Home » Géographie (Page 8)

Category Archives: Géographie

Brevet : les 5 secrets enfin révélés !

Et voici la suite de cette formidable saga que les plus grands studios d’Hollywood nous envient : ma visite des locaux du Web pédagogique ! Souvenez-vous, dans le dernier épisode, avec d’autres collègues, je vous parlais de TICE et de formation. Quoi ? Cela ne vous a pas passionné ? Bande d’ingrats, va ! Enfin, passons…

En tous les cas, voici le nouvel épisode de la série : Brevet d’histoire-géo : les cinq erreurs à ne pas commettre ! Et bien une fois encore, j’ai été vraiment bluffé par le résultat. Le Brevet en deviendrait presque amusant à passer, non ?! Attention, à la fin de la vidéo, LE scoop de l’année, à connaître absolument avant de commencer les révisions. Une fois ce petit secret connu, ensuite, surtout : gardez le pour vous !

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x96m4o_brevet-dhistoiregeo-les-cinq-erreur_school[/dailymotion]

Surtout, comme d’habitude, n’hésitez pas à déposer ci-dessous vos commentaires en expliquant en quoi cette vidéo vous a (ou ne vous a pas) aidé : merci !

Clim’City : construisez votre ville écolo !

Un Sim City version ecolo, jouable en ligne, ça vous dit ? C’est en tous les cas l’idée lancée par l’institut Cap Sciences de Bordeaux. Avec Clim City vous disposez de 50 ans pour sauver la planète en développant un Plan Climat basé sur le protocole de Kyoto.

Point de départ : 2008, où Clim City est une ville de 115 000 habitants, avec les paramètres de consommation en énergie et de rejets de CO2 équivalents à une agglomération française. La ville virtuelle dispose d’une centrale nucléaire, d’industries, de bureaux, d’un port de pêche, d’une station de ski, bref, décrit le plus justement possible le paysage économique français. L’objectif est simple, c’est celui fixé par la communauté internationale.

Le but : accompagner cette ville pendant 50 ans pour la rendre plus écologique. En clair, pour gagner, il faut réduire de 75% l’émission de gaz à effet de serre, de 40% la dépense en énergie et passer à 60% d’énergies renouvelables en 50 ans. Et Clim’City ne se joue pas en temps réel mais au tour par tour. Un tour représente une année, vous avez ainsi tout le temps que vous souhaitez pendant cette année pour réfléchir aux actions que vous souhaitez mettre en place…

Le projet, entièrement développé en flash est beau, gratuit et soigné. « Un comité scientifique de cinq personnes : deux membres du GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat), deux professeurs du CNRS et un chercheur de l’Inra, ont validé nos différent scénarios climatiques », précise Eric GORMAN, de Cap sciences. De fait, ce jeu est époustouflant de réalisme : les chiffres d’émissions de gaz à effet de serre (GES) et de consommation d’énergie proviennent des statistiques françaises et sont calculés pour une agglomération de 115 000 habitants (soit une ville de la taille de Perpignan).

Le jeu est couplé avec une exposition virtuelle, mise en ligne depuis mai 2008, qui présente les différents enjeux climatiques. Elle rappelle les problématiques scientifiques de manière pédagogique : définitions de l’effet de serre, d’une énergie fossile ou encore d’une énergie renouvelable. Cette exposition qui propose près de 300 vidéos et animations, est quasiment incontournable pour mener à bien le jeu. Allez donc y faire un petit tour, rien que pour voir. Vous aussi vous vous laisserez prendre !

Rendez-vous à l’adresse : http://climcity.cap-sciences.net

Depuis quand la Guadeloupe est-elle française ?

En 1493, Christophe COLOMB entreprend son deuxième voyage vers ce qu’il croit toujours être les Indes. Mandaté une nouvelle fois par la reine d’Espagne Isabelle la Catholique, il est à la tête de 17 navires. Le dimanche 3 novembre, une île est en vue ; il la nomme « Maria Galanda » (Marie-Galante), du nom du navire amiral. Après un passage d’une nuit à la Dominique, ils reprennent la mer vers une île plus grande dont ils avaient aperçu au loin les montagnes. Colomb décide alors de jeter l’ancre devant cette île afin d’accorder quelques jours de repos à ses hommes.

