TVA dessinée.

Comprendre lATVA par le dessin.

Posted in COURS PREMIERE ES

Sans diplôme et chômage

Suite du cours en terminale

sortie du système scolaire sans diplôme et problèmes d’emploi

Posted in actualité

déflation et politique keynesienne cas du Japon

 

 

sur le blog de Michel SANTI

Les trillions de yens déversés par surprise en ce mois de novembre par la Banque du Japon afin de ressusciter son économie ont eu les effets très prévisibles d’affaiblir davantage sa monnaie et de propulser notoirement son marché boursier. Au total – et à ce jour – le Yen aura perdu près de 13% de sa valeur contre le billet vert et le Nikkei progressé de plus de 20% en 2014! Les prix à l’importation subissent pour leur part une escalade, sachant que les salaires réels resteront sous pression dans un contexte d’inflation condamnée à rester très modérée. Les décisions du Premier Ministre Abe de suspendre la hausse de sa TVA, comme celle de convoquer des élections anticipées en décembre prochain, sont dès lors bien compréhensibles. Il a en effet plus que jamais besoin du soutien et de l’adhésion de sa population car cette création monétaire gargantuesque et cette flambée boursière semblent faire pschit avec un troisième trimestre 2014 qui indique une contraction de 1.6% en données annualisées. Il est à l’évidence contradictoire – voire impossible – de relancer l’inflation quand la consommation ralentit du fait de l’augmentation de la TVA.

Pour énergique et digne d’admiration que soit la détermination d’Abe, sa politique et ses décisions manquent néanmoins de clarté quant aux buts recherchés. Si les fameux « Abenomics » consistent juste à promouvoir l’inflation, ils semblent aujourd’hui – et de fait – voués à l’échec. Car l’inflation n’est pas une fin en soi. Elle n’est pas non plus le but ultime. Elle doit nécessairement être une passerelle permettant d’atteindre un objectif. L’école keynésienne classique souhaite pour sa part que cette relance des pressions inflationnistes provoque une baisse du taux d’intérêt réel qui stimulerait l’investissement et la consommation. Dès lors, le Japon entrerait dans un cercle vertueux de croissance à long terme qui autoriserait l’interruption des perfusions de la Banque du Japon.

Pourtant, en présence de l’économie japonaise qui représente un cas d’école par excellence, il est impossible et il serait intellectuellement malhonnête de ne pas penser à Alvin Hansen, inventeur en 1938 de la fameuse formule et du concept de la « stagnation séculaire ». Les fondamentaux ayant conduit à la récession – le diagnostic même de la crise- sont effectivement bouleversés dès lors que la consommation et que l’investissement s’avèrent structurellement déficients du fait d’une contre-dynamique démographique. Ce n’est en effet pas le coût infime du capital (comme il l’est actuellement au Japon) qui motive les investissements dans les secteurs productifs de l’économie. C’est plutôt les perspectives de rentabilité de l’appareil de production qui, elles, sont intimement liées à la capacité et à la surface anticipées du marché en question. Vue sous cet angle, même une reprise de l’inflation au Japon ne serait pas susceptible d’y rétablir une croissance au long cours et autonome, qui en outre aurait pour effet collatéral de rogner davantage le train de vie et le pouvoir d’achat des japonais du fait de salaires stagnants. Dans un tel contexte, comment remédier à une dette publique phénoménale de près de 250% du P.I.B. national ?

Le cas nippon devrait probablement remettre en question la séquence keynésienne qui enseigne que le rétablissement de l’inflation induit le reprise qui permettra à son tour la résorption des déficits. La torpeur japonaise devrait également faire réfléchir les « ultras » du keynésianisme qui plaident avec passion pour davantage de stimuli, qui attribuent systématiquement la double décennie perdue, tout comme ils attribuent systématiquement le semi échec d’Abe, à une politique trop timide de création monétaire. Pourquoi ne pas faire preuve de discernement et rompre cette spirale manichéiste? Et si, après tout, l’économie japonaise n’était tout bonnement pas en mesure d’absorber et de supporter l’inflation qu’on cherche par tous les moyens à lui insuffler? Et si la période de cette histoire de l’économie japonaise où elle répondait favorablement à ce stimulus inflationniste appartenait au passé? Est-ce bien utile de s’obstiner à dévaluer une monnaie – et avec quelle célérité! – pour forcer une inflation qui ne prend décidément pas ?

