LE DERNIER COURRIEL DE SALVATORE PIRACCI
A l’inconnu qui se cache derrière chaque mot d’une histoire, et qui bouleverse des vies,
A l’inconnu veilleur de tombes, et d’ombres voguant la nuit,
Je lance à la mer une fiole de verre, prison de mes passés et de ce présent qui fuit sous mes doigts, j’espère que tu la rattraperas.