Un conte à la « Gabriel Garcia Marquez »
Même si l’on a parfois l’impression de poncifs avec un saupoudrage de l’idée d’Amérique latine – Dictateur, anciens nazis, machisme… – les élans poétiques et la « crudité » du discours forment une alchimie qui donne à cette fable tropicale une portée universelle.
Sorte de conte mythologique où jaillit l’espoir de la « rue de l’avenir » , même si la mort rode… De beaux portraits de femmes…
On ne peut s’empêcher en lisant ce livre de penser aux grandes envolées baroques de Gabriel Garcia Marquez, comme un hommage sous-jacent à ce grand écrivain . Pas étonnant, puisque Veronique Ovaldé l’a connu…C’est un livre magnifique, ma découverte de l’année…Jetez- vous sur lui avec délectation !