Méthode de la dissertation
Introduction (trés importante, c’est la vitrine du devoir!)
[saut de 2 lignes]
1ère partie (une idée = un paragraphe)
Transition
[saut d’une ligne]
2ème partie
Transition
[saut d’une ligne]
3ème partie
[saut de 2 lignes]
Conclusion
Plans non conseillés:
-
thèse/antithèse/synthèse
-
plan dogmatique (X-Y et moi ; X-Y et Z)
-
plan définitionnel: le sujet demande de penser le rapport entre 2 notions et ces notions sont définies séparement en I et II, pour n’être comparées qu’en III.
Plan conseillé :
exemple : peut-on ne pas penser ? (penser : mot d’articulation)
-
Réponse immédiate : Est-il possible de ne pas avoir d’activité cérébrale ? : non
-
Réponse réfléchie : Est-il possible de ne pas juger (d’avoir des a priori, des opinions) ? : oui
-
non : a-t-on le droit de ne pas juger ? (droit naturel en tant qu’homme)
3ème partie, 3 options possibles (crescendo) :
-
pas de réel III, on sépare le II en 2, en gardant le meilleur argument pour le III : renforcement du II
-
jouer sur un 2ème mot d’articulation (non-oui-non ; oui-non-oui)
-
analyser le présupposé du sujet pour le renverser. Attention de ne pas confondre présupposé de la question et réponse suggérée par la question.
Introduction :
-
Mot d’articulation – sens 1
-
À partir du sens 1, on a la réponse immédiate
-
Mais le mot a aussi le sens 2 donc R2 remet en question R1
-
Aussi, on peut se demander si [sujet] ?
-
Poser cette question, c’est cependant présupposer que … ( temps facultatif)
-
C’est donc du problème de …
-
Annonce du plan sous forme de questions enchaînées.
exemple : peut-on ne pas penser ?
Introduction :
-
Penser, c’est avoir une activité mentale que ce soit se remémorer, imaginer, douter, percevoir.
-
Dès que nous sommes éveillés, le cerveau fonctionne donc il semble impossible de ne pas avoir d’activité mentale, même endormi, notre cerveau fonctionne.
-
Mais penser, c’est aussi juger. Or, on dit de certaines que ce qu’ils pensent n’est que préjugé, donc il semble possible de « penser » sans penser, donc de ne pas penser.
-
Aussi, on peut se demander si on peut finalement ne pas penser ?
-
C’est donc du problème du rapport de l’homme à sa pensée dont nous allons traiter.
-
Problème que nous allons aborder en nous demandant si il est possible de ne pas avoir d’activité mentale ? Si pour autant on peut ne pas juger ? Et si tel était le cas, en a-t-on le droit ?
Conclusion :
Bilan : on a vu que [I]… et que [II]… et que [III]… on peut dire que… Question d’ouverture absolument pas nécessaire!
réponse nuancée mais claire et définitive