Culturelles, sportives, amicales… nos rencontres sont également l’occasion de partager quelques spécialités gastronomiques, dont les recettes peuvent figurer en bonne place sur ce blog, pour le plaisir de tous !

Hors-d’oeuvre du Sud-Ouest

Hors d'oeuvre au foie gras

Recette réalisée par Françoise H.

Ingrédients :
– Feuilles de brick
– Foie gras cru
– Pain d’épices

Ordre du travail :
Coupez les feuilles de brick en 4.Coupez le foie gras en tranches puis en cubes. Coupez le pain d’épices en cubes. Faites des petites boules en malaxant cube de foie gras et cube de pain d’épices. Disposez 5 ou 6 boulettes dans l’arc du quart de la feuille de brick. Roulez, repliez aux deux bouts et maintenez avec un cure-dent en bois.
Mettez au four 5 minutes, température 200 à 220 degrés. Surveillez bien.
Servez chaud. Comptez 3 ou 4 par personne.

Recette du tiramisù

Ingrédients (pour 8 personnes) :

–  3 gros œufs
–  80 à 100 g de sucre (roux, c’est encore meilleur)
– 1 sachet de sucre vanillé (si on veut)
– 250 g de mascarpone
– 24 à 30 biscuits à la cuillère (on peut aussi prendre de la génoise, des boudoirs, des speculos, etc…)
– 1/2 litre de café noir non sucré
– 30 g de poudre de cacao amer

– un petit verre de Marsala sec ou d’Amaretto (moi j’ai mis du Marsala aux œufs dans l’un et du Marsala aux amandes dans l’autre, et en plus, de l’Amaretto dans la crème).

– de plus, dans le café, j’ai mélangé un peu de liqueur de café

 

Préparation de la recette :

Préparer environ ½ l de café noir et le laisser refroidir
Pour la crème, séparer les blancs des jaunes. Mélanger les jaunes + sucre + sucre vanillé.+ Marsala, Amaretto (et si on n’en n’a pas sous la main, un peu de Porto ira très bien) Ajouter le mascarpone au fouet.

Monter les blancs en neige et les incorporer délicatement à la spatule au mélange précédent.

Mouiller les biscuits dans le café.

Tapisser le fond du moule avec les biscuits. Recouvrir d’une couche de crème. Alterner biscuits et crème.
Terminer par une couche de crème. Saupoudrer de cacao.

Mettre au réfrigérateur 4 heures minimum et déguster.

 Gisèle

 

 

Recette des macarons

Pour la recette de base des macarons, voici les détails et les conseils. Voici comment je fais … et je ne les rate plus jamais !!!

 

1. Je respecte scrupuleusement les proportions (la moitié des quantités donne environ 40 macarons « doubles » soit 80 coques). Mais ça dépend de la taille. Je ne les fais pas trop gros, pour n’en faire qu’une bouchée (oh la gourmande !!). Les températures de cuisson du sucre (il faut un thermomètre de cuisson) et du four sont également minutieusement respectées.

2. Je fais « vieillir » mes blancs d’oeuf : c’est à dire que je les sépare des jaunes au moins 3 jours à l’avance (ça peut facilement aller jusqu’à 7 à 10 jours (au début ça me choquait, mais on m’a dit que ça se conserve 1 mois au frigo, dans un Tupperware fermé !! Par contre les jaunes 2 jours maxi). Et bien sûr je les laisse à température ambiante quelques heures.

3. Je passe ma poudre d’amandes au robot ménager (type Magimix. Surtout pas un moulin à café, qui chauffe la poudre qui « coagule », comme je l’avais fait la première fois), assez longuement, puis encore avec le sucre glace. Puis je tamise : pas besoin d’une passoire trop fine, c’est surtout pour « casser » les grumeaux, avant d’y incorporer le blanc d’œuf (ne pas mélanger entre les deux, ça reforme des paquets).

