mon entrée d’après les méthodologies de Luc Collès

Pour le choix de ma thématique, je souhaite travailler l’altérité au travers du rapport entre genre féminin et genre masculin dans le contexte culturel de l’école. L’enjeu de ce thème est un enjeu social majeur encore de nos jours et qui m’intéresse particulièrement. L’école est souvent le premier lieu de collectivité et pour certains enfants de mise en tension de cette altérité spécifique.

C’est pourquoi mon objectif est de m’interroger sur le fondement de ce rapport et comment il se construit mais aussi comment il peut influencer nos interactions sociales. L’école étant un milieu d’interactions constantes, je souhaiterais interroger ce milieu mais également comment l’école peut agir sur ce rapport entre garçons et filles.

Lors de mon stage, que j’ai réalisé en grande section, je ne pensais pas a priori pouvoir observer des situations concordant avec mon thème (d’après mes premières recherches, l’altérité entre garçons et filles est réellement mise en tension pendant le cycle 2). Néanmoins, il se trouve qu’après entrevue avec mon encadrante et observations lors du stage, j’ai compris que certains éléments viennent influencer ce rapport notamment la cellule familiale et la manière dont l’enseignante aborde et conçoit cette altérité.

Le type d’approche que j’envisage est celle des représentations et stéréotypes afin d’introduire ma thématique et de ne pas rester focaliser sur mes représentations personnelles. Je souhaiterais au travers de cette méthodologie aborder cette altérité entre garçons et filles grâce à son évolution dans le temps et aux différences que l’on peut observer selon la culture de chacun. Par la suite, j’aimerais utiliser l’approche par l’analyse des heurts sur laquelle il serait possible de s’appuyer pour tenter de proposer des solutions. Ces « solutions » pourraient prendre différentes formes, avoir différents objectifs et finalités.

Une réflexion sur « mon entrée d’après les méthodologies de Luc Collès »

  1. Votre sujet reste encore un peu vaste, il faudrait cibler : l’évolution dans le temps et selon les cultures est quasiment une thèse en soi ! Effectivement la façon d’envisager la relation altéritaire fille-garçon a beaucoup évolué et varie selon les aires culturelles. Est-il ou non possible d’envisager un « noyau » universel et si oui, lequel et comment ? Vous allez faire un stage en Russie prochainement, il serait intéressant d’analyser comment la question y est abordée pour voir ce que l’on peut trouver de commun et de différent.

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