Le 4 novembre 1493, il débarque sur l’île baptisée par les Caraïbes « Karukera » (ou « Caloucaera »). Il baptisera cette île « Guadalupe » nom ainsi que celui de l’île proviennent du nom du monastère royal de Santa Maria de Guadalupe en Espagne. Lors d’un pèlerinage, Colomb aurait fait la promesse aux religieux de donner le nom de leur monastère à une île. Les premiers habitants de l’île furent des indiens venus du Vénézuela quelques siècles avant notre ère – un peuple de pêcheurs évolués et paisibles – les Arawaks. Vers le IXème siècle, ils furent exterminés par la tribu guerrière et cannibale des Caraïbes (Karibs).

Tout au long du XVIe siècle, les espagnols se sont peu préoccupés de cette île. Relativement inhospitalière, elle ne possède en effet aucune mine d’or. Elle ne sera qu’un simple point de ravitaillement en eau douce et en bois pour les navires en route vers l’Eldorado. Au début, les Caraïbes tolérèrent ces « marins de passage », et parfois même, fraternisèrent avec eux, mais petit à petit les hostilités grandirent entre les indigènes et les Espagnols. Lassés, les Espagnols, qui préfèrent les terres plus riches de l’Amérique centrale, abandonnèrent progressivement les Petites Antilles aux expéditeurs et flibustiers anglais, français et hollandais.

C’est le 28 juin 1635 que les Français, menés par Jean du Plessis d’OSSONVILLE et Charles LIENARD de l’OLIVE débarquent à la Pointe Allègre à Nogent, (actuelle ville de Sainte-Rose), accompagné de 4 missionnaires dominicains et de 150 hommes (dont de nombreux bretons ou normands). Les deux hommes sont mandatés par la Compagnie des îles d’Amérique. Leur mission est d’évangéliser les peuples indigènes. En échange, ils auraient le droit de gouverner ensemble l’île. Après des premiers mois très difficiles (maladies, manque de nourriture, etc.) pendant lesquels nombre d’entre eux ne survécurent pas, les survivants s’installèrent dans le Sud de l’île du côté de l’actuel Vieux-Fort. Ils y reçurent l’aide des Caraïbes mais malgré tout, De l’Olive, contre l’avis de Du Plessis, décide de déclarer la guerre aux Caraïbes pour leur prendre vivres et femmes. Les français vont alors pratiquement exterminer les amérindiens jusqu’à la signature d’un traité de paix en 1640.

Les Caraïbes furent ainsi exterminés – épidémies, alcool et fusils aidant. Mais les conditions de vie difficiles eurent raison des premiers travailleurs, et bientôt s’organisa l’utilisation d’esclaves déportés d’Afrique, ce qui devra durer près de quatre siècles. Les cultures étant peu rentables au début, la Compagnie vendit la Guadeloupe à Charles HOUËL qui fut à l’origine de son essor grâce à la plantation de sucre, café et cacao. Par la suite, l’île passa en possession de la Compagnie des Indes, puis du roi Louis XIV, fut attaqué par les Hollandais, occupé par les Anglais, de nouvelles cultures furent introduites : coton, épices…

Au XVIIIe siècle, on est dans la fameuse époque des flibustiers et corsaires et les îles des Caraïbes prospèrent en grande partie grâce au pillage des navires marchands ennemis. Sous l’influence des idées de la Révolution française, la Convention vota l’abolition de l’esclavage le 4 février 1794 et Victor Hugues fût envoyé pour assurer l’application. Bon nombre de grands propriétaires royalistes et esclavagistes furent alors guillotinés. Pourtant, en 1802, Napoléon BONAPARTE rétablit l’esclavage. Des mouvements de résistance commencent alors à voir le jour : sous le commandement de Louis DELGRÈS en 1802, chez les Anglais qui interdisent la traite des Noirs en 1807, au congrès de Vienne qui l’interdit en 1815. Mais il faudra attendre 1848 quand le 27 avril, sous l’impulsion du député Victor SCHOELCHER, à la tête de la Société Abolitionniste, le décret d’abolition est voté.