4. C’est dans ce mélange que j’incorpore un colorant, en pâte (pas liquide). Pas de problème si on mélange longuement. C’est parfois un peu long d’avoir un mélange souple, et on peut croire au début qu’il n’y aura pas assez de blanc pour « mouiller » la poudre, mais ne pas s’affoler et ne rien rajouter. Si vraiment à la fin, toute la poudre n’est pas mouillée, rajouter « gramme par gramme » un peu de blanc d’oeuf (ça ne m’est arrivé qu’une fois !!). On doit obtenir une pâte d’amande pas liquide, seulement un peu souple. Se rappeler que la couleur s’affadit à la cuisson, donc faire une couleur assez soutenue.

5. Pour la meringue, je bats un petit peu, juste pour que les blancs soient un peu mousseux, jaune clair puis je verse le sirop  en continuant, comme avec l’huile pour une mayonnaise, mais assez rapidement quand même. Surtout, on continue à battre jusqu’à ce que la meringue soit presque froide. Ca prend un peu de temps et on la voit durcir et devenir brillante. A la fin, je mets parfois mon bol dans une cuvette d’eau froide.

6. Pour mélanger, je mets d’abord 2 ou 3 cuillérées à souple de meringue, pour « détendre »la pâte d’amandes et bien racler le fond et les parois. Puis tout le reste et je « macaronne » en tournant mon récipient et en faisant un mouvement du centre vers les bords et du bas vers le haut. Je prends pour ça une spatule en plastique dur (type Tupperware) trouée en son centre. Il faut que le mélange soit homogène, mais ne pas trop le tourner inutilement.

7. Quand le mélange est dans la poche à douille, et qu’on forme les petits tas, éviter de mettre les mains sur la poche (pour ne pas « chauffer » le mélange). J’utilise du papier sulfurisé que je pose sur une plaque perforée achetée dans un magasin spécialisé en arts culinaires. Entre chaque tournée je la refroidis sous le robinet, je la secoue dehors et je l’essuie bien (une fois, je l’ai pas séchée et l’humidité n’a pas plu aux macarons).

8. J’enfourne aussitôt (1 ou 2 minutes après) et je prépare la tournée suivante sur une autre feuille, que je glisse sur la plaque après.

9. Au bout des 14/15 mn’, je vérifie la cuisson en soulevant un coin du papier : si le macaron se détache bien, c’est bon sinon je laisse une minute de plus. Je les sors et puis je mets les suivants. Je les décolle alors avec une spatule en inox.

 

Bon, je crois que je t’ai tout dit !!! Après, il y a sûrement d’autres méthodes ! Je n’ose rien changer, puisque ça marche comme ça ! Bonne chance à vous tous.

Noëlle Salquèbre

 

 

Apéritif à la gentiane


1 litre de bon vin blanc, rosé ou rouge

2 ou 3 pelures d’oranges non traitées (rien que la partie supérieure en évitant le « blanc »)

3 ou 4 petits morceaux de gentiane (gros comme un ongle)

200 grammes de sucre

½ cuillerée à café de chicorée en graines

Laisser macérer un bon mois dans un bocal fermé. Passer et filtrer.

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.

Moelleux à l’abricot


500 g d’abricots                                             180 g de farine + un peu de levure

40 g de pistaches non salées                          180 g de beurre

3 œufs                                                            180 g de sucre (en mets un peu moins)

Faire un caramel et le couler dans un moule à manqué de 22 cm de diamètre. Puis disposer les moitiés d’abricots, bien serrés, le côté bombé au dessus et parsemer de pistaches concassées.

Faire fondre le beurre dans une petite casserole jusqu’à ce qu’il prenne une belle couleur noisette. Surveiller ! Laisser reposer.

Fouetter les œufs et le sucre, une pincée de sel, incorporer petit à petit la moitié de la farine et un peu de rhum (facultatif), puis le beurre prélevé à la cuillère. Puis le reste de farine.

Verser cette pâte sur les abricots. Cuire 20′, thermostat 6/7. Vérifier la cuisson. Retourner sur un plat, aussitôt (important, car sinon le caramel durcit et reste dans le moule). Laisser quelques instants pour que le gâteau tombe tout seul.

