Voici le tableau : la guerre d’Algérie, une école perdue dans un coin de montagne algérienne, un instituteur français proche de la population locale… Et un jour, un gendarme qui charge cet instituteur de conduire un prisonnier à Tinguit pour qui doit être jugé pour meurtre. Peut-on ne pas prendre partie pour l’un des camps en temps de guerre ?
Une excellente bande dessinée, servie par de magnifiques dessins. A déguster sans modération !
« L’hôte » m’a fait découvrir un peu d’Albert Camus sous la forme d’une BD. Je ne l’ai pas beaucoup aimée mais je ne l’ai pas détestée. Il y a des paysages tellement bien dessinés que cela nous donne envie d’aller plus loin dans l’histoire mais lorsque l’on arrive à la fin on est un peu déçu; j’aurais voulu que l’histoire ne se termine pas si rapidement. L’absence d’expression sur les visages ne m’a pas gênée, c’est même ce qui fait la différence avec les autres BD que j’ai l’habitude de lire. Je le recommande à tous ceux qui voudraient changer de style de livre.
Cette BD se lit très rapidement, c’est un livre pour ceux qui aiment les histoires courtes. Je suis d’accord avec Rémi D , les expressions des visage des personnages ne sont pas à mon goût non plus. On a comme une impression de voir tout le temps les même images. C’est autre chose que ce qu’on lit d’habitude.(les romans); mais l’histoire n’est pas très intéressante, je n’ai pas vraiment compris la fin. J’ai trouvé cette BD longue et ennuyante, il n’y a pas le petit « truc » qui nous donne envie de savoir la suite.
J’ai lu le livre « L’Hôte » de Jacques Fernandez, et je n’ai pas aimé ce livre. D’abord, l’histoire est trop longue et je ne l’ai pas trouvée très intéressante : il n’y avait pas d’action et seulement trois personnages. Pour moi, les dessins ne sont pas bien réalisés et l’on ne voit pas les expressions des visages.
Ensuite, ce que je n’ai pas aimé, c’est qu’il n’y avait pas beaucoup de textes, à part la discussion entre Balducci et le personnage principal; il y avait beaucoup trop de pages sans texte.
L’histoire est aussi trop longue pour ce qu’elle raconte, et je ne vois pas l’utilité d’avoir sorti une BD comme cela.
(3.5) L’Hôte est une BD écrite et dessinée par Jacques Fernandez d’après une oeuvre tirée de « l’Exil et le Royaume » d’Albert Camus.
Je n’ai pas aimé ses dessins, pas qu’ils soient de style enfantin ou je ne sais quoi d’autre, mais ils sont vite réalisés ça fait un peu brouillon comme si le dessinateur n’avait pas eu le temps de développer les expressions faciales, les ombres, (ça manque principalement pour les traits du visage).
Par ailleurs je n’ai pas du tout apprécié l’histoire: molle, sans action, presque sans dialogues. De nombreuses pages ne contiennent que des images ( rapide à lire pour ceux qui n’aiment pas lire, le livre se lit en cinq minutes).
De plus la fin reste en suspens. Je déteste les histoires qui ne se terminent pas (film ou livre). Je trouve que c’est un manque de courage de la part de l’auteur (peut être que la nouvelle « l’Exil et le Royaume » ne se termine pas).
Le seul point que j’ai apprécié est le fait que à partir de si peu (histoire) le lecteur soit interpellé par de nombreux questionnements sur les relations entre les êtres, humains ou moins humains, et sur les personnalités de chacun.
(2.5) L’hôte de Jaques Ferrandez est une BD. L’histoire se passe pendant la guerre d’Algérie, un instituteur se voit confier la mission de ramener un prisonnier algérien en prison ( on va pas tout dévoiler car le livre est déjà court =) )
Au début je pensais que l’histoire serait un peu plus intéressante, qu’il y aurait un minimum d’intrigue ou d’action mais il n’y a rien eu de tout ce qui m’a très déçue
La seule chose que j’ai vraiment appréciée ce sont les dessins, ils nous permettaient de nous imaginer dans des décors réels.
