Yvain le chevalier au lion

  • Lien vers le site de la BNF qui montre des manuscrits originaux
  • Livre lu :
  • chapitre 1

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=PYLbMjjyNws[/youtube]

  • chapitre 2

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=OzPk1VwEP8c[/youtube]

  • chapitre 3

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ytoGNYqMY3U[/youtube]

  • chapitre 4

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=Ghee86EyajI[/youtube]

  • chapitre 5

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=FHwW1kqDAU4[/youtube]

  • chapitre 6

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=neuYzd1C-y4[/youtube]

  • chapitre 7

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=A0KDG468Xis[/youtube]

  • chapitre 8

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=LmMcjAqiTpg[/youtube]

  • chapitre 9

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=apPpFfb4o14[/youtube]

  • chapitre 10

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=gu7Beh9iCvk[/youtube]

  • chapitre 11

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=0NgEaXzQ9nI[/youtube]

  • chapitre 12

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=cLwmjXWMo4w[/youtube]

  • chapitre 13

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=mgZ8o5CMf4E[/youtube]

  • chapitre 14

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=6Z2AiK9sZ5w[/youtube]

  • chapitre 15

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=NR0D_5YSCd8[/youtube]

 

Mme Mangenot

Bethany

Texte libre à partir d’une image.

C’est l’histoire d’une petite sorcière nommée Bethany.

Bethany avait toujours été une sorcière maladroite à l’école :

Un jour c’était les potions qui explosaient à la figure de ses camarades, un autre c’était les balais que dansaient au lieu de voler et ça s’empirait de jour en jour.

Jusqu’au jour où elle trouva une pièce où se trouvait un seul balai.

Elle voulait s’entraîner avec pour l’évaluation qui allait se dérouler le lendemain.

Dès qu’elle toucha le balai, elle ressentit un picotement. Alors elle le prit et partit s’entraîner avec. Tous ses mouvements et figures furent parfaits.

Le lendemain, elle réussit l’évaluation haut la main ainsi que toutes les potions à faire …

C’est là qu’elle se dit que sa « malédiction » était levée.

Ce qui était visiblement fait.

Hélène

Junckers

Junckers

Chacal : 1m97 résistant d’Australie

Chopper : 2m17 résistant d’Australie

Résistant d’Australie : L’Australie a été envahie par des Omniaques, Overwatch a pour obligation d’envoyer une bombe sur l’Australie pour détruire les Omniaques, heureusement les Australiens ont survécu et ils ont fondé un fort pour lutter contre Overwatch,

Junckers : Résistant d’Australie

Omniaques : Robots d’une planète inconnue dans la mythologie grecque. Pour eux les Omniaques étaient des dieux. Mais ils se sont trompés. Maintenant les Omniaques veulent conquérir la terre.

Il y a longtemps en 2180, une équipe extraordinaire qui s’appelait Overwatch dirigée par Soldat 76.

Aujourd’hui je vais vous raconter une histoire, l’histoire de deux Junckers, Chacal et Chopper.

Chacal était un fou des explosifs c’était une passion pour lui.

Chopper avec un grappin, il attrapait tout ce qui voulait.

Malheureusement après dix ans de combat Overwatch avait été dissout.

Chacal a été un des résistants d’Australie, il a créé une ville, Junker Town. Il a désigné une reine s’appelant Athena. Chacal était un des gardes de la reine et démineur grâce à sa maîtrise des explosifs.

Chopper était aussi un des gardes de la reine mais il s’occupait de terrasser Overwatch avec son grappin et avec son masque.

Athena était la reine de Junker Town car Chacal l’avait choisie : elle maniait très bien ses armes et aussi car c’était sa fille. Athena avait des cheveux marron clair, des yeux de la même couleur et bien sûr une couronne sur la tête.

Bon passons à l’aventure, Chacal est passé dans Greasy Grove. C’est là qu’il a rencontré Chopper. Dès qu’il se sont rencontrés ils ont eu une idée en tête : partir très loin de cette ville. Pour cela ils ont filtré de l’essence et ils ont ramassé des pneus, des fragments, etc…. Ils ont rassemblé tout ça pour construire une moto. Ils ont parcouru des kilomètres et enfin ils ont construit Junker Town.

Lucas

Concours de dictée 2017-2018

Concours de dictée 2017-2018

Au mois de janvier, un nombre important d’élèves du collège s’est frotté aux deux dictées du concours de dictée :

  • 46 élèves pour la dictée 6e-5e
  • 20 élèves et 5 adultes pour la dictée 4e-3e-profs

Bravo pour cette belle participation ! A noter que la classe de 4D s’est déplacée en force, ainsi que les 5e-6e. Nous n’étions pas trop de deux, Mme Daval et moi-même, pour dicter le texte à ces derniers.