Cakes salés


Ingrédients :

3 oeufs
150 g de farine
1 sachet de levure
10 cl d’huile d’olive ou autre selon garniture
12,5 cl de lait
sel et poivre

Dans un bol, mélangez bien les œufs, la farine et la levure. Salez et poivre. Incorporez progressivement l’huile, puis le lait tiédi. Pour avoir des cakes plus moelleux, ajoutez 2 bonnes cuillères à soupe de fromage blanc ou 1 yaourt nature.

Enfournez pendant 45 minutes au four à 180° (th. 6). Démoulez puis laissez refroidir sur une grille.

Garnitures :

400 g maximum en tout (sinon le cake est trop lourd) au gré de sa fantaisie

Jambon (blanc ou fumé ou les 2) et olives dénoyautées et farcies(facultatif)

Surimi et basilic

Lardons et poireaux (les laisser crus mais prendre des petits)

Lardons et pruneaux

Feta et courgettes crues (en rondelles très fines avec la peau, c’est plus joli et ça se tient mieux)

Chèvre frais (une buche) et tomates séchées

Betterave rouge (en dés)

Saumon et ciboulette

Saucisses cocktail et emmental en dés ou rapé (selon les goûts)

Blanc de poulet et poivrons grillés

Thon et fonds d’artichauts

Champignons de Paris et cœurs d’artichauts

Etc…on peut varier à l’infini et intervertir

Pour le congeler, couper le cake en tranches avec un couteau électrique. C’est plus facile de le décongeler à température ambiante en détachant les tranches

Bon appétit !

Terrine de légumes

Recette proposée par Annie Frank et réalisée et degustée lors du week-end du 29/30 mars au Ménil-Thillot.

Ingrédients :
-350 g de carottes et courgettes (soit 1 petite courgette et 2 ou 3 carottes)
-200g de petits pois surgelés ou en boîte
-100g de crème fraîche
-15 cl de fond de veau
-4 oeufs
-sarriette, basilic, persil
-2 cuillerées à soupe de maïzena
-sel, poivre

Réalisation
1) Coupez les carottes en dés et les courgettes en rondelles fines et faites les cuire dans une poêle. Ajoutez les petits pois en boïte en fin de cuisson.
2) Crème : Mélangez la crème fraïche, les oeufs, le fond de légume (froid) , la maîzena. Assaisonnez.
3)Mettez les légumes et les herbes finement hâchées dans la terrine ou le moule à cake graissé(e). Versez la crème et faites cuire au bain-marie et au four une heure environ. Recouvrir le moule d’un film alu et maintenir une ébullition frémissante, pas de gros bouillons pour éviter les trous dans la terrine cuite).
4) Servez tiède avec un coulis de tomates ou froid avec une mayonnaise.

Gâteau brioché franc-comtois

Recette testée le 29 mars 2008, lors du week-end au Ménil-Thillot, et proposée par Marie-Noëlle.


– 340 g de farine
– 20 g de levure de bière
– 20 g de sucre
– 1 œuf entier
– 1 verre de lait tiède
– 1 pincée de sel
– 20 g de beurre

et pour la garniture (« goumau ») : œuf, sucre, crème, battus.
Quantités à apprécier au goût, sans craindre de trop sucrer.

Mélanger levure, sel, sucre, œuf puis beurre fondu et lait. Travailler en ajoutant la farine : la pâte doit se détacher des mains. Faire lever une heure puis mettre dans une tourtière. Faire lever encore 30 mn.
Préchauffer le four (thermostat 7-8)
Piquer le centre du gâteau avec une fourchette sans traverser totalement l’épaisseur de la pâte, en prenant soin de laisser une couronne tout autour. Verser le « goumau » à l’intérieur de cette couronne. Dorer le tour à l’œuf, puis enfourner. Surveiller la cuisson qui est rapide.
A la sortie du four, saupoudrer le gâteau chaud de sucre cristallisé.