L’aventure de Balthazar

L’aventure de Balthazar

Louanne

Faites silence, faites silence, c’est la queue du chat qui danse. Quand le chat a dansé, quand le coq a chanté, le silence est arrivé, mon histoire peut commencer.

Un petit garçon adorait chasser. Il était grossier et il s’appelait Balthazar alias le tueur. Il n’avait pas de copain car il était seul dans la forêt avec sa mère Ursula qui était magnifique, généreuse, délicate et éblouissante. Il n’était pas grand ni généreux mais il inventait des potions magiques. Il était très caractériel, il s’énervait très vite et il ne se doutait pas de ce qu’il allait se passer.

Un jour Ursula tomba très malade. La seule façon de la guérir c’était d’avoir une corne de dragon qui se trouvait à cinquante kilomètres de chez eux. Donc Balthazar prit la décision d’aller voir le dragon. Il prit son couteau. Ursula embrassa l’enfant sur le front et lui dit : « Fais attention car le dragon peut te tuer ». L’enfant lui répondit : « Ne t’inquiète pas maman, je vais rentrer vivant. Au revoir je t’aime ».

Balthazar n’avait pas grand chose, il n’avait pas de cheval ni d’épée ni de guerrier. Il y avait de l’espoir mais aussi beaucoup de peur en lui. Il prit le chemin pour aller chez le dragon. Après cinq heures de route à pieds, il eut faim, très faim. Il commença à chasser du gibier. Mais il était tellement fatigué qu’il n’arrivait pas à courir. Alors il eut une idée de faire un piège de roc pour les attraper. Cela lui prit une heure. Mais il l’avait enfin construit. Il mit dans le piège une fleur qui sentait la viande. Mais malheureusement les humains ne pouvaient pas la manger. Seulement quelques animaux. Un sanglier fut attrapé. Il mourait de peur. Pourtant il restait un problème : il ne savait pas faire du feu. Il essaya avec un bout de bois sur une pierre mais ça ne marchait pas. Au bout de la cinquantième fois, il y arriva enfin, soulagé. Il mangea le sanglier bien cuit, il n’avait plus faim. Il s’endormit paisiblement près de son feu pour ne pas avoir froid.

Le lendemain une grande marche l’attendait car il devait arriver avant qu’il fasse nuit. Il prit le chemin, déterminé. Il reprit son couteau car il allait l’oublier mais en route il se posait des questions : allait-il revoir sa mère ? Comment allait-il prendre la corne ?

Il eut une idée : une potion de ralentissement bien sûr. Il commença à prendre une limace, des feuilles, de l’herbe et des fleurs. Grâce à la peau de sanglier, il fit une pochette avec de l’herbe. Il mélangea tous les ingrédients. La potion était prête. Il la mit dans sa poche pour ne pas l’oublier.

Il arriva sur un petit chemin de terre. Il vit une cape et des bottes. Il les mit. Il commença à devenir invisible. Quand il voulut faire un pas, il fit sept lieues. Très surpris mais surtout content il reprit sa route. Après avoir fait cinquante lieues il vit la grotte du dragon. Grâce à sa cape le dragon ne pouvait pas le voir mais il ne savait pas que le dragon pouvait le sentir. Découvert, Balthazar enleva sa cape. Il commença à se battre contre le dragon. Il sortit son couteau mais le dragon le saisit et l’envoya dans les buissons. Le dragon lui bondit dessus pour le manger mais Balthazar lui lança la potion. Le dragon bougea à la vitesse d’un escargot. Balthazar eut le temps de couper la corne puis de partir et de reprendre son couteau et sa cape.

Après trois heures de route il réussit à rentrer à temps pour sauver sa mère.

Depuis ce jour grâce à la cape il put chasser plus discrètement.

Crip Crop la petite souris dit que mon histoire est finie.

Louanne, 6B

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