Du temps où mon âme, respirait ton corps.
La guerre pouvait bien venir chez les autres.
Du temps où l’égoïsme de mon amour te protégeait.
La guerre est finalement venue te chercher.
Alors j’ai prié pour qu’on m’emmène avec toi.
Mais tu avais quelque chose, que je n’avais pas.
Mais quoi ?
Nous étions un tout, un tout petit cœur battant.
Alors depuis ce temps où mon âme ne te respire plus.
Depuis ce temps où l’égoïsme de mon amour ne te protège plus.
Je suis venue chercher la guerre toute seule.
Mon amour, à bientôt…
Louna Astier-Roux