Dans le cas du Japon, ne doit-on pas sérieusement questionner ce genre de réflexe pavlovien un peu morbide qui exige de stimuler à l’infini dans une fuite en avant qui amènerait logiquement le Yen à 150 contre dollar (par rapport à 117 aujourd’hui et à 105 au début de cette année) ? Ce mécanisme – employé avec le succès que l’on sait aux Etats-Unis depuis 2008 et stoppé il y a quelques semaines – semble cependant ne pas dérouler les mêmes effets dans ce pays qui ne réagit décidément pas comme les autres, et qui donne raison à ceux qui prétendent que l’économie n’est pas une science exacte. Comment les Abenomics sont-ils censés fonctionner si la croissance nippone subit une érosion ininterrompue ou, plutôt, séculaire? Il est pourtant vital de poser un diagnostic approprié sur le mal japonais – croissance déclinante du potentiel économique ou stagnation séculaire – car les remèdes y sont fondamentalement différents, voire divergents.

Comme – sur le moyen et long terme- la politique de la demande et celle de l’offre sont imbriquées, il va de soi qu’une démographie sur le déclin – et donc une productivité en berne – a un impact négatif tant sur la demande agrégée que sur la croissance. En d’autres termes, l’hypothèse d’une stagnation séculaire japonaise exigerait de réagir avec des réformes structurelles. Ainsi, seule l’austérité serait à même de contre balancer le vieillissement de la masse des salariés et des travailleurs, combiné à une détérioration de la productivité! Dans ce cas de figure, la dépression japonaise ne réagirait effectivement pas aux remèdes keynésiens classiques car la croissance y serait mise en échec par d’autres facteurs. Auquel cas l’expérience japonaise consistant à porter la dette publique aux abysses constituerait un danger potentiellement mortel. A moins que la Banque du Japon et que Monsieur Abe ne réussissent à imprimer des japonais ?

Posted in actualité

pour réviser en terminale le chap précédent DD et politiques climatiques

à partir d’articles de La Croix 

Climat, « l’humanité a le choix »

 

D’après les scientifiques, il est encore possible de limiter les dommages « irrémédiables » causés par le changement climatique, à condition d’entamer sans attendre des politiques climatiques volontaristes.

Au fil des rapports, le constat des scientifiques du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) ne fait que se renforcer. Oui, le réchauffement climatique en cours, et son cortège de dérèglements, est « sans équivoque ». Et oui, les activités humaines sont en première ligne pour expliquer les changements observés depuis les années 1950.

« La preuve de l’influence humaine sur le climat a augmenté depuis le précédent rapport », peut-on lire dans le résumé du 5e rapport du Giec, rendu public dimanche 2 novembre à Copenhague après une semaine de travaux (et intégralement disponible en ligne)

e rapport de synthèse – dont les différentes parties ont été rendues publiques progressivement depuis mars dernier – a été élaboré par plus de 800 scientifiques, qui ont passé en revue plus de 30 000 études scientifiques publiées dans le monde ces dernières années.

« L’atmosphère et les océans se sont réchauffés, les quantités de glace et de neige ont diminué, le niveau des mers a augmenté et la concentration de CO 2 a augmenté pour atteindre un niveau inégalé depuis au moins 800 000 ans », précise ainsi le Giec.

4 DEGRÉS DE PLUS EN 2100

D’après le climatologue Hervé Le Treut, « le diagnostic initial, posé par les scientifiques dès 1979, ne fait donc que se confirmer ». À une exception près?: les émissions de gaz à effet de serre ont augmenté plus rapidement qu’attendu, alors même que les signaux d’alarme émis par les scientifiques n’ont cessé de se multiplier.

« Dans les années 1950, 1 à 2 milliards de tonnes de CO 2 étaient émises chaque année en moyenne dans l’atmosphère, relève Hervé Le Treut. Nous en sommes aujourd’hui à 10 milliards de tonnes. »

Faute de corriger la tendance actuelle, le monde se dirigerait vers une augmentation de la température moyenne à la surface de la Terre supérieure à 4 degrés en 2100. Un monde peu enviable où se multiplieraient vagues de chaleur, épisodes d’intenses précipitations, submersions liées à l’augmentation du niveau des mers, insécurité alimentaire, et disparition massive d’espèces végétales et animales.