Vers la fin du XIXe siècle, la Guadeloupe n’évolua que fort peu sur le plan des droits humains. C’est la Troisième République de 1870 qui marqua un réel progrès, car non seulement le suffrage universel masculin fut institué, mais l’enseignement public obligatoire, laïc et gratuit, fut étendu à tous les Guadeloupéens (1881). Toutefois, la situation des classes ouvrières resta précaire, car la scolarisation des enfants impliquait des dépenses supplémentaires auxquelles les parents ne pouvaient pas toujours faire face. En réalité, le niveau de vie des Noirs et immigrés indiens ne connut une amélioration significative que vers le milieu du XXe siècle. De 1870 à 1914, la crise sucrière secoua la Guadeloupe, ce qui eut pour effet de concentrer les propriétés au profit des usines qui appartenaient déjà à des industriels de la Métropole. Suivit un nouveau régime se réclamant du socialisme et incarné par Hégésippe LÉGITIMUS qui s’en prenait au quasi-monopole des mulâtres dans la vie politique locale au détriment des Noirs.

En 1928, l’île fut ravagée par un terrible cyclone et les constructions commencèrent alors à se faire avec du béton armé. L’économie sucrière continua son développement, mais l’exportation de la banane et du rhum commença à concurrencer la canne à sucre avant la Première Guerre mondiale. Par la suite, le déclin de l’économie sucrière et les tentatives de reconversion de la canne à sucre ne favorisèrent pas la paix sociale.
Le 19 mars 1946, la Guadeloupe devint département français. Elle est administrée à l’instar des autres départements, par un préfet assisté de deux secrétaires généraux et de deux sous-préfets, un pour l’arrondissement de Pointe-à-Pitre et un pour les îles du Nord (Saint-Martin et Saint-Barthélemy). Les lois sont celles de l’Hexagone avec toutefois quelques arrangements spécifiques concernant les salaires des fonctionnaires, les équipements scolaires et l’assistance médicale et sociale. Un mouvement indépendantiste, très actif dans les années 80, est en perte de vitesse au profit d’une réflexion tournée vers l’avenir économique et social avec les institutions présentes.

Ainsi le 1er décembre 1999 la « Déclaration de Basse-Terre » des présidents de région Guadeloupe, Martinique et Guyane a pour but de trouver ensemble un mode de développement adapté aux Antilles-Guyane, et en juin 2000 le projet de loi d’orientation pour le développement des DOM fut défini.
Le 19 janvier 2009, les gérants des 115 stations-services de l’île diffusent un mot d’ordre de fermeture illimitée de leurs établissements. Le lendemain, un «Comité contre l’exploitation outrancière» (Liyannaj kont pwofitasyon, LKP) appelle à la grève générale.  Ce comité est un collectif qui regroupe 49 organisations, à savoir des syndicats insulaires, des partis politiques (PC guadeloupéen, MoDem, Les Verts, etc) et des associations culturelles militant pour l’identité créole. Son leader et porte-parole est Elie DOMOTA, 42 ans, aussi secrétaire général de l’Union générale des travailleurs guadeloupéens (UGTG).
Les blocages affectent les secteurs de l’éducation, des transports, du bâtiment, de la santé, du tourisme, de l’hôtellerie, de l’électricité ou de l’eau, qu’ils soient privés ou publics. Les milliers de manifestants de Pointe-à-Pitre exigent notamment une baisse du prix des carburants, des produits de première nécessité, des impôts et des taxes, ainsi qu’une hausse du salaire minimum de 200 euros. Au final, 146 revendications sont énoncées par le collectif.

