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l’homme mystérieux ( brouillon)

  • Cet homme tellement différent des autres personnes vivantes, où il se sent seul, où personne ne se préoccupe de sa présence dans notre monde qui est un monde où toute personne ne pense qu’à lui même. J’observe cet homme depuis si longtemps, il n’était comme personne. Il paraissait extrêmement  perdu dans notre monde tellement socialisé, il vivait à part de tout le monde. Sa maison se trouvait au milieu des bois, où il n’avait que sa petite maison en bois et son chien qui était blanc, tellement blanc qu’on aurait dit de la neige.

Cet homme ne sortait en ville que pour se ravitailler de la nourriture, et c’étaient les seules fois où je pouvais l’apercevoir. Il était vraiment intriguant. Je ne connaissais ni son nom ni son prénom. Dans la forêt où il vivait, tout faisait peur. C’était sombre à cette époque-là de novembre, les feuilles venaient de tomber le paysage était comme mort plus rien n’avait de vie. Mais lui avait l’air d’aimer. Je savais où il habitait car je l’avais aperçu rentrer dans sa cour de maison alors que j’étais en train de me promener dans la forêt car bien que cette forêt ne vivait presque plus j’aimais m’y promener et aller prendre l’air car au milieu de ce bois pas très loin de la maison de cet homme se trouvait un grand lac où tout est silencieux.

Ce jour-là quand je l’ai aperçu, c’était la seule fois où je le voyais épanoui et souriant. Il avait l’air d’aimer sa vie en pleine nature mais avait l’air d’aimer aussi le silence de cette forêt où presque personne ne passait. C’étaient deux visages différents, un visage si triste et noir quand il se trouvait dans notre espace où tous les gens sont identiques et un visage radieux et rayonnant quand il rentrait chez lui comme s’il était soulagé d’enfin être arrivé chez lui. Il m’avait aperçu au loin en train d’observer ce qu’il faisait. J’arrêtai de le fixer et je me suis remise à continuer ma route. Au bout du chemin, je me mis au bord de ce lac où j’avais l’impression que tout était différent. Au bout d’un certain moment j’entendis des craquements de petit bois, comme si quelqu’un arrivait. Je me retournai et c’était cet homme avec son chien très blanc. Il n’était pas timide il s’assit à côté de moi et nous commencions une discussion qui ne se termina jamais, tout en regardant cet époustouflant  paysage « la nature ». 

 

 

 

texte corrigé

Cet homme était différent des autres, en ville il paraissait seul. Personne ne se préoccupait de sa présence dans notre monde où chacun ne s’intéresse qu’à soi. J’observais cet homme depuis longtemps, il n’était comme personne. Il paraissait perdu dans notre société, il vivait à part de tous. Sa maison se trouvait au milieu des bois, avec son chien qui était blanc, tellement blanc qu’on aurait dit de la neige.

Cet homme ne sortait en ville que pour se ravitailler en nourriture, et c’étaient les seules fois où je pouvais l’apercevoir. Il était vraiment intriguant. Je ne connaissais ni son nom ni son prénom. Dans la forêt où il vivait, tout faisait peur. C’était sombre à cette époque là de novembre, les feuilles venaient de tomber le paysage était comme mort plus rien n’avait de vie. Mais lui avait l’air d’aimer. Je savais où il habitait car je l’avais aperçu rentrer dans sa cour de maison alors que j’étais entrain de me promener. Bien que la forêt semblait morte en cette fin d’automne avec son sol recouvert de feuilles. J’aimais m’y promener et y prendre l’air pas très loin de la maison de cet homme, au bord d’un grand lac où tout est silencieux.

Ce jour-là quand je l’ai aperçu, c’était la seule fois où je le voyais épanoui et souriant. Il avait l’air d’aimer sa vie en pleine nature mais avait l’air d’aimer aussi le silence de cette forêt où presque personne ne passait. C’étaient deux visages différents, un visage si triste et noir quand il se trouvait dans notre espace où tous les gens sont identiques et un visage radieux et rayonnant quand il rentrait chez lui comme s’il était soulagé d’enfin rentrait chez lui. Il m’avait aperçu au loin entrain d’observer ce qu’il faisait. J’ai repris ma route. Au bout du chemin, je me suis installée au bord du lac où j’avais l’impression que tout était différent. Au bout d’un certain moment j’entendis des craquements de petit bois, comme si quelqu’un arrivait. Je me suis retournée et c’était cet homme avec son chien très blanc. Il n’était pas pas timide il s’est assis à côté de moi et nous avons commencé une discussion qu’on voulait sans fin, tout en regardant cet époustouflant paysage qui était une source de bien être pour lui et moi, où l’on se perdait dans les reflets de l’eau.

 

 

 

 


Un commentaire

  1. Ton texte est le récit d’une belle rencontre et je trouve intéressante l’idée d’un homme à deux visages.
    Je pense que tu peux mettre cette histoire en valeur en séparant en plusieurs paragraphes. Retravaille les premières phrases pour améliorer leur construction et pour éviter les répétitions.
    Attention au mot « tellement ». Dans certains passages, il vaudrait mieux employer « très » ou un équivalent « totalement, extrêmement, vraiment, réellement, incroyablement… »

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