Pour laisser une chance de rester sous les 2 degrés d’ici à la fin du siècle – objectif adopté par la communauté internationale en 2009 –, les émissions de gaz à effet de serre devraient être réduites dans une proportion de 40 à 70 % en 2050 par rapport à 2010 et quasiment nulles en 2100.

AMBITIEUX MAIS PAS IMPOSSIBLE

Un objectif extrêmement ambitieux, qui implique de se détourner des énergies fossiles omniprésentes aujourd’hui dans le système mondial et de limiter drastiquement la déforestation. Ambitieux mais pas impossible, a insisté dimanche le président du Giec, Rajendra Kumar Pachauri. « La transition vers une économie bas-carbone est techniquement faisable », assure le communiqué du Giec.

De grands progrès peuvent être ainsi enregistrés en matière d’efficacité énergétique. « Utiliser moins d’énergie pour atteindre un objectif donné constitue un grand champ d’amélioration,assure Nicolas Bériot, le secrétaire général de l’observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (Onerc). Beaucoup de solutions sont à notre portée, par exemple mettre au point des moteurs plus sobres en carburant. »

> À lire?: Quels sont les freins à la lutte contre le changement climatique??

Les experts du Giec mettent aussi l’accent sur le développement des sources de production d’électricité décarbonées, comme le solaire, l’éolien et le nucléaire.

D’après le Giec, mettre en place des politiques volontaristes de baisse des émissions de gaz à effet de serre aurait même un impact limité sur la croissance. Selon le rapport, rester dans l’épure des 2 degrés ferait baisser de 0,06 point le taux annuel de la croissance mondiale, estimé entre 1,6 et 3 % au cours du XXIe  siècle.

« Il reste en la matière de grandes incertitudes et les estimations varient selon les modèles »,tempère Stéphane Hallegatte, économiste à la Banque mondiale et l’un des auteurs du rapport. L’une des principales incertitudes réside dans l’accessibilité de certaines technologies comme la capture et le stockage de CO2. L’autre incertitude vient de l’échéance à laquelle seront mises en place les politiques climatiques?: plus on attend et plus leur coût sera élevé.

UNE BONNE NOUVELLE…

Si la prudence est donc de mise sur les chiffres, les études récentes vont néanmoins toutes dans le même sens?: « Remplacer les énergies fossiles par des énergies renouvelables?; construire des bâtiments sobres en énergie, créer des infrastructures de transports et des villes durables n’engendre qu’un faible surcoût par rapport à un scénario “businesse-as-usual” »,assure Stéphane Hallegatte.

Les risques entraînés par le changement climatique sont plus globaux, plus sévères et surtout plus irréversibles que les risques associés aux politiques climatiques. « Une fois que les particules de CO 2 sont émises dans l’atmosphère, il est très difficile de revenir en arrière », rappelle le chercheur. Et, surtout, « l’inaction coûtera beaucoup, beaucoup plus cher », a répété dimanche le président du Giec.

S’il insiste sur l’ampleur des dégâts irrémédiables encourus par la planète et ses habitants, le 5erapport du Giec recèle donc une bonne nouvelle. « Toute une gamme d’options est à notre disposition pour nous adapter, dans une certaine mesure, au changement climatique en cours, et surtout pour prévenir une partie des changements encore à venir, assure le vice-président du Giec, le climatologue Jean-Pascal van Ypersele. L’humanité a le choix. » À condition, toutefois, d’agir fort et dès maintenant.

EMMANUELLE RÉJU

_____________________________________________________________________________________________________________

Quels sont les freins à la lutte contre le changement climatique??

Si les opinions publiques sont désormais acquises à l’idée du changement climatique, de nombreux facteurs, essentiellement d’ordre psychologique, expliquent une forme d’attentisme au sein de la population.

C’est sans controverse majeure qu’a été rendu public dimanche 2 novembre le rapport de synthèse du Giec, dont les résultats ont été livrés par étapes depuis mars 2014.

S’il reste un fond important de climatoscepticisme, essentiellement chez les personnes âgées, c’est surtout la lassitude qui semble gagner aujourd’hui des opinions publiques découragées par ces constats scientifiques alarmants qui ne sont guère suivis d’effets.

QUESTION DE TEMPÉRATURE

Pour Annamaria Lammel, anthropologue et spécialiste de psychologie environnementale, les opinions publiques sont désormais majoritairement acquises à l’idée que le changement climatique est bel et bien en cours. Plus on vit en contact avec la nature, et plus cette perception s’affine, selon les résultats d’une enquête réalisée auprès d’habitants de La Rochelle, de Grenoble et de Paris.

