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Impressions de Noémie S.

A cet instant où je viens te parler nous sommes le 12 octobre et il est 16h02. Il fait drôlement beau aujourd’hui mais il fait quand même très froid. Je dois faire mes devoirs alors je vais lire la prochaine histoire de mon livre qui s’appelle : Continuité des parcs, ce titre m’intrigue. Je ne comprends absolument pas le sens de cette nouvelle. Il me semble que l’histoire parle d’un homme qui lit une histoire. Enfin je ne sais pas, c’est bizarre.

Lucien : rien qu’aux 5 premières lignes je suis sûre que Lucien est un bébé. Je te dirais si j’ai raison à la fin. En fait, Lucien n’est pas tout à fait un bébé, il est en train de naître. Bon allez j’en lis encore une et après faire de l’anglais.

Iceberg : Je sens que je vais bien aimer cette histoire car elle parle d’amour, enfin je crois. (Page 52) je suis presque sûre que Georges est son bébé et non son mari comme on pourrait le croire. Yes, je suis trop forte, j’avais raison, Georges est bien son bébé !!! Je suis d’accord pour dire que pour l’instant cette histoire est celle que je préfère. Allez je dois te laisser à demain cher journal !  

Impressions de Loïc : « Continuité des parcs »

Cette nouvelle m’a demandé réflexion et j’ai dû la relire plusieurs fois avant de comprendre que le lecteur lisait son avenir, sa mort. Enfin, c’est ce que j’ai interprété en lisant cette nouvelle car il y a plusieurs possibilités d’interprétation.

Par exemple celle où le lecteur lit un simple livre avec une coïncidence de circonstances : le lecteur et la victime sont dans un fauteuil identique et lisent un même livre tous les deux.

On peut aussi interpréter cette nouvelle où le lecteur lit un livre qui s’écrit au fur et à mesure qu’il le lit.

On peut aussi comprendre que le lecteur découvre au travers du récit des événements de l’instant présent. Ces événements vont le rattraper puisque l’histoire le rattrape. Ce qui sous-entend que l’histoire est liée au lecteur. Donc chaque lecteur lit une histoire qui lui est propre. Il peut  donc lire son passé, son présent ou son avenir…

Bref j’ai bien aimé cette histoire car les personnes qui la lisent peuvent l’interpréter de plusieurs façons.

Impressions de Marie : « Pauvre petit garçon »

La nouvelle « Pauvre petit garçon » de Dino Buzzali est assez courte et se lit rapidement. Ce que j’en pense, j’aime bien car il y a de l’intrigue. On apprend à la fin qu’en fait « le pauvre petit garçon » malheureux, laid et désemparé était Hitler. Je trouve que la fin est vraiment intéressante car on aurait pu croire que c’était un garçon ordinaire mais grâce à la fin, elle retourne toute l’histoire.

Impressions de Loris : « Pauvre Petit garçon »

Cette nouvelle est très intéressante. Elle raconte l’histoire d’un petit garçon âgé de 5 ans. Il n’est pas très beau, c’est même plutôt l’inverse, il est plutôt « pitoyable, maigrichon, souffreteux, blafard, presque vert « . A cause de tous ces défauts, il se fait humilier par ses autres camarades qui l’appellent Laitue à cause de son allure verte.

Un jour il décide d’aller jouer avec eux. Avec étonnement, ces garçons acceptent l’arrivée du petit Dolfi dans leur fausse guerre et le nomme même capitaine. Mais tout ça n’est juste que pour l’humilier de nouveau en lui tendant un piège. Après cela Dolfi rentre chez lui. Sa mère, furieuse de le voir comme ça, l’imagine dans 15 ans dans un bureau, en petit homme terne qu’il serait toujours, un pauvre diable vaincu par la vie. Elle ne se doute pas qu’en vérité son fils, Dolfi Hitler, va devenir une des pires personnes au monde, qui va, par la suite de sa vie, faire vivre ses mêmes souffrances aux autres.

Cette nouvelle est ma préférée du recueil pour son côté historique.

Impressions de Lyson : « Pauvre Petit garçon »

C’est l’histoire d’un petit garçon qui est pauvre, qui est maigre, qui n’est pas très fort… Tous ses camarades de jeu ne jouent jamais avec lui. Ils l’appellent Laitue car il a le teint pâle et un peu vert. A la fin on apprend que le petit garçon qui s’appelle Dolfi, va devenir Adolf Hitler.

Je n’ai pas trop aimé cette nouvelle car il faut relire plusieurs fois pour comprendre l’histoire.

Impressions de Loriane : Pauvre Petit Garçon

Je ne suis pas tant surprise que ça qu’Hitler ait été un enfant mis de côté par son entourage. Après tout, dans chaque histoire, le méchant a toujours un passé triste qui le pousse à changer. Il y a aussi quelques détails qui m’ont fait comprendre la fin : la référence à la couleur des cheveux des tortionnaires du petit « Dolfi » (noire) qui rappelle le point de vue de la race aryenne lors de la 2ème guerre mondiale.

Impressions de Hugo B : « Happy Meal »

L’histoire nous parle d’un garçon et d’une fille allant au McDonald.

Le garçon est amoureux de cette fille, il nous la décrit avec les plus beaux détails comme : elle a les plus beaux yeux du monde …

Le garçon a plutôt une préférence pour les restaurants et la fille pour les fast-foods. Mais le garçon décide d’emmener sa bien aimé au fast-food pour lui faire plaisir.

Tout le long de l’histoire il continue à la décrire.

L’auteur a réussi à nous endormir pour ne pas que l’on devine la chute de la nouvelle, qui apparaît à la fin.

Impressions de Clément : Pauvre Petit garçon

La deuxième nouvelle était bien mais à la fois triste et étrange quand on se rend compte que le « pauvre petit garçon » est en réalité Adolf Hitler. J’ai bien aimé car il y a un moment quand même où l’on se dit que le « pauvre petit garçon » va peut-être enfin être heureux mais non. Et on se dit qu’en réalité il ne le  sera jamais. La deuxième raison pour laquelle j’ai aimé cette nouvelle c’est parce qu’elle reflète aussi très bien la méchanceté des gens à l’époque comme maintenant.

Les élèves de 3D ont lu en première lecture cursive, le recueil de nouvelles à chute publié chez Magnard.

Ce recueil rassemble des nouvelles de différents auteurs. Toutes se terminent par une chute : une fin inattendue. Qui oblige parfois le lecteur à relire la nouvelle en entier.

J’ai choisi Julius car…

C’était le personnage principal, il a une amoureuse plutôt rigolote tout comme son père. Je n’ai pas choisi la maîtresse ni la pâtissière car on n’en a pas parlé (le père de Julius a passé avec elles qu’un petit moment). Bref j’ai choisi Julius car il avait bonne réputation dans le livre.

Romane, 6D