.

La crêpe française est un met composé d’une très fine couche de pâte faite à base de farine mélangée avec un liquide (lait) et cuite dans une crêpière ou sur une plaque chauffante. Elle est généralement de forme ronde. Elle se mange chaude ou froide, sucrée ou salée, comme plat principal, comme dessert. On la déguste chez soi ou au restaurant, et on en trouve à emporter sur les marchés?.

Les blinis russes traditionnels sont faits avec une pâte au levain qui se laisse gonfler et qui est ensuite diluée avec de l’eau ou dulait froid ou bouillant, avant de les enfourner dans un four russe traditionnel.

La différence n’est pas très grande, mais je suis persuadée quaujourd’hui il existe beaucoup les types et recettes de crêpe. Ce n’est pas un bon exemple d’interculturalité en France (je l’ai comprie au cours de mes petites recherches), mais c’est un exemple de comment le plat qui est plus primitif et facile à préparer peut devenir une partie de nombreuses cultures.

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