Ainsi, « les Parisiens ont une représentation binaire du changement climatique, qui se résume à une question de température, explique Annamaria Lammel. Les Rochelais et les Grenoblois ont, eux, une vision plus systémique des changements en cours, car ils y intègrent les effets sur le niveau des mers ou la fonte des glaciers. »

> Lire aussi :Il fait toujours plus chaud sur Terre

SOLUTIONS SCIENTIFIQUES

De même, les Parisiens, peu exposés au risque, se montrent les plus flegmatiques. « Ils ont un haut niveau de confiance dans la capacité des sociétés à s’adapter au changement et dans celle des scientifiques à trouver des solutions », constate la chercheuse.

En Nouvelle-Calédonie, en Guyane, c’est ­l’anxiété qui l’emporte, face à des changements perçus dans leur globalité.

COMPLEXITÉ DU SYSTÈME CLIMATIQUE

Admettre le fait scientifique ne se traduit pas pour autant en actions. « Il est tout à fait naïf de penser que la connaissance scientifique motive à elle seule le passage à l’acte », assure le politologue François Gemenne, spécialiste des questions climatiques.

De nombreux freins aboutissent plutôt à une position attentiste. D’abord la complexité du système climatique, non réductible aux aléas de la météo sur le court terme. « Que se produise en France un été pourri, et les gens vont se mettre à douter de la réalité du changement climatique », note-t-il.

LES ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE DE NOS GRANDS-PARENTS

Les freins sont aussi, et surtout, d’ordre psychologique. L’expérience du changement climatique dépasse largement celle de l’expérience humaine. Ce sont en effet les émissions de gaz à effet de serre de nos grands-parents qui ont des conséquences aujourd’hui.

Et si nous réduisons nos émissions, ce ne pourra être qu’au bénéfice des générations futures.« Or, les individus ont le plus grand mal à se projeter au-delà de leur propre existence », relève Annamaria Lammel.

Une façon de penser caractéristique de l’individu, et qu’aucune institution n’est parvenue à corriger. « Il y a même une forme de désincitation à agir, ajoute François Gemenne, puisque, quoi que nous fassions, les effets du changement climatique sont fixés pour les cinquante prochaines années. »

> Lire aussi ?: Dérèglement climatique, à qui la faute?

METTRE DE L’HUMAIN DANS LE DÉBAT SCIENTIFIQUE

À cette distance temporelle s’ajoute une grande distance entre acteurs et victimes du changement climatique. Car ce sont les pays les plus pauvres – qui ne sont responsables qu’à la marge des émissions produites – qui en subissent et en subiront les plus graves conséquences.

> Lire aussi ?: Le changement climatique va provoquer de nouvelles injustices

Reste que « la majorité des gens se sentent impuissants en tant qu’individus », souligne encore Annamaria Lammel. Le découragement menace d’autant plus que les messages sont contradictoires. « Il y a, d’un côté, un message catastrophiste qui met l’accent sur l’ampleur des menaces, et de l’autre un message qui prône les petits gestes individuels et minimise le problème, observe François Gemenne. Cette conjonction crée de la confusion dans l’esprit du public. »

La solution?? « Mettre en scène le scénario qui identifie les obstacles à surmonter ensemble et la voie pour y arriver », prône-t-il. Bref, remettre de l’humain dans un débat qui s’est voulu jusque-là purement scientifique, en mobilisant des valeurs comme l’équité, la justice et la notion de solidarité de tous sur une planète unique.

> Lire aussi?: Pragmatisme climatique

EMMANUELLE RÉJU

 

Posted in actualité, ARTICLE DE PRESSE, COURS TES, croissance et crises, économie de l'environnement, politiques économiques

calendrier Post bac

POUR LES INSCRIPTIONS AU BAC CELA SE FAIT DANS L’ETABLISSEMENT 

Important : Les candidats scolarisés sont inscrits EXCLUSIVEMENT par l’établissement fréquenté.
Le Service du baccalauréat est à votre disposition pour toute information complémentaire.

Baccalauréat général : 04 95 50 33 48.