Voici les deux dictées :

(C’est une narratrice qui raconte.)

Un homme discret

Quelle histoire ! Je n’arrive pas à y croire ! Un homme discret, gentil, toujours avec son petit chien ! parlant peinture… Lui, dans le journal !

J’ai cru que madame Gaudrillon allait s’étrangler dans l’escalier. Je me suis faufilée devant tout le monde pour voir, pendant que la gardienne a continué :

Ça, pour une surprise, c’est une surprise ! Vous vous rendez compte ! Dire que j’ai vécu trente ans dans l’immeuble à côté d’un agent secret !

Moi aussi, j’ai failli m’étrangler. J’ai escaladé quatre à quatre les escaliers, mais quand j’ai raconté l’affaire à ma sœur, elle non plus ne m’a pas crue.

Dictée 4e-3e-profs-adultes

(Le narrateur est un jeune garçon.)

La découverte de la mer

Je savais que nous étions venus là pour une chose qui s’appelait la mer, mais je ne l’avais pas encore vue et j’étais dans une extrême impatience de la connaître. Après le dîner donc, à la tombée de la nuit, je m’échappais seul au dehors. L’air vif, âpre, sentait je ne sais quoi d’inconnu et un bruit singulier, à la fois faible et immense, se faisait entendre derrière les petites montagnes de sable auxquelles le sentier conduisait.

Tout m’effrayait, ce bout de sentier inconnu, ce crépuscule tombant d’un ciel couvert… Cependant je partis d’un pas ferme…

Puis tout à coup, je m’arrêtai glacé, frissonnant de peur. Devant moi, quelque chose apparaissait…

D’après Pierre Loti, Le Roman d’un enfant, 1890.

 

Voici le palmarès :

5-6e

1. Théa Petit-Laurent – Coline Claudel

2. Lison Grebert

3. Clara Marthelot – Axel Marchal

4-3e

1. Zoé Fleurot

2. Juliette Riera

3. Théo Koch

Adultes

1. Mme Damme

2. ex æquo Mme Daval, Mme Hassini et Mme Wacrenier

3. M. Raymond

 

Mme Mangenot

Lectures audio sur la guerre

Charles Guinant

Verdun, le 18 mars 1916

Ma chérie,

Je t’écris pour te dire que je ne reviendrai pas de la guerre.

S’il te plaît, ne pleure pas, sois forte.

Le dernier assaut m’a coûté mon pied gauche et ma blessure s’est infectée. Les médecins disent qu’il ne me reste que quelques jours à vivre. Quand cette lettre te parviendra, je serai peut-être déjà mort. Je vais te raconter comment j’ai été blessé.

Il y a trois jours, nos généraux nous ont ordonné d’attaquer. Ce fut une boucherie absolument inutile. Au début, nous étions vingt mille. Après avoir passé les barbelés, nous n’étions plus que quinze mille environ. C’est à ce moment-là que je fus touché. Un obus tomba pas très loin de moi et un morceau m’arracha le pied gauche. Je perdis connaissance et je ne me réveillai qu’un jour plus tard, dans une tente d’infirmerie. Plus tard, j’appris que parmi les vingt mille soldats qui étaient partis à l’assaut, seuls cinq mille avaient pu survivre grâce à un repli demandé par le Général Pétain.

Dans ta dernière lettre, tu m’as dit que tu étais enceinte depuis ma permission d’il y a deux mois. Quand notre enfant naîtra, tu lui diras que son père est mort en héros pour la France. Et surtout, fais en sorte à ce qu’il n’aille jamais dans l’armée pour qu’il ne meure pas bêtement comme moi.

Je t’aime, j’espère qu’on se reverra dans un autre monde, je te remercie pour tous les merveilleux moments que tu m’as fait passer, je t’aimerai toujours.

Adieu

Le 30 mai 1917

Léonie chérie,

J’ai confié cette dernière lettre à des mains amies en espérant qu’elle t’arrive un jour afin que tu saches la vérité et parce que je veux aujourd’hui témoigner de l’horreur de cette guerre.

Quand nous sommes arrivés ici, la plaine était magnifique. Aujourd’hui, les rives de l’Aisne ressemblent au pays de la mort. La terre est bouleversée, brûlée. Le paysage n’est plus que champ de ruines. Nous sommes dans les tranchées de première ligne. En plus des balles, des bombes, des barbelés, c’est la guerre des mines avec la perspective de sauter à tout moment.

