La bibliothèque dans le film

Hier soir j’ai vu le film « Cadena perpetua (Frank Darabont,1944) , Je suis surpris par le sens qui a été donné à la bibliothèque, le protagoniste du film, est accusé d’avoir tué à sa femme et à son amant, par conséquent, est condamné à la prison. Pendant son séjour en prison va commencer à fréquenter la bibliothèque et a décidé de participer activement à son amélioration (l’expansion de fonds, la fourniture d’équipements). Ça va créer une nouvelle bibliothèque avec des meubles, du matériel audiovisuel … obtenir la bibliothèque pour devenir un « programme de travail social à la bibliothèque» et un centre d’alphabétisation. L’importance du film réside dans l’image donnée de la bibliothèque comme centre communautaire, en d’autres mots, la bibliothèque dans le film est considéré comme une évasion habitude de se sentir un peu plus libre. 

Quant à l’image donnée à la bibliothèque dans le film, on peut dire que cela est très variable en fonction du temps le film se déroule, ou le temps qu’il a été enregistré.

Si nous parlons de l’utilisation de la bibliothèque, est l’utilisation généralisée de l’archive à résoudre un mystère. Nous avons tous l’image du protagoniste qui envisage le lecteur de microfiches, les journaux de la date à laquelle l’assassiner arrivé à trouver les motivations cachées de l’assassin.

Une autre image récurrente est celle de l’ancienne bibliothèque, pleine de secrets qui gardent la connaissance dont l’accès est limité aux privilégiés. Cette situation est aggravée par des livres sobres et gris, plein de entassés, empilés sous une couche de poussière et de toiles d’araignée. Un endroit inaccessible gardée par un vieux bibliothécaire qui considère toute visite comme une intrusion dans leur vie privée.

Les films américains est l’endroit où les bibliothèques apparaissent plusieurs fois, et c’est tout à fait normal, parce que dans cette société leutilisation de cette institution est très répandue. Ils sont utilisés de la même manière que d’autres services communautaires.

Autres titres de films qui traitent de la question des bibliothèques:

Indiana Jones et la Dernière Croisade (Steven Spielberg, 1989)

La momie (Stephen Sommers, 1999)

Le nom de la Rose (Jean-Jacques Annaud, 1986)

Harry Potter

Petit déjeuner à Tiffany (Blake Edwards, 1961)

Fahrenheit 451 (François Truffaut, 1966)
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Le numérique dans les musées de France : une nouveauté?

« France : plus de 15 ans de numérique pour les musées »

 

Omer Pesquer,  Consultant Numérique Freelance et Initiateur et coordinateur de MuzeoNum, groupe de réflexion sur le numérique au musée, montre que le numérique n’est pas une pratique si nouvelle qu’on pourrait le croire dans les musées en proposant une chronologie des usages du numérique en France depuis 15 ans.

Il explique cette sensation de nouveauté du numérique dans les établissements muséaux par l’intensification de ces usages qui peut faire croire qu’ils sont récents, ce qui n’est pas le cas.

Sa chronologie commence en 1986 avec par exemple des postes de consultation numérique au musée d’Orsay ou encore des premières bornes interactives à la Cité des Sciences et de l’Industrie. Le DVD-ROM est utilisé au Louvre en 1999, le blog « Les Musées Virtuels »  est ouvert en octobre 2005.

Cette chronologie montre que les pratiques numériques dans le champs muséal sont progressives.

Voci le lien vers cette chronologie de Omer Pesquer :  http://omer.mobi/notes/france-numerique-pour-les-musees-reperes

Bonne lecture!
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Le livre numérique un support qui peine à confirmer.

Pour une première approche d’un nouveau mode de lecture et une meilleure compréhension de celui-ci.

Cet article à l’heure du salon du livre, va parler des difficultés à s’implanter pour les livres numériques en France. Un constat argumenté par l’explication de la commercialisation, du public type et du téléchargement notamment.

 

http://www.20minutes.fr/culture/1125177-20130325-livre-numerique-revolution-fait-attendre-france

Musées virtuels : l’Uruguay en 1997

On parle beaucoup de présence en ligne des musées : voici un exemple parmi d’autres, de musées qui ont fait le choix de créer un musée totalement virtuel…

Voici une présentation de l’article d’Alicia Haber, en anglais, présente sur le site de l’UNESCO =

MUVA Virtual Museums of Arts
http://muva.elpais.com.uy

On ne peut pas évoquer le Musée Virtuel sans avoir visité celui que dirige Alicia Haber en Uruguay. Le Museo Virtual de Artes El Pais (MUVA), est le premier musée totalement virtuel mis en ligne en 1997. Son siège est à Montevideo, en Uruguay. Il est consacré à l’art Uruguayen et Latino-américain et contribue, par son caractère éducatif, informatif et qualitatif, à la connaissance des arts visuels.

Le MUVA n’existe pas physiquement, mais ses créateurs ont voulu donner la représentation d’un vrai musée. L’idée fut d’employer le web comme médium d’exposition, permettant de recréer l’ambiance du musée en développant à un haut degré la sensation d’être à l’intérieur d’un bâtiment.

Le bâtiment, entièrement virtuel, a été conçu par quatre architectes commandités pour le MUVA : la visite virtuelle donne ainsi l’impression de parcourir les espaces technologiquement reconstitués d’un musée.

Le visiteur peut réellement se déplacer à l’intérieur du musée, prendre l’ascenseur, monter les escaliers, aller de salles en salles, et admirer les œuvres. Cela sans téléchargement de logiciels ou d’applications externes lourdes et complexes : MUVA veut rendre la visite facile à son public…

Alicia Haber est venue présenter le MUVA Virtual Museums of Arts dans le colloque « Les médias audiovisuels comme patrimoine culturel et leur utilisation dans les musées », à Mytilène en juin 2006, elle disait en introduction :
« My paper will focus on MUVA Virtual Museums of Arts from Uruguay, its achievements but also its problems. I will deal with the creation of a virtual museum in a Third World country, entirely done by Uruguayans, with a very limited budget. I will present the way in which we had to face problems to create it in I996, how we got to create it and how we got to expanding it and keeping it alive ».

 

Source :

  • http://www.unesco.org/webworld/avicom/index.php?section=3500
  • lien vers l’article d’Alicia Haber en anglais : http://www.unesco.org/webworld/avicom/UserFiles/haber_alicia_conf.pdf

L'expérimentation directe à l'heure du multimédia

Avec la généralisation du multimédia et du numérique dans notre société, les pratiques d’expérimentation directes sur les objets ont-elles encore lieu d’être ?

Nous le savons,mettre la main à la pâte est essentiel pour l’initiation des enfants et l’efficacité de cette démarche n’est plus à prouver, notamment pour le domaine scientifique. En mettant l’enfant en face de réalités sur lesquelles il peut agir on lui permet d’avoir un rapport concret au savoir. Du coup est-ce pertinent de remplacer dans les expositions scientifiques les expérimentations réelles par des expérimentations virtuelles sur supports numériques ?

Il est vrai que l’usage de ces nouvelles technologies est une source de motivation chez les jeunes et leur permet d’aller à leur propre rythme. Pour transposer les objets, il faut tout d’abord qu’ils soient identifiables. Souvent les enfants ont du mal à faire le parallèle, si les objets virtuels ne sont pas parfaitement identiques à ceux du réel. Pourtant lorsqu’on présente sur support numérique une expérience impossible aux enfants, ils ont tendance à la croire. Et ce, même après la comparaison avec une expérimentation réelle, ils continuent à aller dans le sens de l’ordinateur et penser qu’ils ont du mal faire la manipulation. Il faut donc se méfier de l’importance de l’impact de l’image dans l’apprentissage.

Pour concevoir un outil d’expérimentation numérique à l’usage des enfants il faut prendre en compte plusieurs critères :

– respecter le réalisme des objets représentés.

– connaître le cheminement intellectuel de l’enfant pour apporter les informations au bon moment.

– adapter la formulation des consignes et des explications.

L’expérience multimédia n’est pas forcément moins bonne que l’expérience réelle mais il faut qu’elle soit très bien pensée et conçue en amont, ainsi elle peut être un très bon outil de complément à la manipulation. L’ordinateur peut alors jouer un rôle d’organisateur du savoir à la manière de l’enseignant ou du médiateur. Ces derniers restant des acteurs indispensables, pour répondre aux questions des enfants, les aider à se servir des outils informatiques mais aussi pour être dans le dialogue et l’échange.

 

Source : Pdf « L’expérimentation directe à l’heure du Multimédia » par Jack Guichard, Anne Lechaudel, Nicolas Mangeot.
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Museorama: site portail de tous les musées français

Muséorama est un portail recense l’actualité des expositions temporaires et permanentes en France.

Ce portail classe les musées par catégorie (art, techniques, société…) et par thèmes (zone géographique et période historique) et offre aux usagers:

•Un référencement optimisé qui accroît l’accessibilité à tous les musées
(un clic pour accéder au moteur de recherche dédié).

•Une convivialité et une lisibilité incitant le visiteur à explorer l’univers de tous les musées français pour ensuite guider son itinéraire de voyage vers le ou les musées de son choix.

•Un espace de promotion et de valorisation supplémentaire pour la plupart des musées, y compris ceux disposant déjà de leur propre site.

•Une vision exhaustive des expositions proposées, facilitant ainsi les échanges entre musées.