 

 

 

Ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche

Calendrier des admissions post-bac session 2015
Mise à jour des données sur les formations par les établissements d’accueil :
Du lundi 3 novembre au vendredi 28 novembre au plus tard
Ouverture pour les candidats du site d’information version 2013 :
Le lundi 1er décembre
Remontée des données SIECLE par les établissements d’origine vers APB :
Début décembre et obligatoirement avant le 15 janvier
Remontée des notes et appréciations du 1er trimestre ou 1er semestre de terminale par les établissements volontaires :
Dans les jours qui suivent les conseils de classes de terminale et avant le 20 février
Formulation des voeux par les candidats :
Du mardi 20 janvier au vendredi 20 mars 18h
Phase d’orientation active :
A partir du 20 janvier
Saisie en ligne des notes et appréciations par les enseignants et proviseurs :
Du lundi 2 mars au jeudi 2 avril (recommandé après le 21 mars)
Remontée des notes du 2e trimestre et mise à disposition des bulletins aux élèves :
Au plus tard le 26 mars
Date limite de modification des dossiers (saisie de notes, lettres de motivation…), de validation et d’impression des fiches de voeu :
Le jeudi 2 avril
Envoi des dossiers-papier, par les candidats, au plus tard :
Le jeudi 2 avril
Saisie des capacités par les établissements d’accueil :
Du 2 avril au 30 avril
Récupération des listes des candidats inscrits (pour les commissions d’admission) :
Le mercredi 8 avril
Congés de printemps :
Du 13 avril au 10 mai
Date limite de pointage des dossiers reçus par les établissements destinataires :
Le lundi 4 mai
Consultation, par les candidats, de la réception par les établissements destinataires de leur(s) dossier(s) de candidature :
Du mardi 5 mai au vendredi 8 mai
(L’information est donnée avant cette date pour les saisies déjà effectuées par les établissements)
Saisie du nombre de places à pourvoir :
A partir du 15 mai
Date limite de retour des classements par les commissions d’admission et de saisie des données d’appel de la simulation du 1er juin
(les données d’appel peuvent ensuite être modifiées pour les simulations suivantes) :
Le jeudi 28 mai
Classement des voeux des candidats :
Du lundi 20 janvier au dimanche 31 mai
Consultation des fiches pédagogiques par les élèves :
A partir du 1er juin
PHASES D’ADMISSION :
– Première phase : lundi 8 juin 14h
Simulations du 1er au 6 juin (2 simulations par jour du 4 au 6 juin)
Réponse des candidats avant le 13 juin 14h
Démission des candidats sans réponse le 15 juin 14h
– Deuxième phase : jeudi 25 juin 14h
Simulations du 17 juin au 23 juin,
Réponse des candidats avant le 30 juin 14h
Démission des candidats sans réponse le 2 juillet 14h
– Troisième phase : mardi 14 Juillet 14h
Simulations du 8 au 12 juillet,
Réponse des candidats avant le 19 juillet 14h
Démission des candidats sans réponse le 21 juillet 14h
DEBUT DES VOEUX DE LA PROCEDURE D’ADMISSION COMPLEMENTAIRE :
Le vendredi 26 juin 14h
Saisie des inscriptions administratives :
Lors de l’inscription administrative des élèves.
Fin de la procédure complémentaire et de la gestion des listes d’attente :
Le 15 septembre
Délais de réponse des candidats : – 1 semaine jusqu’au 20 août
– 72 heures du 20 août au 31 août
– 24 heures à partir du 1er septembre
Pour l’académie de la Réunion, le délai de réponse passe à 24 heures dès le 18 août.
Saisie des présents à la rentrée :
Dans la semaine suivant la rentrée
Préparation de la session 2016
Remontée SIECLE des élèves de première :
A partir du 15 mai et jusqu’à fin septembre
Remontée des notes et appréciations des trois trimestres ou des deux semestres de première :
Après la remontée SIECLE, après le dernier conseil de classe de première et avant fin septembre. Pas de
possibilité de remonter les notes de première en même temps que les notes de terminale.

