Contribution du blog: L’autre n’est pas que différent : en quoi il me ressemble ? l’altérité pose aussi la question du commun voire de l’universel

Il est vrai que l’altérité-différence est l’aspect le plus évident, qui est même cité en premier dans le Petit Larousse (à l’entrée Autre, on peut lire : qui n’est pas semblable, différent, distinct) . De plus,on ne pense pas d’emblée à l’aspect ressemblances car il semble aller de soi, ayant toujours été davantage pris en compte en classe et dans la société en général, dans une optique fédératrice autour de valeurs communes (d’ailleurs, jusqu’aux années 1970 on ignorait les principes de différenciation pédagogique, lesquels sont maintenant tout à fait reconnus, et même impulsés par les textes officiels).
Cette contribution incite à creuser (d’aucun diraient à prendre de la hauteur, c’est selon…le point de vue !) l’aspect le plus évident pour aller vers un questionnement autour des ressemblances. Cet apport élargit la conception de l’altérité au champ des points communs.

Pour caractériser l’être humain , les cultures et les sociétés, on pourrait parler de ressemblances dans et par les différences