Category Dictée n°1-3e

Je naquis au Havre un vingt et un février mil neuf cent-trois. Ma mère était mercière et Mercier :ils trépignaient de joie. Inesplicablement je connus l’injustice et fus mis un matin chez une femme avide et bête, une nourrice qui… Continue Reading →

Je naquis au Havre un vingt-un février mil neuf cent et trois. Ma mère était merciére et mon père mercier : ils trépignaient de joie. Inexplicablement je connus l’injustice et fus mis un matin chez une femme avide et bête,… Continue Reading →

Je n’avais au Havre un vingt-un février mille neuf cent trois ma mère était mercière et mon père mercier :ils trépignant de joie.Inexpliquablement je finis l’injustice et fut mis un matin chez une femme avide et bète,une nourice,qui l’entendit son… Continue Reading →

Je naquis au havre un vingt-un février mil neuf cent et trois. Ma mère était mercière et mon père mercièr: ils trepignaient de joie. Il n’explicablement je connu l’injustice et fut mi un matin chez une femme avide et bête… Continue Reading →

Je naquis au Havre. un vingt un février mille neuf cent trois . Ma mère était mercière et mon père mercier : ils prétignaient de joie.inexplicablement je connus l’injustice et fus mis un matin chez femme avide et bête ,… Continue Reading →

Je naquis au Havre un vingt et un février mille neuf cent trois (1903). Ma mère était mercière et mon père mercier : ils trépignaient de joie . Inexplicablement je connus l’injustice et fus mis un matin chez une femme… Continue Reading →

Je naquis au Havre un vingt et un février mille neuf cent trois. Ma mère était mercière et mon père mercier: ils trépignaient de joie. Inexplicablement je connus l’injustice et fus mis un matin chez une femme avide et bête,une… Continue Reading →

Dictée séquence 1 Je naquis au Havre un vingt et un février mil neuf cent trois. Ma mère était mercière et mon père mercier: ils trépignaient de joie . Inexplicablement  je connus l’injustice et fus mit un matin chez une… Continue Reading →

Je naquis au Havre au Havre un vingt-un février mil neuf et trois (1903). Ma mère était mercière et mon père mercier : ils trépignaient de joie . Inexplicablement je connus l’injustice et fus mis un matin chez une femme… Continue Reading →