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x8hkqj_guadeloupe-lescalade-dune-crise_news[/dailymotion]

Pour en savoir plus :

– l’article « La Guadeloupe de l’ère précolombienne à nos jours » du site Antilles Info Tourisme

– une mise au point sur La Guadeloupe contemporaine (Wikipedia)

– une présentation complète (géographie, histoire et économie) de la Guadeloupe (Université Laval, Québec)

– une histoire de la Guadeloupe en 15 dates (le Nouvel Observateur)

– les Dates clés de la colère en Outre-mer (20 minutes.fr)

Les Questions de la Semaine

Période 10

à partir du 08/02/09

Gagnant Période 9 : Rodolph DUHEM (5eme G)

Comment les Croisades se sont-elles terminées ?

A vous de jouer ! Durant toute la semaine, déposez ici toutes vos questions, sous la forme d’un commentaire. La plus pertinente sera retenue, fera l’objet d’un billet sur le Blog et sera dignement récompensée…

Il vous suffit de commenter ce billet en n’oubliant pas de donner votre nom, votre prénom et votre classe et l’adresse de votre site ou Blog. Attention à bien respecter ces 3 règles :

  1. une seule question par personne et par semaine. On peut annuler une question déjà posée, il suffit de me le demander…
  2. une fois sélectionné, et récompensé, vous êtes « hors-jeu » pour quelques semaines… histoire de laisser leur chance aux autres !
  3. seules les questions postées en commentaire à ce billet seront prises en compte. Évitez donc de poser vos questions ailleurs : je vais finir par m’y perdre sinon…

Pour découvrir la réponse aux questions lauréates, cliquez sur cette page

Pour voir les questions déjà posées (et recompensées) de l’année dernière, voir ce Billet

Depuis quand la Corse est-elle française ?

Oui, je sais, cette photo fait rêver. C’est Camille qui me l’a montrée dernièrement en cours. Elle connait apparemment bien la Corse et y retourne assez souvent. Elle ne manquera pas de vous en dire plus sur cette photo et l’endroit où elle a été prise dans un commentaire à cet article… Du moins, je le souhaite !

Pour le moment, intéressons nous à la question du proche passé assez tourmenté de cette île de rêve…Tout commença en 1755, le 29 avril, date à laquelle y débarqua un grand homme, Pascal PAOLI. Il y est élu Général de la Nation en juillet. Il devra affronter les Matra, héritiers de Gaffori, et leur partisans avant de s’imposer sur toute l’île hormis les villes côtières génoises. En novembre 1755, Paoli fait voter une Constitution nationale corse très moderne : elle instaure une justice et un gouvernement représentatif et établit la séparation des pouvoirs. Elle fait d’ailleurs à l’époque l’admiration de l’Europe des lumières dont, surtout, Jean-Jacques Rousseau puisque la Corse fut ainsi la première région du monde à se doter d’un état démocratique moderne, et ce dés 1755 ! Pour lutter contre le blocus maritime génois, Paoli met sur pied une petite marine de guerre d’une quinzaine de navires qui arborent le pavillon à tête de Maure (le drapeau national corse avec la tête de Maure est adopté en 1760). Il décide également de frapper une monnaie à l’effigie de la tête de Maure en 1762 à Murato.
Face à une telle rébellion, par le traité de Versailles du 15 mai 1768, Gênes cède la souveraineté de la Corse à la France pour dix ans en gage d’une dette annuelle. La conquête de la Corse se fit alors en deux campagnes ; la première voit, en juillet 1768, les troupes françaises occuper le Cap Corse mais subir une grave défaite à Borgo le 9 octobre 1768. La seconde ne dure que quatre jours : l’armée de Paoli est écrasée à Ponte Nuovo le 8 mai 1769 . Pascal Paoli quitte la Corse le 13 juin 1769. Napoléon Bonaparte naît un mois plus tard, le 15 août 1769 à Ajaccio.

La Corse est gouvernée par Marbeuf et devient pays d’États. Les États de Corse, assemblés et composés de 23 députés de chacun des trois ordres, choisis par élection indirecte, se réunissent huit fois entre 1770 et 1785. L’assemblée n’a qu’un rôle consultatif : toute décision dépend des commissaires du roi, l’intendant et le commandant en chef. L’administration confie peu de postes aux Corses sauf dans les échelons subalternes de la magistrature. L’administration des communes reste toutefois aux mains des autochtones. Les premières routes sont construites (de Bastia à Saint-Florent, et de Bastia à Corte). Les recensements démontrent un accroissement continu de la population. En 1789, alors que la Révolution éclate en France, l’Assemblée nationale, incitée par une lettre d’un comité patriotique de Bastia, décrète que la Corse est désormais partie intégrante de la monarchie française. Les Corses exilés sont alors autorisés à rentrer en France.

