Mon premier est un auteur de BD; mon second un auteur de polars; mon troisième une enquête étrange menée au coeur de Paris. Mon tout est un livre d’une cinquantaine de pages, Le Marchand d’éponges, adaptation BD par Emond Baudoin d’une nouvelle de Fred Vargas, Cinq francs pièce.
Un SDF nommé Pi, passionné de chiffres, pousse sans relâche un caddie nommé Martin, rempli d’éponges. Un soir, Pi est témoin d’un meurtre: une femme est tuée sous ses yeux. Par chance, c’est le commissaire Adamsberg, le héros favori de Fred Vargas, qui l’interroge; et une relation étrange se noue entre ce policier peu conventionnel et ce SDF en quête de reconnaissance.
Les dessins d’Edmond Baudoin servent magnifiquement le texte de Fred Vargas, et le noir et blanc convient tout à fait à l’atmosphère si particulière de ce polar original, qui parle aussi de solitude et d’exclusion. Magnifique et intense.
Ce livre m’a déplu. J’ai trouvé que l’ histoire n ‘était pas assez développée sur l’enquête , elle était trop centrée sur le marchand d’éponges, bien qu’ il soit amusant et touchant. J’aurais voulu que la fin ne se termine pas aussi vite. Les dessins étaient beaux mais il fallait vraiment à des moments se concentrer dessus pour les comprendre.
Tout d’abord, Fred Vargas (c’est son pseudonyme), utilise Jean-Baptiste Adamsberg comme personnage principal dans la plupart de ses romans, ce qui nous permet de se retrouver plus facilement dans un nouveau récit.
On peut lire « Le marchand d’éponges » n’importe où et n’importe quand, car il est facile à lire, et très court. Je n’ai pas l’habitude de ce genre de livre, et je n’aime pas trop les histoires sous forme de BD; c’est pour cela que je n’ai pas trop aimé ce livre. Pour moi, il n’y avait pas assez d’action, pas de rebondissement, et donc, j’ai trouvé ce livre ennuyant. Par contre, j’ai bien aimé l’histoire du personnage Pi car on s’y attache très vite, mais l’histoire en elle-même n’est pas très passionnante. Je suis d’accord avec ce que dit Marie R lorsqu’elle nous dit que le récit n’est pas extraordinaire et que les dessins ne sont pas super car je ne vois presque pas d’expression des sentiments sur les visages des personnages. Mais par contre, lorsque Marie R nous dit que le livre ce termine abruptement et sans fin explicite, je ne suis pas du même avis, car je trouve la fin très bien, et, qu’il n’y a pas besoin d’en dire plus, puisque l’enquête est terminée et que l’on peut deviner ce qu’il va se passer ensuite pour la victime 4,21 et pour Pi.
Pour terminer, je conseille ce livre seulement aux amateurs de BD, car les dessins ont un style très particulier.
Généreux, et
Rêveur,
Alors que dehors il s’apprête à
Neiger,
Dans le froid, Pi va rester.
Fatigué d’être
Resté dans cette rue,
Où les gens malotrus,
Inattendris dans leur propre mal-être,
Déçoivent encore une fois le pauvre Pi.
(2)
(2.5) Dans la BD de Fred Vargas et Baudouin on découvre Pi un clochard doué en maths qui rencontre un commissaire pas comme les autres au cours d’une enquête pour meurtre dont il a été le témoin, cette enquête va créer une amitié entre le vagabond vendeur d’éponges et le commissaire au méthodes peu traditionnelles.
Franchement au début j’ai pris la BD car elle était courte et pour avoir une dernière note mais en la lisant on découvre que en une soixantaine de pages, il y a une histoire comme les autres avec des personnages attachants et émouvants.
C’est vrai qu’il y a plus d’images que de textes mais ça reste une histoire =)
Je le conseille fortement car c’est une histoire vraiment bien et courte alors que demander de plus à un livre =) ?
(2) Quoi dire ? Des beaux dessins , une belle histoire , un héros principal . Une BD quoi ! Un SDF qui s’appelle Pi :O Est c’est a partir de là que j’étais perdu … qui trimbale des éponges et se retrouve dans une enquêt . On va dire que sa n’arrive pas tous les jours ! L’enquête repose uniquement sur lui , il aurait pu tout simplement laisser l’affaire aux flics … Je m’incline devant Edmond Baudoin et Fred Vargas , Bravo pour cet BD !
(2.5) Que dire sur Le marchand d’éponges d’Edmond Baudoin et Fred Vargas ? l’histoire est intéressante elle m’a plu mais sans plus, de beaux dessins en noir et blanc, la situation avec le SDF qui se retrouve malgré lui dans le milieu du crime est assez bien mise en valeur, mais j’ai eu un petit souci c’est sur le titre, « Le marchand d’éponge » je ne sais pas mais moi je m’attendais à lire une histoire sur un SDF qui vendait des éponges, mais en fait l’histoire ne parle pas tellement de ça, je me suis plus posé la question de savoir si le SDF allait dire au flic ce qu’il avait vu que s’il allait finalement vendre ses éponges donc au final je ne sais pas trop si j’ai aimé ou pas.
(3.5) Si mon livre était…
Un objet : une éponge
une couleur : noir
Un métier : commissaire
Une matière : les maths
Une devise : l’agent ne fait pas le bonheur
Une saison : l’hiver
Une arme : un pistolet
Un sentiment : la peur
Un animal : un rat
Un moment de la journée : le soir
A la lecture du menu de « le marchand d’éponges », un grand moment s’annonçait; or, dès que l’on m’a servi la chose, les premières critiques se sont révélées.
Tout d’abord, l’aspect du plat. Quand on n’arrive pas à distinguer une carotte d’un concombre, comment peut-on poursuivre la dégustation sans avoir peur de rater ou de confondre un aliment important du mets que l’on nous a présenté ? Nous pourrions aussi examiner attentivement l’assiette … laissant refroidir notre plat, et en même temps, s’échapper tout son intérêt.
Durant toute la dégustation, j’ai constaté quelques épices de trop dans ce plat, quelques épices qui n’ont pas leur place dans la recette. J’accuse le cuisinier Fred Vargas d’être le coupable.
Je n’ai rien contre l’association du sucré et du salé; ce qui me déplaît, c’est quand le sucré a bon goût , que le salé de son côté est tout aussi bien, mais que l’on s’obstine à les associer, sabotant ainsi leurs saveurs. Un bout de carton que l’on aurait préalablement mâché aurait certainement plus de goût que cette chose que j’ai ingurgitée.
Quand on mange un beignet aux pommes, et qu’on s’attendait à un beignet au chocolat, on ne retient pas le goût de la pomme mais plutôt le plaisir que le chocolat ne nous a pas donné.
Bon appétit.
Le marchand d’éponge d’Edmond Baudoin et Fred Vargas est un livre qui m’a plutôt plu. Il est court et se lit en une fois. Le livre est une bande dessinée qui contient peu de texte mais en revanche beaucoup d’images qui ont un style assez original, en noir et blanc-mais sont parfois difficiles à analyser.
L’histoire est également originale, un SDF nommé Pi, (un nom pas très courant), passionné de chiffres et qui pousse toute la journée un caddie nommé Martin ! Cela m’a donné envie de lire ce livre.
Si vous aimez les livres courts, bien illustrés et originaux, je vous le conseille.
(3.5) La BD de Fred Vargas et Baudouin m’a plu parce qu’elle se lit vite et la situation mêlant le SDF au crime est intéressante.
Les dessins d’ Edmond Baudoin vont avec l’histoire sombre du SDF et du crime.
Ils veulent faire passer un message: les pauvres ont l’air sans intérêt mais ils peuvent être des gens très savants. Fred Vargas le montre bien parce que le SDF s’appelle Pi et il est fort en math.
Tout le long de l’histoire, il y a des interrogations, on s’imagine d’autres scénarios et un autre déroulement de l’histoire.
Au début, c’est la nuit et quand ça va mieux, c’est le jour, une sorte de relance et on peut se dire qu’il va peutêtre trouver du boulot.
J’aimerais bien lire d’autres livres de Vargas. Ce livre donne envie de donner un coup de main aux SDF. On pourrait imaginer que le policier soit incarné par Coluche.
(2.5) « Le marchand d’éponge » est un livre assez rapide à lire , c’est une bande dessinée , les dessins et l’écriture sont faits à l’encre de chine donc les décors sont en noir et blanc . C’est l’histoire d’un SDFqui veut éendre toutes ses eponges mais personne n’en veut , un jour il est témoin d’un assassinat et toute l’enquête ne repose que sur lui. J’ai bien aimé ce livre , il nous donne une autre image des SDF et montre qu’il ne sont pas tous stupides.
« Le marchand d’éponges » est une bande dessinée très bien réalisée.
J’ai beaucoup apprécié ce livre, notamment à cause de ces dessins qui sont extrêmement bien faits; c’est un style que j’adore!
L’histoire est très courte mais très captivante, sur la vie et sur l’importance de l’argent dans le monde. Le personnage de Pi est très touchant.
L’endroit le plus convenu pour lire ce livre est sans aucun doute un bon fauteuil pour un voyage de quelques pages dans l’univers du marchand d’éponges.
Ce livre est conseillé à tous et surtout aux petits lecteurs… Ce livre est motivant pour la suite dans l’opération livre Elu.
Ce livre est décidément une recette de cuisine. Je ne trouve vraiment pas d’autres mots pour le qualifier.
Je viens de l’achever, et je dois dire qu’il me déçoit beaucoup par rapport à l’idée que je m’en faisais.
En effet, vu les commentaires majoritairement mélioratifs, et puis le fait que tout le monde veuille le lire, je me disais : Chouette, un bouquin sympa à lire en une seule fois !