•Une information en continu correspondant aux centres d’intérêt de l’internaute (newsletter MonMuseo)

 

–> Muséorama offre un espace unique d’accessibilité   et une visibilité internationale à tous les musées français !

Lien vers le site

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Le Musée de Cluny fait revivre le passé

Dans le cadre de la Nuit des musées 2012, le Musée de Cluny a intégré les technologies numériques pour reconstituer des monuments disparus. Les dispositifs permettent alors de rendre compte de l’élévation d’un bâtiment totalement ou partiellement détruit et de son emprise dans l’espace urbain, comme c’est le cas des thermes gallo-romains de Lutèce dont il ne reste que le frigidarium.

De tels expériences ont déjà été menées et ont permises de restituer les façades multicolores des temples romains ou des églises médiévales. Ces technologies modernes livrent donc une vision oubliée de monuments anciens qu’il nous faut redécouvrir.

Source: http://www.knowtex.com/blog/au-musee-de-cluny-le-numerique-fait-revivre-le-batiment/
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Découvrez le World Wonders Project de Google !

Ce projet d’ampleur mondiale mené par Google vise à offrir une présence numérique aux sites représentant des « Merveilles du Monde ».

 

Des sites archéologiques de Pompéi au Mémorial de la paix d’Hiroshima, le World Wonders Project de Google a pour ambition de vous faire découvrir les merveilles du monde moderne et de l’Antiquité comme si vous y étiez.

Grâce à la technologie Street View, les internautes du monde entier peuvent maintenant découvrir les sites du patrimoine mondial. Street View, déjà disponible dans de nombreux pays, est une fonctionnalité extrêmement populaire de Google Maps. Elle permet aux internautes d’explorer un quartier et de s’y déplacer de manière virtuelle, grâce à des images panoramiques des rues. Les progrès de la technologie en matière de photographie nous permettent désormais de sortir des sentiers battus afin de photographier quelques-uns des lieux les plus importants au monde pour les faire découvrir à tous.

Street View a déjà rencontré un franc succès auprès des touristes et des explorateurs virtuels passionnés. Par ailleurs, le World Wonders Project constitue une ressource précieuse pour les étudiants et les enseignants qui peuvent désormais découvrir de manière virtuelle quelques-uns des sites les plus célèbres au monde. Ce projet permet d’enseigner de manière innovante l’histoire et la géographie aux élèves du monde entier.

Le World Wonders Project repose également sur l’intégration d’un vaste ensemble de technologies Google, permettant de mettre pour la première fois les merveilles du monde à la portée des internautes du monde entier. Le site Web du projet propose également à ses visiteurs de découvrir des modèles 3D, des vidéos YouTube et des photographies des célèbres sites du patrimoine mondial.

Avec la collaboration de partenaires tels que l’UNESCO, le World Monuments Fund et Cyark, le World Wonders Project veille à préserver le patrimoine mondial pour les générations à venir.

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Les usages du numériques chez les jeunes

L’article en question traite de l’usage d’Internet et de ses outils chez les jeunes. Plusieurs questions se posent : sont ils aguerris pour affronter le monde numérique ? Ont -ils trouver un nouveau refuge culturel ou une nouvelle manière de se cultiver ? Quelles nouveautés, l’usage du numérique a-t-il apporté à la société et plus précisément aux jeunes ?

« Avoir le choix… mais ne pas choisir

Mais l’adoption massive de nouvelles pratiques fondées sur l’utilisation des réseaux numériques n’implique pas de facto l’abandon des pratiques culturelles plus anciennes. Par exemple, les réseaux de proches (2) sont plus populaires qu’Internet pour découvrir des nouveautés culturelles. Ils ont utilisé en effet par plus de 93% des jeunes de notre panel. Et cela alors même que majoritairement ceux-ci semblent convaincus que les contenus culturels sur Internet sont plus variés que les contenus culturels auxquels ils accèdent par des moyens non digitaux (3). »

« Popularité : la prime à la nouveauté

Les nouveaux médias numériques qui sont apparus récemment ne remplacent pas nécessairement les médias plus anciens, mais ils peuvent les dépasser en popularité, au moins pour certains usages. Par exemple, pour découvrir de nouveaux biens culturels, Internet, utilisé par plus de 87% des jeunes, est plus populaire auprès des jeunes que la Télévision et la Radio, utilisées par plus de 84% et eux-mêmes plus populaires que les réseaux sociaux, utilisés par plus de 83% des jeunes. Mais ces derniers dépassent déjà en popularité la Presse et les magazines, utilisés par plus de 72% des jeunes.

Source : http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20121114trib000730926/les-nouvelles-generations-le-numerique-et-la-culture-secrets-d-une-alchimie.html

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