On peut déjà féliciter l’auteur d’avoir fait une adaptation d’une nouvelle écrite par Albert Camus, ce qui est déjà en soi un exploit. La BD est courte et très facile à lire, notamment grâce à la présence de peu de texte. Les personnages sont assez bien représentés, mais n’ont malheureusement aucune expression du visage, on a l’impression qu’ils restent toujours neutres malgré ce qui se passe. Une absence d’expression qui gâche le reste des dessins: les paysages qui sont très bien réalisés et sont très réalistes.
La BD reste quand même ennuyeuse, on s’endort rapidement en la lisant à cause de l’absence de suspense et d’action. Mais malgré tout c’est une très belle histoire, qui est encore plus belle dans la nouvelle d’Albert Camus, et qui nous fait réfléchir sur le monde.
Finalement, je vous conseille de lire cette histoire.
(2.5) Cette BD m’a tout d’abord fait voyager ! Les illustrations sont magnifiques, détaillées, et m’ont plongée dans un pays que je ne connais pas ! Ce qui n’empêche que je n’ai pas compris… Je me réjouissais de lire cette courte histoire alors que j’aurais certainement mieux compris et apprécié l’histoire sous forme de roman. Cette BD se résume à quelques bulles sans précision alors qu’avec d’avantage de phrases, elle aurait pu être plus attirante. Elle se termine par une menace alors que l’instituteur laisse le prisonnier s’en aller, il est où le sens ? Autant enlever la moindre lettre qui constituent cette histoire.
Ce n’est pas un livre qui m’a conquis, et je ne conseille pas cette BD, à part si vous voulez admirer le travail et le trésor de ses somptueuses illustrations !
Sa gentillesse
Aura été créatrice d’ennuis
Beaucoup d’incertitude
Le poursuivront
Et risqueront de lui causer la vie
A travers le désert
Route parsemée de neige
Avec la froideur de l’hiver
Bien décidé à faire une bonne action
Engendrera bien des soucis
(2)
(1.5) Voilà une BD qui m’a vraiment intrigué … Elle n’est pas comme toutes les BD. L’histoire se joue beaucoup au niveau des dessins , il faut être attentif au moindre détail. Une histoire plutôt qui fait énormément réfléchir sur l’injustice et la trahison. Je ne la conseille pas spécialement mais c’est une BD sympa .
(3.5) Je n’ai tout simplement pas compris ce livre. A la fin un prisonnier arrive chez l’instituteur et il décide de le laisser partir mais à la dernière image, on voit que le prisonnier a écrit « nous vengerons notre frère » ! Et puis aussi je l’ai trouvé très ennuyant et très long déjà que je n’apprécie guère les B.D. J’ai été très déçue aussi parce que j’aime beaucoup Albert Camus qui écrit à merveille les histoires de son pays d’origine. Mais sous forme de bande dessinée, ça ne donne pas le même effet je trouve que c’est trop bâclé l’histoire est censée être plus simple à comprendre dans ce format alors que finalement c’est bien plus compliqué et les images elles ne sont pas très claires c’est pour ces raisons que je vous déconseille de lire cette B.D.
(1.5) Cette BD m’a assez plu, tout d’abord parce qu’elle se lit facilement et surtout très rapidement. J’ai également bien aimé l’idée de remplacer le texte par des illustrations que j’ai trouvées d’ailleurs parfaitement réussies. L’histoire, qui se passe pendant la guerre d’Algérie, est assez intéressante, mais je trouve la fin décevante car on a l’impression qu’il n’y en a pas. Bref, comme Amélie, je conseille ce livre à ceux qui n’aiment pas trop lire parce qu’il est court.
Je suis assez d’accord avec Mélanie, cette B.D. fait bien réfléchir sur le monde d’aujourd’hui.
