Ma thématique et mon entrée selon le texte de Luc Collès

Concernant mon projet de recherche, je compte étudier la façon de dépasser les stéréotypes culturels grâces à des albums jeunesses. La lecture étant pour moi un excellent moyen de communication, je pense qu’il est important de transmettre cette connaissance aux enfants dès leur plus jeune âge, en commençant peut être avec des livres sans écriture, dans un premier temps. Ce qu’il est important de faire comprendre aux enfants, c’est que notre monde est constitué de nombreux stéréotypes qui nous entourent dans la vie de tous les jours, et qu’il est important de les connaître, afin de mieux pouvoir les dépasser. Pour arriver à un tel résultat, il est possible de raconter dès la classe de maternelle des histoires basées sur différentes cultures, afin qu’ils commencent à se créer leurs propres images mentales. A partir de cela, on peut commencer à exploiter leurs connaissance. Suite à la conférence des Boréales, tenue hier à l’ESPE de Caen, il m’a paru interessant de se baser sur la création d’un texte libre, qui serai l’assemblage de multiples illustrations d’enfants, pouvant être commentée lors d’une vidéo ou d’une petite mise en scène. Cela permettrait de faire réfléchir les plus jeunes sur le monde qui les entoure, en accentuant les contrastes déjà présents autour d’eux. Ainsi, cela les pousserai à se créer leur propre avis sur la culture, tout en apprenant que les albums jeunesse, et donc, la lecture par la suite, sont une source inestimable d’information qu’il ne faut pas négliger. Afin d’appuyer ma recherche, je compte me baser sur la première méthodologie de Luc Collès, qui est « L’approche de l’interculturel par les représentations et les stéréotypes », qui me parait tout à fait adapté à mon sujet de recherche. J’ai déjà proposé à mon encadrant de créer une sorte de petite séquence fictive sur laquelle je pourrais appuyer mes arguments théoriques.

Une réflexion sur « Ma thématique et mon entrée selon le texte de Luc Collès »

  1. On parle d’albums sans texte (plutôt que de livre sans écriture). Votre idée de vous inspirer des albums sans textes des Boréales est intéressant, ensuite il faut trouver le bon support et se garder de construire une représentation stéréotypée des cultures (c’est le risque avec l’image surtout lorsqu’on s’adresse à des tout-petits). Attention à « l’effet Kirikou » (à plus forte raison si l’album est sans texte c’est -à-dire si l’image n’est pas médiée par du langage). Le rôle de l’enseignant et sa présentation de l’image aux enfants sont primordiaux

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