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Liberté naturelle

 

J’avais besoin de partir ne serait-ce qu’un court moment. De m’échapper, d’oublier cette société invivable. Je pris un sac, et y mis le nécessaire comme la nourriture, soins de secours, appareil photo.
J’avais décidé suite à mon en ménagement dans la capital française, il y a deçà plusieurs mois de partir en randonnée de quelques jours avec comme seule compagnie mon cheval. Cette vie urbaine ou tous les jours se ressemble ou tous les jours on respire cette air polluée en croisant des personnes sans expression sans vie était devenu invivable. J’entendais à nouveau les oiseaux chanter, je croisais des biches, sentais les doux parfums des fleurs sauvages, j’étais coupée de toute civilisation.
J’avançais dans les chemins de ces immenses forêts, où la nature s’étendais à perte de vue. J’esquivais les branches des arbres majestueux laissant apparaître les doux rayons du soleil.
Je sentais à nouveau le vent effleurer ma peau, je pouvais entendre le bruit de chaque foulée de galop, qui m’emmenait le plus loin possible de cette société oppressante qui était devenue trop dure à supporter. Je voyais le paysage se dérouler sous mes yeux. Plus mon cheval galopait, plus mes problèmes s’envolaient et plus j’avancais plus le sentiment de liberté m’envahissait. Ce bonheur, cette sensation de vitesse, l’impression que plus personne ne peut vous arrêter je pourrais les revivre encore et encore. Être à cheval était pour moi un plaisir si intense qui mélangeait la liberté, la joie, la solitude que je pouvais passer des heures dans ces chemins à admirer chaque petite chose que nous donnait la nature.
Je m’étais installée pour la nuit près d’un ruisseau, sous un grand chêne si grand que je n’en voyais pas le haut. Mon cheval broutait l’herbe à mes côtés, sous le soleil qui commençait à laisser place à la lune. Ce fut l’un des plus beaux moments de ma vie. La forêt dans laquelle je me trouvais s’était endormie. N’avoir que pour décor cette nature magnifique coupée de cette horrible société qui fait des Hommes d’horribles machines, ne pouvait que me rendre qu’heureuse.
A peine rentrée chez moi dans cette affreuse ville, je m’imaginais dans ces forêts à cheval et pris conscience que c’est ces moments qui me rendait vraiment heureuse. Dans les minutes qui suivent je decida d’envoyer un sms à ma mère: « je reviens la semaine prochaine».

Hamel Romane

 

 

 

 

 


3 commentaires

  1. Ton texte fait la part belle aux sensations : lumière, bruits, parfums.
    Tu peux améliorer encore ton texte en harmonisant l’emploi des temps.

  2. Attention doublon avec PALLIX Emma
    Concertez vous…Ne produisez pas les mêmes images…Ce peut etre autour du cheval, mais choisir un axe personnel et original

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