Le regard est livide, la pensé reste figée, vide. Il est dénudé de ses sens. Il vit sans vivre…La tristesse l’envahit, je le sens rougir, les pulsations des battements de son cœur s’accélèrent, son souffle est court. Il aimerait pleurer mais il n’y parvient pas..
Au dedans de lui se renferme terreur, tristesse et colère. C’est comme une maladie qui lui interdit de penser. Être glissant vers l’intériorisation ne laissant pas place à la rage. Il aimerait pleurer mais il n’y parvient pas.
Être vivant en constance introspection. Je lui souffle à l’oreille: «Nous sommes parfois obligés de refouler pour accepter. Mettre un cache devant ses yeux, aveugler pour ne pas ressentir».
Loréna, PALASSIN