DIE SCHULTÜTE 1

Die Schule hat angefangen! Die Sommerferien sind vorbei aber der erste Schultag ist immer ein schöner Tag für die Kleineren, denn sie bekommen …

eine Schultüte!

Toute ressemblance avec une pochette surprise serait fortuite!!!

Pour les petits, la première rentrée scolaire est un jour très particulier. Différents sentiments se bousculent : joie et tristesse de quitter ses parents, excitation et peur devant ce nouvel univers.

En Allemagne, ce moment est rendu plus agréable grâce à la Schultüte (cornet d’école) à laquelle les petits écoliers se cramponnent.La « Schultüte » existe en Allemagne depuis le début du 19ème siècle. A l’époque, les parents offraient à leurs enfants une« Schultüte » remplie de bonbons, de fruits et de noisettes pour rendre plus agréable la rentrée scolaire.

La petite histoire du cornet d’école débute en Saxe et en Thuringe. Il contenait à l’origine des fruits secs et quelques sucreries. On racontait aux enfants que dans la maison de l’instituteur poussait un arbre plein de cornets d’école : le « Zuckertütenbaum  », une sorte d’arbre en fil de fer. Les enfants devaient y attraper leur cornet d’école. Ce jour là, on chantait « Hurra ich bin ein Schulkind und nicht mehr klein… » (« Hourra je suis un élève et ne suis plus un petit… »). Avec le temps, la coutume s’est répandue dans tous les pays germanophones mais ni la forme, ni le contenu de la « Schultüte » n’ont véritablement évolué.

Aujourd’hui, les parents plus soucieux de la bonne santé de leurs enfants la garnissent surtout avec des affaires scolaires et quelques petits jouets comme une peluche, un jeu de cartes, une corde à sauter ou de la pâte à modeler…Elle aura été, la plupart du temps, soigneusement bricolée par le futur écolier ou ses proches (parents, grands parents, frères et soeurs ainés) et garnie par ses parents quelques jours avant la rentrée. La Schultüte est très importante pour chaque élève allemand. Elle est portée avec beaucoup de fierté le premier jour d’école. Et très souvent on la retrouve bien des années plus tard dans le coin d’une chambre ou d’un grenier, gardée précieusement comme un des derniers vestiges de l’enfance.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *