en passant L’activité humaine asphyxie les zones côtières

Par Arthur Le Denn 13 septembre 2017 à 16:35, Libération La plage de Calvert Cliffs Satet Park dans la baie de Cheasapeake au Maryland (Etats-Unis). La baie a été le premier endroit de la planète à être déclarée «zone morte».

La plage de Calvert Cliffs Satet Park dans la baie de Cheasapeake au Maryland (Etats-Unis). La baie a été le premier endroit de la planète à être déclarée «zone morte». Photo Daniel Slim. AFP

Immobiles, les crustacés et les coraux y meurent. Les poissons, eux, les fuient. La biodiversité marine a bien du mal à composer avec les «zones mortes», pauvres en oxygène. Maroc, Pérou, Californie… On en dénombrerait plus de 400 autour du globe. D’une superficie totale de 245 000 kilomètres carrés, le plus souvent le long des côtes ouest des continents. Le phénomène est vieux comme le monde. Mais l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA) a découvert récemment que celle bordant le sud des Etats-Unis, dans le golfe du Mexique, avait grossi de 3% en quinze ans. Son étendue est aujourd’hui estimée à 22 000 kilomètres carrés.

Un article très utiles pour le cours de géographie de seconde lorsqu’il sera question des « littoraux, espaces convoités », à lire sur le site de Libération : http://www.liberation.fr/sciences/2017/09/13/l-activite-humaine-asphyxie-les-zones-cotieres_1595778?xtor=rss-450

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