Je l’ai lu deux fois et vraiment, je n’accroche pas du tout. Déjà, je le trouve atroce à lire. Non pas par l’histoire, mais par l’écriture et la disposition des bulles. Ensuite les images de la BD sont tout aussi illisibles et on se fatigue les yeux à délimiter les personnages du paysage.
Cet aspect rend le livre désagréable, mais il y a aussi, selon moi, le côté histoire que je ne trouve pas extraordinaire. On y rentre tant bien que mal, et quand tout est à peu près clair, le commissaire Adamsberg vient nous embrouiller avec ses histoires de mur et de noms, et finalement on ne sait même pas de quoi il s’agit !
On lit le livre, on assimile les informations des images et des textes, et puis le livre se termine abruptement, sans même une fin explicite.
On se retrouve avec ce bouquin dans les mains, on le tourne pour voir si il n’y a pas noté en quatrième de couverture: » Fin censurée pour cause de non-compréhension « . Mais en fait non, je pense que l’auteur a peut-être eu la soudaine paresse de nous expliquer de quoi il s’agit…
La première de couverture et le titre sont attirants, seulement le contenu n’est pas à la hauteur.
Si mon livre était un une couleur, ce serait le gris.
Si mon livre était une saison, ce serait l’hiver.
Si mon livre était une boisson chaude, ce serait un café très noir.
Si mon livre était un moment de la journée, ce serait la tombée de la nuit.
Si mon livre était un animal, ce serait un hérisson.
Si mon livre était un signe du zodiaque, ce serait le taureau.
Si mon livre était une pièce, ce serait la cave.
Si mon livre était un péché capital, ce serait la colère.
Si mon livre était un oiseau, ce serait le vautour.
Si mon livre était un climat, ce serait le grand froid.
(3) « Le marchand d’éponges » de F.Vargas et E.Baudouin, est un livre très intéressant qui montre la vie d’un sans abri et d’un meurtre dans lequel il est impliqué. Vous voulez plus de détails ? OK,OK…
Cette courte BD est magnifique au niveau graphique et vocabulaire, ainsi que Le nom du SDF qui est très particulier mais aussi très original. Prodige des chiffres, « Pi » (nom du SDF) connaît la circonférence des cercles et ne manque pas de vous le faire savoir, tout au long de l’histoire et de l’enquête policière.
La BD est très prometteuse et vous donne envie de créer vous même la fin de l’histoire.
je le conseille à tous.
Ce livre m’a beaucoup plu. Grâce à sa facilité de lecture et son contenu, j’ai pris beaucoup de plaisir à le lire. En effet, l’adaptation de l’histoire sous forme de BD est originale, la disposition du texte et des images, occupant parfois toute la page, parfois une plus petite partie, n’est pas habituelle dans tous les livres : ce bouquin a donc un aspect très original. De plus, l’histoire est elle-même très ORIGINALE ! Les idées de l’auteur sont drôles : un SDF qui a un nom particulier, Pi, et qui sait la circonférence de tous les types de cercle au monde sont des informations que je trouve amusantes et qui donnent donc envie de lire ce livre et de le continuer !
En conclusion, je le répète, ce livre est très original et est un plaisir à lire, je vous le conseille à tous !
(4.5) J’ai bien aimé « Le marchand d’éponges » de Fred Vargas.
Ce livre illustré est court et donc il se lit en une seule fois. Il est très facile à comprendre avec peu de texte et beaucoup d’images. Par contre les dessins sont en noir et blanc, et ils sont parfois assez difficiles à analyser.
Ce livre est original et intéressant, j’ai été prise tout de suite par l’histoire qui commence dès la quatrième page par un drame. J’ai choisi ce livre car j’aime beaucoup les histoires policières de Fred Vargas notamment « Salut et Liberté » (que je recommande) avec toujours le même commissaire Adamsberg, je connaissais donc déjà l’auteur.
Les points négatifs de ce livre sont que la fin n’est pas facilement compréhensible et elle nous laisse sur la fin ! On a envie de savoir ce qu’il va se passer ensuite. J’aurais aussi préféré des couleurs sur la couverture ou dans le livre, cela nous aurait donné encore plus envie de le lire mais d’un autre côté le noir et le blanc vont parfaitement avec l’atmosphère du livre.
Mais globalement ce livre est génial, à lire absolument !
(2.5) « Le marchand d’éponges » est un livre qui m’a moyennement plu.
Tout d’abord, ce livre est court, simple à lire, ce qui est agréable et m’a plu. L’idée de mettre cette histoire sous forme de BD est une bonne chose quoique l’histoire est réduite et je trouve qu’il manque des détails et des petites indications sur le personnage.
Cette histoire est assez intéressante mais je trouve que la fin est trop rapide et pas assez développée. Quand on arrive à la fin du livre, on reste sur les derniers mots et on aimerait une suite. La résolution de l’histoire ne se passe qu’en quelques phrases ce qui m’a surprise et m’a déçue. On aimerait savoir comment le personnage évolue après.
Mon avis est donc partagé sur ce livre.