Sid est un jeune adolescent muet que son père vend un jour à Ashraf, un cupide propriétaire d’éléphants, pour effacer leurs dettes. Il partage alors la vie des mahouts, les maîtres et soigneurs d’éléphants, dans un camp où hommes et bêtes partagent une vie de misère, faite de privations, d’humiliations et de mauvais traitements. Mais un jour, Trishur, le plus grand des éléphants du camp, brise ses chaînes et s’enfuit; Sid le suit et se réfugie dans une fondation pour le sauvetage des éléphants. Là, il découvre un monde très différent, fait de paix et de confiance…
C’est à la fois la misère et la grandeur de l’Inde – mais aussi des hommes – que Patrice Favaro nous donne à voir dans un roman aussi instructif qu’émouvant.
Ce livre, Mahout, m’a procuré la sensation de courir un long marathon.
Après avoir mis mes chaussures de sport, et avoir visualisé mon trajet, je me suis lancé :
Tout d’abord, les 500 premiers mètres m’ont paru interminables à cause de la mauvaise qualité de la route, de plus, je ne m’étais pas préparé à un tel effort.
Après ce faux départ, les 3 kilomètres suivants m’ont plu, de beaux paysages et des personnes touchantes, rencontrées sur le chemin, accompagnaient ma petite foulée.
Puis, je me suis rendu compte quelques minutes plus tard, que le parcours pré-visualisé sur internet était exactement comme prévu, sans surprises, c’est comme si j’avais déjà couru ici … Dommage, j’aurais aimé être surpris…
Après avoir créé une dizaine de trous dus à la lourdeur de mes pas, je poursuivis mon trajet.
Ce n’est pas la fatigue mais la monotonie des paysages qui m’a donné envie d’abréger la balade, c’était comme courir sur un circuit de formule 1 : sans grand intérêt.
Enfin, sur le chemin du retour, sentant la fin de ma promenade arrivée, et ayant dépensé toute mon énergie dans un ultime sprint, je me suis mis à marcher tranquillement en repensant à mon expérience, qui somme toute n’était pas vraiment agréable …
Mahout est un livre dont l’histoire se passe en Inde, il raconte la vie d’un jeune garçon muet. Dans son livre, l’auteur (P. Favaro) utilise des faits réels en montrant le père de Sid qui le vend à Ashraf pour ses dettes. La lecture de ce livre ne m’a pas plu, surtout la fin: je ne m’attendais pas à ce que Priya se marie avec un autre garçon que Sid, ce qui m’a déplu.
On se plonge difficilement dans le livre, jusqu’au point où l’on veut arrêter de lire car il n’y pas d’action. On a du mal à s’identifier aux personnages.
Maître d’éléphants
Amoureux de Priya son amie
Heureux d’être libre de sa vie,
Ou d’être avec les éléphants.
Un garçon volé à son foyer
Terrifié du drame de son passé.
Se renfermant dans son silence
Intelligent, il arrive à sa faire entendre.
Le problème les éléphants ne peuvent le comprendre
En effet ils doivent être sous son influence.
Ne pouvant se retenir de rire,
Cède à son passé
En un élan de joie de vivre.
(3- Poème acrostiche écrit à partir du portrait chinois de Clémence)
(3.5) Un livre très touchant qui m’a fait découvrir un pays sous plusieurs de ses facettes. Cette histoire pleine d’émotions et de surprises n’a pas été facile à démarrer (comme pour Elyse R.) mais une fois le premier chapitre lu, je me suis laissée guidée et j’ai pris énormément de plaisir à lire alors que je ne suis pas une très bonne lectrice : la sensibilité de l’histoire de Sid m’as emportée. Ce voyage a travers l’Inde, m’a fait découvrir un pays que je ne connaissais pas et m’a donné envie d’en savoir un peu plus sur ce superbe pays qui m’a été décrit par cette belle histoire. Un mystère continu qui ne sait s’arrêter et qui ne peut que vous envouter.
Le portrait chinois de « Mahout » :
Si mon livre était un animal cela serait, bien entendu, un éléphant.
Si mon livre était une couleur, ce serait le bleu.
Si mon livre était une arme, ce serait la voix d’Ashoka et de Sid.
Si mon livre était un endroit, ce serait là où les deux bras de la rivière Kaveri se rejoignent après s’être séparés.
Si mon livre était un bruit, ce serait le silence de Sid.
Si mon livre était un métier, ce serait Mahout.
Si mon livre était une pièce, ce serait le kraal ; là où les éléphants sont enfermés pour être dressés.
Si mon livre était un véhicule, ce serait un éléphant.
Si mon livre était une langue, ce serait le malayalam, une langue parlée dans l’Etat du Karala à la pointe Sud de l’Inde.
Si mon livre était un sentiment, ce serait l’amour qu’éprouve Sid pour les éléphants et pour Priya.
Et si mon livre était une qualité, ce serait de tenir sa parole.
« Mahout » de Patrice Favaro était le troisième roman que j’ai lu, je vais le présenter par le biais d’un portrait chinois.
Si mon livre était un plat, il serait épicé.
Si c’était un animal, ce serait un éléphant.
Si « Mahout » était un endroit, ce serait un camp.
Si mon roman était un bruit, il n’y en aurait aucun.
S’il s’agissait d’un climat, il serait tropical.
Si mon livre était un métier, ce serait celui de mahout.
Si c’était une langue, ce serait l’indien.