Nous sommes sales, nos frusques sont en lambeaux. Nous pataugeons dans la boue, une boue de glaise, épaisse, collante dont il est impossible de se débarrasser. Les tranchées s’écroulent sous les obus et mettent à jour des corps, des ossements et des crânes, l’odeur est pestilentielle.

Tout manque : l’eau, les latrines, la soupe. Nous sommes mal ravitaillés, la galetouse est bien vide ! Un seul repas de nuit et qui arrive froid à cause de la longueur des boyaux à parcourir. Nous n’avons même plus de sèches pour nous réconforter parfois encore un peu de jus et une rasade de casse-pattes pour nous réchauffer.

Nous partons au combat l’épingle à chapeau au fusil. Il est difficile de se mouvoir, coiffés d’un casque en tôle d’acier lourd et incommode mais qui protège des ricochets et encombrés de tout l’attirail contre les gaz asphyxiants.

Nous avons participé à des offensives à outrance qui ont toutes échoué sur des montagnes de cadavres. Ces incessants combats nous ont laissé exténués et désespérés.

Les malheureux estropiés que le monde va regarder d’un air dédaigneux à leur retour, auront-ils seulement droit à la petite croix de guerre pour les dédommager d’un bras, d’une jambe en moins ? Cette guerre nous apparaît à tous comme une infâme et inutile boucherie.

Le 16 avril, le général Nivelle a lancé une nouvelle attaque au Chemin des Dames.

Ce fut un échec, un désastre ! Partout des morts !

Lorsque j’avançais les sentiments n’existaient plus, la peur, l’amour, plus rien n’avait de sens. Il importait juste d’aller de l’avant, de courir, de tirer et partout les soldats tombaient en hurlant de douleur.

Les pentes d’accès boisées étaient rudes. Perdu dans le brouillard, le fusil à l’épaule j’errais, la sueur dégoulinant dans mon dos. Le champ de bataille me donnait la nausée. Un vrai charnier s’étendait à mes pieds. J’ai descendu la butte en enjambant les corps désarticulés, une haine terrible s’emparant de moi.

Cet assaut a semé le trouble chez tous les poilus et forcé notre désillusion. Depuis, on ne supporte plus les sacrifices inutiles, les mensonges de l’état major. Tous les combattants désespèrent de l’existence, beaucoup ont déserté et personne ne veut plus marcher. Des tracts circulent pour nous inciter à déposer les armes. La semaine dernière, le régiment entier n’a pas voulu sortir une nouvelle fois de la tranchée, nous avons refusé de continuer à attaquer mais pas de défendre.

Alors, nos officiers ont été chargés de nous juger. J’ai été condamné à passer en conseil de guerre exceptionnel, sans aucun recours possible. La sentence est tombée : je vais être fusillé pour l’exemple, demain, avec six de mes camarades, pour refus d’obtempérer. En nous exécutant, nos supérieurs ont pour objectif d’aider les combattants à retrouver le goût de l’obéissance, je ne crois pas qu’ils y parviendront.

Comprendras-tu, Léonie chérie, que je ne suis pas coupable, mais victime d’une justice expéditive ?

Je vais finir dans la fosse commune des morts honteux, oubliés de l’histoire. Je ne mourrai pas au front mais les yeux bandés, à l’aube, agenouillé devant le peloton d’exécution. Je regrette tant ma Léonie la douleur et la honte que ma triste fin va t’infliger.

C’est si difficile de savoir que je ne te reverrai plus et que ma fille grandira sans moi. Concevoir cette enfant avant mon départ au combat était une si douce et si jolie folie mais aujourd’hui, vous laisser seules toutes les deux me brise le cœur. Je vous demande pardon mes anges de vous abandonner.

Promets-moi mon amour de taire à ma petite Jeanne les circonstances exactes de ma disparition. Dis-lui que son père est tombé en héros sur le champ de bataille, parle-lui de la bravoure et la vaillance des soldats et si un jour, la mémoire des poilus fusillés pour l’exemple est réhabilitée, mais je n’y crois guère, alors seulement, et si tu le juges nécessaire, montre-lui cette lettre.

Ne doutez jamais toutes les deux de mon honneur et de mon courage car la France nous a trahis et la France va nous sacrifier.

Promets-moi aussi ma douce Léonie, lorsque le temps aura lissé ta douleur, de ne pas renoncer à être heureuse, de continuer à sourire à la vie, ma mort sera ainsi moins cruelle. Je vous souhaite à toutes les deux, mes petites femmes, tout le bonheur que vous méritez et que je ne pourrai pas vous donner. Je vous embrasse, le cœur au bord des larmes. Vos merveilleux visages, gravés dans ma mémoire, seront mon dernier réconfort avant la fin.

Eugène ton mari qui t’aime tant

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