A l’occasion du Printemps des poètes, les murs du collège se sont ornés de poèmes et d’affiches. Vous les avez sûrement vus lors de vos déplacements dans les couloirs.
A cette occasion, les B.I.P. ont déclamé de manière impromptue dans les classes :
Le CDI s’est également mis aux couleurs du printemps de la poésie avec un arbre à poèmes :
Comme l’an dernier, les professeurs et membres de la vie scolaire et de l’administration ont dû s’acquitter de leur contravention poétique déposée sur le pare-brise de leur voiture : écrire un poème, un vers ou une strophe.
Voici leurs œuvres poétiques :
Poème d’amour (inspiré des années 80)
Besoin de rien, envie de toi,
Comme j’avais envie de personne,
Tu sais l’Amour, C’est à Vérone qu’il ressemble.
Besoin de rien, envie de toi,
Comme le rouge aime l’automne,
Besoin de rien, envie de toi…
Mme Wacrenier
Parler
Oraliser
Exprimer
S‘imaginer
Idéaliser
L’Être aimé !
M. Délubriat
Johnny
Que je t’aime, Johnny
Retiens la nuit, Johnny
Toute la musique que j’aime elle vient de toi, Johnny
Je te promets que j’ai un problème, Johnny
Pourquoi ne l’appelles-tu pas Gabrielle, Johnny ?
Pourquoi ne l’appelles-tu pas oh Marie, Johnny ?
Pourquoi ne l’appelles-tu pas Laura, Johnny ?
Pourquoi ne l’appelles-tu pas oh ! Ma jolie Sarah, Johnny ?
Sais-tu qu’on a tous quelque chose en nous de Tennesse, Johnny ?
Sais-tu que les portes du pénitencier bientôt vont se refermer, Johnny ?
Sais-tu que tu resteras toujours l’idole des jeunes, Johnny ?
A cause de toi j’ai allumé le feu, Johnny !
A cause de toi j’ai oublié de vivre, Johnny !
Mais au moins maintenant, j’ai la rock n roll attitude !
Mme Lavalade
Ode à Johnny (?)
Avec ta guitare sèche et ton blouson de cuir,
Oh oui, Johnny, je peux vraiment m’attendre au pire !
De « Gabrielle » au célèbre « Allumer le feu »
Je ne puis dire laquelle compte le plus à mes yeux…!
Tes entrées sur scènes sont des plus spectaculaires,
Après l’hélico, pourquoi pas la montgolfière ?
Ils t’ont annoncé mort, mais tu es bien vivant,
Nul doute que tu enterreras Sylvie Vartan !
Mme Claudon
Plaisir d’amour
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment,
Chagrin d’amour dure toute la vie.
J’ai tout quitté pour l’ingrate Claire,
Elle me quitte et prend un autre amant,
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment,
Chagrin d’amour dure toute une vie.
Tant que cette eau coulera doucement
Vers ce ruisseau qui borde la prairie,
Je t’aimerai, me répétait Claire ;
L’eau coule encore, elle a changé pourtant !
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment,
Chagrin d’amour dure toute la vie.
M. Petit
Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers,
Picotés par les blés, fouler l’herbe menue,
Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pides.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
Et j’irai bien loin, comme un bohémien,
Par la Nature, heureux comme avec une femme.
M. Laugier
Mme Tusseau