Des paysages, des personnages, » L’hôte » se résume à un monde peint, recueuillant émotion et suspense. Je n’ai pas particulièrement aimé cette B.D., car les visages sont très peu détaillés et les expressions manquent, alors qu’elles sont vraiment primordiales dans ce genre d’histoire, où ce sont les traits du visage qui expliquent la plupart des comportements. Seulement les paysages sont très bien faits, on y ressent vraiment le vide et l’ambiance tout de même tendue de cette B.D. où l’on ne s’attend jamais à rien, comme la fin, qui est quand même surprenante.
Je conseille cette B.D. à des personne très visuelles, à qui les images parlent.
(3.5) C’est bien la première fois qu’une B.D. me fait réfléchir après l’avoir finie. Je me suis posée beaucoup de questions sur cette fin énigmatique et sur cette histoire. Au début, je m’attendais à des scènes sanglantes, vu le contexte, mais au contraire, « l’hôte » est une BD qui est douce et bouleversante à la fois. C’est bien la preuve qu’il n’y a pas besoin d’action ou de sang pour être captivé par une histoire. C’est assez étrange mais c’est pour cela que j’ai beaucoup apprécié de la lire. De plus, les dessins sont magnifiques et illustrent bien l’Algérie et ses paysages splendides.
Ce livre est très rapide
Jacques Ferrandez, auteur français d’Alger
Montre tous ces enfants au ventre vide
Qui ne demandent qu’à manger.
Le personnage principal est d’un très grand courage,
Il éduque et instruit tous ces enfants.
Mais là-bas, au loin, se prépare l’orage,
En lisant, on se demande ce qui l’attend.
Un jour d’hiver, le gendarme arrive
Quel est le vice?
Il se retrouve avec un prisonnier qui dérive
Il a pour mission de le livrer à la justice
Ce récit est captivant
Les dessins sont étonnants
Mais c’est dommage que le personnage
Ne change pas d’expression de visage
Le suspense est bien là.
Il a livré leur frère, il paiera.
J’aurais bien aimé
Savoir ce qui lui est arrivé.
Ce livre se lit très vite,
Lire la journée, évite!
A lire le soir,
Avec de quoi boire
Parce que dans le désert
L’eau se fait rare.
Pour tous les esprits ouverts
Lisez ce livre d’un seul regard!
(2.5) Cette BD ne pas du tout plu, je n’ai pas vraiment tout compris de l’histoire, à vrai dire je suis un peux comme Eva B. : cette BD m’a vite ennuyée. Je trouve que la fin de l’histoire se termine mal car on attend tous de savoir ce qu’il va arriver et en fin de compte il ne se passe rien. J’aurais voulu savoir ce qu’il va se passer par la suite… En contrepartie les dessins sont très bien faits et je trouve que l’histoire est originale. Je conseille ce livre à ceux qui n’aiment pas lire car l’histoire est courte et facile à lire.
(3.5) Si mon livre était …ce serait
Un objet : une arme
Une couleur : orange
Un endroit : l’Algérie
Une devise : liberté
Un oiseau : la colombe
Un élément : le sable
Un bruit : un coup de feu
Un métier : instituteur
Une langue : l’arabe
Une pierre : la roche
(3) Une histoire racontée par des images c’est le principe même d’une BD. Et bien pour la première fois le graphisme d’une BD me plait ! Un dessin réaliste avec peu de textes, tout pour plaire à une petite lectrice de mon genre. Et encore un voyage gratuit, avec une histoire qui fait réfléchir. Une fin un peu mystérieuse qui nous laisse imaginer la suite.
Une BD qui ne doit pas se lire en 10 min ! Conseil : lisez cette BD dans votre lit le soir tranquille et laissez vous guider pars ses magnifiques illustrations !
Si mon livre était,
Un objet : une arme
Une saison : l’été
Un plat : oriental
Un animal : un chameau
Une couleur : Orange
Une arme : kalashnikov
Un endoit : l’Algérie
Une devise : Liberté
Un oiseau : une colombe
Un élément : le sable :
Un végétal : l’herbe
Un bruit : coup de feu
Une saveur : orientale
Un climat : sec
Un métier : instituteur
Une planète : Mars
Un vêtement : une djelaba
Une pièce : la chambre
Un véhicule : une jeep
Un moment de la journée : le soir
Un dessert : loucoum
Une langue : l’arabe
Une pierre : la roche
Un signe du zodiaque : lion
Une boisson chaude : le thé
Une boisson froide : l’eau
une émotion : le dilemme
Un sentiment : la peur
Un péché capital : le mensonge
Une qualité : le bon coeur
Un défaut : trop gentil
Livre insupportable à lire
Bouquin que je ne conseille à personne
Personnages ni attachants, ni intéressants
Individus pitoyables et misérables
Visages dont on ne connaît pas l’expression
Faces tracées puis crayonnées rapidement
Récit coulant, mais ne sachant où atterrir
Anecdotes inutiles, et ne menant nulle part
Paroles vides, seul un mot résonnant ici ou là
Parlotes écrasantes, et restant ici-bas
Moi, lecteur lassé par ce livre
Vous déconseille fortement de l’ouvrir.
(2.5) Dans un premier temps, j’ai trouvé que cette BD s’est lue très vite et très facilement.
Ensuite, pour dire que c’est dans le contexte d’une guerre, j’ai trouvé qu’il n’y avait pas d’actions. Mais c’est dans cette BD qu’on voit que, même en temps de guerre, il y a des personnes pacifistes et qu’ils veulent qu’une chose, que la guerre s’arrête.
De plus, on voit aussi que les personnes se comportent d’une autre façon en temps de guerre. On le voit a la fin de la BD quand le jeune homme rentre chez lui après avoir « sauvé » un « ennemi », et que les proches de cette personne lui écrivent pourtant une menace de mort.
Et enfin, cette bande dessinée fait réfléchir car beaucoup de gens jugent des personnes sans rien savoir de ces dernières (comme nous montre cette BD).
Je suis très grand amateur de BD,
Je me réjouissais donc de la lire 😀
J’ai commencé à la feuilleter,
Mon humeur commença à mourir 🙂
C’est par la suite que je compris,
Avec l’expression des visages,
Des personnages jamais surpris,
Que ma joie n’était que de passage :/
Ce fut avec un moral bien bas
Que je me forcai à la finir
Mais la fin ne me stupéfia pas
Et c’est fort déçu que je finis de la lire 🙁
(2) Tout d’abord je tiens à préciser que je n’apprécie guère les BD. Cette BD m’a déplu car dans un premier temps, l’histoire se passe dans un contexte de guerre et tout particulièrement dans le contexte de la guerre d’Algérie qui est un conflit atroce et sanguinaire et dans un second temps j’ai trouvé qu’il y avait un manque flagrant d’action et une certaine monotonie en ce qui concerne l’illustration de cette bande dessinée.
(4.5) Je n’aime pas vraiment les bandes-dessinées, pas du tout même, je préfère largement les romans, on s’y attache beaucoup plus rapidement. Mais je n’ai pas eu le choix pour ce coup-ci, et je me suis retrouvée avec ce livre, « L’Hôte » , écrit par Jacques Ferrandez. Lorsque je regarde la couverture du livre, on voit deux personnages marchant au milieu d’un très beau paysage. Car il faut avouer, les dessins sont magnifiques. Mais si on prête un peu plus attention à ces hommes, on remarque que l’auteur a appuyé sur leurs différences : leurs couleurs de peau, leur façon de s’habiller, etc. Le fait de mettre l’homme blanc plus haut que l’homme métisse donne l’impression de supériorité. L’auteur, avant même de commencer le livre, appuie sur ces différences.
J’ai été très surprise car la chute à la fin du livre était la dernière chose à laquelle je m’attendais. Cédric M. nous raconte sa déception au niveau du suspens, je ne suis absolument pas d’accord avec lui, car à la toute dernière page de la B.D, on sait bien qu’il va arriver quelque chose, mais ce n’est qu’à la dernière case qu’on le découvre … J’ai été choquée de la fin du livre, car on s’attendait à ce que la gentillesse de l’homme blanc apporte quelque chose au prisonnier, or c’est ce qui le condamne. Durant tout le livre, l’auteur nous prépare pour que la chute soit encore meilleure. Et c’est cette fin qui a remonté ce livre dans mon estime. Malgré les dessins excellents, une bonne expression des visages, et la fin du livre, je n’ai vraiment pas accroché. Mais c’est un petit livre qui se lit en 5 minutes, du coup on n’a pas l’impression de s’ennuyer, mais seulement d’attendre l’action durant tout le long de la B.D.