Si mon roman était un sentiment, il exprimerait la révolte.
S’il était une boisson chaude, ce serait le thé.
Finalement, si « Mahout » était une couleur, il serait rouge.
La couverture ne m’intriguait pas,
Le résumé ne m’inspirait pas,
Mais ça y est je m’y mets
Et je suis prêt.
Tout de suite mis dans le feu de l’action,
Une soudaine compassion
Pour Sid, un jeune adolescent muet
Vendu par son père à un propriétaire d’éléphants pour quelques billets.
J’en suis révolté,
Pourtant c’est arrivé:
Sid devient mahout et apprend
A dresser les éléphants.
Attiré par une fille qu’il a rencontré,
Cela le pousse à s’échapper.
Il se forme entre eux une belle amitié
Ce qui m’a beaucoup touché.
Va-t-il un jour pouvoir lui parler ?
c’est la question que je me suis posé.
Maintenant si tu veux le découvrir,
A toi de le lire.
(4) J’ai bien aimé ce roman « Mahout » de Patrice Favaro. En voyant la réticence de la classe à l’égard de ce livre je me suis dévouée et j’avoue ne pas en être déçue. C’est un livre à lire tranquillement dans un lieu confortable. Ce récit est une plongée fabuleuse au sein de la complexité de l’Inde où on peut y observer ses deux facettes (mélioratives et péjoratives) et une culture similaire à la nôtre ; de plus on apprend beaucoup de choses sur les éléphants et les mahouts. Ce livre est facile à lire. Le personnage de Sid m’a beaucoup touchée et contrairement aux autres commentaires postés, le fait que Sid soit muet m’émeut encore plus, ceci nous rapproche davantage du personnage. Seul la fin m’a deçue, le livre est plein de rebondissements on s’attend donc à une fin plus palpitante cependant le roman se termine sur des paroles de Sid. Je le conseille aux lecteurs aimant les animaux (particulièrement les éléphants !) et amateurs de nouvelles cultures.
(3/5) A la base, j’ai lu ce livre sans vraiment m’y intéresser, j’ai vraiment eu du mal à rentrer dedans, honnêtement je ne l’ai pas beaucoup aimé. Je trouvais qu’il y avait un manque d’actions et de dialogues étant donné qu’il se fait passer pour un muet. Malgré ça je trouve qu’il y a des côtés positifs, le livre reste bien écrit et les histoires de Mahout et des éléphants sont captivantes, les paysages sont bien décrits. C’est vrai qu’à des moments j’avais envie de fermer le livre mais arrivé vers la fin on comprend pourquoi Sid ne parle pas, même si je suis un peu déçu de cette fin qui se termine sur quelques paroles, ce livre reste touchant. Pour ma part ce qui est sur c’est que je ne verrai plus jamais les camps pour éléphants de la même manière, de plus cela reste un beau livre à lire. Je le conseille pour tous ceux qui sont fans de légendes et d’animaux.
(4/5) Mahout raconte l’histoire d’un jeune garçon élevé par des éleveurs d’éléphants à travers laquelle on nous sensibilise sur la protection de ces animaux. Je dois avouer qu’à la lecture du résumé l’histoire ne m’intéressait pas, je n’avais aucune motivation à lire ce livre car les récits sur les animaux ne m’attirent pas. J’ai mis une semaine avant de me plonger dans le livre. Je n’ai pas aimé car dans cette histoire il n’y a pas d’action, il y a beaucoup de descriptions ce qui fait que le personnage principal ne parle pas, il y a très peu de dialogues. Je pourrais utiliser l’expression » sauter du coq à l’âne » pour parler des chapitres. J’ai eu du mal à suivre le cours de l’histoire car les chapitres ne se suivent pas. Il y a une dernière chose qui m’a déçue, la fin. Elle se termine brutalement, sur quelques paroles et personnellement je suis « restée sur ma faim « .
Mais il y a une chose positive dans l’histoire, le fait que le personnage principal ne parle pas laisse planer un certain mystère tout au long de la lecture et c’est ce qui donne envie de le lire jusqu’au bout car nous voulons savoir si oui ou non il va se mettre à parler car on nous précise bien qu’il n’est pas muet.
En conclusion, je ne classerais pas ce livre en n°1 car il ne présente aucun intérêt, mise à part la cause défendue, tant au niveau de l’écriture que de l’histoire.
L’Inde,ses coutumes,les élephants,l’amour…tout est fait pour aimer ce livre .C’est une découverte de l’Inde à travers la vie d’un mahout.Dans ce livre les deux facettes de l’Inde sont mises en valeur: l’une péjorative l’autre méliorative. Cette opposition entre l’horreur et le bonheur est formidable. Ce livre est très facile à lire et très captivant.
(3.5) J’ai commencé à lire ce livre à contre-coeur, j’ai donc eu du mal à me mettre dedans, à m’y intéresser vraiment mais malgré toutes mes réticences, en quelques dizaines de pages je ne pouvais plus m’arrêter, l’histoire de Sid est touchante. Le mYstère que garde le personnage principal durant tout le livre nous pousse à en lire toujours plus et les rebondissement font qu’on ne se lasse pas des aventures du jeune garçon, ce n’est pas un roman plat et je lui ai trouvé de l’intéret dans le sens que, en même temps du plaisir de lire, on découvre une une autre façon de vivre qui n’est pas similaire à la nôtre. J’ai beaucoup apprécié ce livre et je le recommande !