Le 15 janvier 1790, la Corse devient un département avec Bastia comme chef-lieu et siège de l’unique évêché.

Tanti paesi, tante usanze.
Autant de pays, autant d’us et de coutumes.

Pour en savoir plus :

– l’article Wikipedia Histoire de la Corse

– le site Curagiu superbement documenté

– la France pittoresque, histoire du département

C’est quoi Halloween ?

Mais quelle est donc cette fête barbare qui, depuis une dizaine d’année maintenant cherche (en vain) à détrôner notre très européenne Toussaint ? En fait, cette tradition est bel et bien européenne. Gauloise pour être précis !

Vieille tradition celtique, la fête de Samain était la plus importante des fêtes Gauloises. Les Celtes d’avant la conquête romaine fêtaient ce jour là leur nouvel an – soit le 6ème jour de la lune montante (entre le 25 octobre et le 20 novembre). Pour l’occasion, les druides cueillaient le gui, la plante sacrée qui donnait immortalité et régénération physique. Et la cueillette du gui était l’acte le plus important de la fête de Samain. Pour les autres, le porc habituellement ment servi à table était remplacé par deux taureaux blancs liés par les cornes, sacrifiés après la cueillette du gui. Le festin rassemblait tout le village – un peu comme à la fin de chaque album d’Astérix… On y buvait de la bière, du vin, de l’hydromel et la fête durait une semaine à quinze jours ! A cette occasion, pour être certains d’effrayer les esprits, les Gaulois étaient grimés et portaient des costumes effrayants.

Incorporer une telle fête pour le moins paillarde au calendrier catholique ne se fit pas sans peine et prit plusieurs siècles. Au Vllle siècle le pape Grégoire III déplaça la fête des Saints en novembre. Vers 840, le pape Grégoire IV installa Toussaint, décrétant que ce jour et la veille seraient observés. Odilon de Cluny choisit en 1048 le 2 novembre comme le Jour des Morts.

Le mot anglais viendrait de cette époque. All Hallows’day pour la Toussaint, All Hallow E’en pour la nuit sainte qui précéde et devint Halloween bien plus tard. Alors qu’en France la culture celte disparaissait, des coutumes populaires de Samain continuèrent à se développer en Irlande, Ecosse, Pays de Galles, et certaines régions d’Angleterre. A la suite d’une grande famine les pratiques d’Halloween se déplacèrent avec la grande émigration Irlandaise de 1846/48 vers les États-Unis. C’est à la fin du XIXe siècle que Halloween y devint une fête nationale, avec ses jeux, ses divinations, et la coutume du « Trick-or-treat« .

Pour célébrer avec vous ce petit moment de frayeur, voici le «lipdub» le plus abouti du moment : sur «Thriller» de Michael Jackson (c’est de circonstance), les étudiants de l’IUT de Rouen sortent la grosse artillerie à coup d’amphis bondés, de battes de base-ball et de tecktonik.

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x70vsr_lip-dub-iut-src-rouen-2008_creation[/dailymotion]

Qui l’eût cru ? Un an et demi après sa création dans une start-up américaine, le «lipdub» bouge encore. Le principe de ce buzz Web, pour ceux qui n’ont pas suivi: une joyeuse bande de jeunes, le plus souvent des collègues de bureau, chante une chanson en playback, le tout filmé en plan-séquence. Et rien que pour le plaisir, voici une nouvelle fois celui réalise par mes collègues de Sainte-Thérèse à Quimper. J’adore !

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x5h2op_lip-dub-louxor-jadore_music[/dailymotion]

On en parle de plus en plus en ce moment au Collège Sainte-Clotilde de Douai : à suivre !

buy windows 11 pro test ediyorum