Ce n’est pas le genre de livre que j’apprécie, mais j’ai pris plaisir à lire celui là. Ce qui est étonnant venant de ma part.
(3.5) L’ « Hôte » est une BD très courte et très facile à lire avec peu de personnages, de textes et surtout beaucoup d’images.
Ce livre se lit très vite mais je me suis un peu ennuyée car l’histoire manque d’action. La fin nous laisse perplexe, comme le dit très bien Eva, on se pose des questions, on a envie de savoir la suite. C’est un peu comme si le livre se finissait quand l’action commençait, c’est dommage.
Ferrandez (l’illustrateur) dessine des expressions et les paysages qui traduisent le texte. En effet, les dessins sont très bien faits, on arrive à ressentir les sentiments des personnages grâce à leurs expressions et les paysages de l’Algérie sont magnifiquement dessinés toujours dans les tons pâles. Il a réussi à nous illustrer l’isolement de l’école, le froid, l’anxiété …
Je recommande tout de même ce livre pour la qualité de l’illustration.
(3) Cette BD est très facile à lire et se lit vite, mais elle m’a ennuyée. J’ai attendu l’action tout au long de l’histoire et quand je suis arrivée à la fin, je ne l’ai toujours pas vue. Cela m’a déçue. La fin reste en suspens avec cette phrase » tu as livré notre frère, tu paieras ! » et là j’aurais voulu savoir ce qui allait arriver au professeur, va-t-il rester en vie ? Va-t-il être un héros et mettre un terme à la guerre ? … Et là il y aurait sûrement eu l’action que j’attendais. Je n’aime pas les dessins, je trouve que les personnages sont toujours tristes ou avec des sourcils froncés ; en même temps cela se comprend vu que ce n’est pas une histoire drôle. Les seuls dessins que j’aie trouvés beaux sont les paysages. Je n’ai pas aimé cette BD.
J’ai beaucoup apprécié le livre « L’Hôte » écrit par J. Ferrandez d’après l’oeuvre d’Albert CAMUS, écrivain du XX° siècle, sous forme de bande-dessinée: la lecture de ce livre se fait très facilement: tout d’abord, il y a peu de textes mais toutes les images nous aprennent quelque chose sur l’histoire. Par ailleurs, les dessins sont très bien faits. Ce livre nous montre les cas de conscience rencontrés par la population locale d’Algérie pendant la guerre. Monsieur Mehdi M, je ne suis pas d’accord avec vos propos: vous trouvez ce livre ennuyant, alors qu’il nous laisse une très grande envie de lire la suite…
C’est un livre idéal à lire le soir, car il demande peu de concentration.
(2) La BD m’a bien plu, malgré une certaine déception niveau suspense, car j’aurais aimé être plus accroché par l’histoire. Mais les dessins sont très réalistes et cela est un très bon point, et l’histoire ne manque pas d’originalité… Bref une bonne BD dans l’ensemble et un bon début pour « Le livre élu » cette année.
Ce livre « L’HÔTE » m’a beaucoup parlé, j’ai bien aimé la façon dont l’histoire est racontée, sous forme de bande-dessinée.
Le livre est composé de peu de texte mais surtout d’images qui nous font comprendre facilement l’histoire, ce qui m’a beaucoup plu.
Ce qui m’a plu également, c’est la qualité des images de bande-dessinée qui sont très bien réalisées, ce qui rend la lecture du livre assez simple et très compréhensible.
Bien que le livre soit très bien illustré et que l’histoire soit facilement compréhensible, l’histoire ne m’a pas parlé, je trouve qu’il y a peu d’action, je me suis ennuyé durant cette lecture.
Mehdi.M/ 2°8