Promotion « La Pasionaria »

Para ponerle nombre a nuestra sección BACHI-BAC, hemos hecho elecciones para elegir uno entre los siguientes personajes: Joaquín Sorolla, Lope de Vega, La Pasionaria y Jordi Savall. Para ellos, cada uno de nosotros tuvo que buscar información sobre los cuatro personajes y elegir el que nos parecía más adecuado para la promoción.

Pour donner le nom à notre section BACHIBAC, nous avons fait des élections pour en élire un parmi les quatre personnages suivants : Joaquín Sorolla, Lope de Vega, La Pasionaria et Jordi Savall. Pour cela, chacun de nous avons dû chercher des informations sur les quatre personnages et choisir celui qui nous paraissait le plus adéquat pour la promotion.

Después, en clase hicimos cuatro grupos, uno para quien prefería « Lope de Vega » como nombre, y lo mismo con los otros grupos. Cada grupo tuvo que presentar el personaje preferido y argumentar por qué había elegido y convencer a los demás alumnos de la clase para cambiar de opinión.

Après, en classe, nous avons fait quatre groupes, un pour les élèves qui préféraient « Lope de Vega » comme nom et pareil pour les autres personnages historiques. Chaque groupe a présenté son personnage préféré, a argumenté pourquoi il avait choisi ce personnage, et a essayé de convaincre les autres élèves de la classe de changer d’avis.

Y finalmente, cada uno votó para el personaje que más le gustó o con el que más se identificaba; y fue así como elegimos a Dolores Ibárruri, más conocida con el nombre de La Pasionaria, como nombre para nuestra sección con la mayoría de votos.

Et finalement, chacun de nous a voté pour le personnage qui lui plaisait le plus ou avec lequel il s’identifiait et c’est comme ça que nous avons élu, avec la majorité des votes, Dolores Ibárruri, plus connue sous le nom de La Pasionaria, comme nom pour notre promotion.

Dolores Ibárruri nace el 9 de diciembre de 1895, fue de una familia muy pobre de once hijos. Hija de minero, deja la escuela muy pronto, cuando tiene quince años. Después, se casa con Julían Ruiz que también es minero. Con él, tiene seís hijos. Durante toda su vida, Dolores Ibárruri es una mujer pobre pero determinada y comprometida con su familia y luego con su país. Su eslogan « ¡No pasarán! » la hace famosa en todo el país y, unos años más tarde, alrededor del mundo. Además, es una figura importante para el partido comunista y para los derechos de las mujeres. Utiliza su seudónimo de la Pasionaria para escribir artículos para la prensa obrera y trabajadora. Recibe el apoyo de muchos países como Francia donde hace discursos. Dolores se va de exilio a la Unión soviética desde donde continúa su lucha para defender todos sus valores hasta su muerte el 12 de noviembre de 1989.

La Pasionaria, dont le véritable nom est Dolores Ibárruri, est née le 9 décembre 1895. Elle était une célèbre politicienne espagnole, qui luttait contre le franquisme. En 1919, elle entre au Parti Communiste Espagnol.En 1936, quand le Front Populaire parvient au pouvoir, Dolores Ibárruri est élue députée. Elle était à Madrid, en 1936, lors du soulèvement de Franco ; et c’est là qu’Ibárruri va prononcer son fameux cri, « ¡No pasarán!« , en référence aux nationalistes. A partir de ce moment, elle est présentée comme une icône de la lutte républicaine. Quand les franquistes entrent dans Madrid en avril 1939, Dolores part en exil en Union soviétique. En 1960, elle devient présidente du PCE. Après la mort de Franco en 1975, Ibárruri revient en Espagne. Elle meurt le 12 novembre 1989.

Germaine Tillion nace el 30 de mayo de 1907 en Allegre en Haute-Loire. Hija de una familia burguesa, es la segunda mujer a ser condecorada « Grand Croix de la Légion d’Honneur ». Germaine Tillion lleva dos misiones en Argelia, la primera gracias a la « International Society » y la segunda gracias al « Conseil national ». Pertenecía a la red de Resistencia de 1940-1942. Por eso fue arrestada en 1942 y deportada a Ravensbrück por sus actos de resistencia. Sale del campo de concentración en 1945, gracias a la Cruz Roja. En 1954, decide irse a Argelia para una misión oficial de observación de la política colonial del general De Gaulle en el contexto de la guerra de Argelia. Toda su vida, decide luchar contra la opresión de la mujeres y a la defensa de los institutos franceses implantados en los países extranjeros. Muere el 19 de abril de 2008 en Saint-Mandé. Entra en el Panteón el 27 de mayo del mismo año.

Germaine Tillion est née le 30 mai 1907 à Allegre, en Haute-Loire. Fille d’une famille bourgeoise, c’est la deuxième femme à avoir été décorée de la Grand-Croix de la Légion d’Honneur. Germaine Tillion effectue deux missions en Algérie. Elle entre dans la Résistance en juin 1940, ce qui lui valut d’être arrêtée en 1941 et déportée à Ravensbrück. Elle sort de ce camp de concentration en 1945 grâce à la Croix Rouge. En 1954, elle décide d’aller en Algérie pour une mission officielle d’observation en tant qu’ethnologue, mission qui va devenir pour elle une mission de dénonciation de la politique coloniale de De Gaulle, au début de la guerre d’Algérie. Elle a dédié toute sa vie à lutter contre les discriminations envers les femmes et pour la défense des lycées français implantés dans d’autres pays. Elle meurt le 19 avril 2008 à Saint-Mandé, près de Paris, et entre au Panthéon le 27 mai de la même année.

 

Las dos mujeres tuvieron que irse y dejar sus países de origen por causas políticas. Fueron mujeres
fuertes y feministas. Ambas lucharon por los derechos de las mujeres, de las clases pobres. Además, las dos pertenecían al partido comunista. Ambas conocieron tiempos difíciles marcados por la Guerra : Guerra Civil, Segunda Guerra Mundial y Guerra de Argelia. Estas dos mujeres consiguieron conciliar vida política y vida personal : cada una tuvo séis hijos. Las dos mujeres fueron recompensadas por sus actos valientes : Germaine Tillion obtuvo la « Légion d’honneur » y Dolores Ibárruri una medalla. Finalmente, las dos mujeres son símbolos de esperanza.

Les deux femmes ont du quitter leur pays d’origine pour causes politiques. Ce sont des femmes
fortes et féministes. Toutes deux ont lutté pour les droits des femmes, des classes pauvres. De plus, toutes les deux appartenaient au parti communiste. Elles ont connu des temps durs marqués par la guerre : Guerre d’Espagne, Seconde Guerre Mondiale et Guerre d’Algérie. Ces deux femmes ont réussi à concilier vie politique et vie privée : chacune a eu six enfants. Les deux femmes ont été récompensées pour leurs actes courageux : Germaine Tillion a obtenu la Légion d’honneur et Dolores Ibárruri une médaille. Enfin l’une comme l’autre sont des symboles d’espérance.

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