Posted in actualité

les connecteurs logiques

pour mieux rediger

Tableau des connecteurs logiques :

 

 

 

 

Nature du lien entre les idées

Exemples de connecteurs logiques
 

La succession

D’abord…, ensuite…, enfin

En premier lieu…, en second lieu…

D’une part…, d’autre part

La gradation (vous ajoutez un argument qui va dans le même sens que votre argument précédent et qui accentue encore votre propos) De plus, de surcroît, en outre, puis, également

Non seulement…, mais encore…

L’opposition (vous développez un argument qui va dans un sens opposé à votre précédent argument) Au contraire, a contrario, en revanche, en fait

Or, à l’inverse, inversement

La restriction ou la nuance (vous nuancez ce que vous venez de développer) Cependant, néanmoins, pourtant, toutefois, mais
L’alternative Soit…, soit…

Ou bien…, ou bien…

Ou…, ou…

La concession (vous faites une concession sur un point mineur de votre argumentation, mais cela ne remet pas du tout en cause votre développement ; la nuance a des conséquences plus importantes que la simple concession) S’il est vrai que…, il n’en reste pas moins que

Certes…, mais…

Bien que, quoique

Même si, en dépit de, malgré

La causalité (vous allez évoquer la cause du phénomène que vous   venez d’évoquer) Car, parce que, en raison de, du fait que, puisque

En effet, effectivement

La conséquence (vous allez évoquer la conséquence du phénomène que vous venez d’évoquer) Donc, ainsi, aussi, c’est pourquoi, si bien que, dès lors, d’où

De ce fait, afin de, dans le but de, par conséquent.

En conséquence, par suite, c’est dire que

L’analogie (vous faites se succéder deux phrases ou deux paragraphes qui développent des arguments similaires ou proches) De même, ainsi que, comme, parallèlement, simultanément.
Le paradoxe Paradoxalement, contre toute attente
La conclusion Pour conclure, en conclusion, en fin de compte, in fine, finalement, en définitive, pour en finir

 

 

 

 

 

 

Posted in actualité

premiere ES révision premier thème

voila une présentation qui peut vous aider a réviser 

et de quoi penser à propos de la valeur ajoutée et ses enjeux  et pour préparer la révision de façon méthodologiquement ( EC2)sur la diversité des entreprises 

Posted in COURS PREMIERE ES, les grandes questions des économistes

pour les tes: PT croissance.

Relative a la correction du dernier DST voila une correction d’une EC3 qui peut vous aider a comprendre ce qu’il convient de faire quand il vous est demandé de vous questionner

quant à Schumpeter voila un bon résumé pour que je cesse de lire vos sottises (et je suis gentille) sur cet économiste hétérodoxe sans parler de vos délires sur Smith et Ricardo !!!du moins de certains d’entre vous …

Posted in actualité

pour les secondes des liens sur la Pauvreté

voila le rapport du secours catholique vous pouvez cliquer directement

pour les éléments d’alternatives économiques 

1

(:http://www.secours-catholique.org/nos-actions/nos-actions-en-france/action-sociale-et-institutionnelle/enquetes-et-analyses-statistiques/rapport-statistique-2013-la-pauvrete-au-masculin-la,13487.html)

2

http://www.alternatives-economiques.fr/les-pauvres-decrochent_fr_art_1324_69708.html

Posted in actualité Tagged , ,

Terminale articles alter éco chap 1

Voici quelques articles d’alternatives économiques en lien avec le chapitre sur la croissance. Ils vous permettront d’approfondir votre cours et de faire le lien avec l’actualité.
La plupart de ces articles sont disponibles au CDI. Ils sont également consultables en ligne pour les abonnés à la revue.
Les premiers articles cités correspondent à des éléments déjà abordés en cours, les autres seront abordés prochainement.
– dossier spécial croissance dans le numéro 338 de septembre 2014
– les hors série n° 98 d’octobre 2013 sur « les chiffres 2014 » et n°100 de février 2014 sur « l’état de l’économie 2014 » comprennent des articles permettant de mieux comprendre les PPA
– article du n° 266 de février 2008 sur croissance, bien-être, développement
– article du n° 270 de juin 2008 sur les nouveaux indicateurs
– le hors série n° 97 d’avril 2013 intitulé « faut-il dire adieu » à la croissance ? » est consacré à cette thématique
– un article du n°323 d’avril 2013 est consacré au progrès technique
– un article du hors série pratique n° 46 de novembre 2013 est consacré au rôle de l’investissement et un autre à la productivité
– un article de l’économie politique n°3 d’avril 2006 énonce le rôle des institutions

 

Sur les parités de pouvoir d’achat vous pouvez compléter avec la vidéo suivante :
Pourquoi le big mac n’est pas vendu au même prix partout dans le monde ?

Jessaie de vous en trouver les liens sur www:alternativeseconomiques.fr.

Posted in actualité