Le Dr Sarrasin, paisible savant français, se trouve soudain à la tête d’un fabuleux héritage : les cinq cents millions de la Bégum Gokool. Mais le Pr Schultze revendique vigoureusement sa part. Les deux hommes finissent par s’entendre et partagent cette mirifique fortune. Tandis que le Français emploie son argent à l’édification d’une cité modèle, France-Ville, l’Allemand, lui, élève la Cité de l’Acier. Herr Schultze a tenu des propos alarmants sur France-Ville : » J’espère, a-t-il dit, que l’expérience que nous ferons sur elle servira d’exemple au monde. » Un jeune ami alsacien du Dr Sarrasin décide alors d’espionner les œuvres de Schultze et, se faisant passer pour un citoyen suisse, pénètre dans la Cité de l’Acier, forteresse jalousement gardée…
Un bon livre. Il se lit facilement, rapidement. Un langage à notre portée. Des personnages travaillés tout comme le reste de l’histoire, qu’on peut facilement comparer aux révolutions industrielles. En revanche j’ai eu beaucoup de mal à poursuivre la lecture, ayant tendance à « décrocher ». Je en saurais dire pourquoi: Peut-être pas assez habitué à lire du Jules Verne ou tout simplement le fait qu’au fond, l’histoire ne m’attirait pas tant que ça.
Beaucoup d’action, essentiellement à partir de la moitié du roman où dès lors, pour moi, l’essentiel de l’histoire se met en route (opposition flagrante des deux cités.)
J’ai bien aimé ce livre car ça raconte l’évolution d’un monde de la cité de l’acier, qui est une cité modèle. L’histoire se passe au 19eme Siècle. Grâce au fabuleux héritage familial, le Dr Sarrasin qui est un savant Français, reçoit la grande prime qui est les cinq cents millions de la Bégum Gokool. Il décida de partager cette magnifique fortune avec le Pr Schultze pour bâtir la plus grande cité de l’acier moderne qui se prénomme France-Ville. C’est une histoire intéressante, dynamique, pleines d’aventures.
« Les 500 millions de la Bégum ». J’ai bien aimer ce livre car il fait réfléchir et découvrir une autre façon de voir la première guerre mondiale .. Que sans Pauvreté, maladie etc… le monde du commerce ne peut pas avoir lieu .. Que la ville la plus saine et la plus respectueuse de l’environnement n’est pas forcement la meilleure car nous ne sommes pas des animaux ..
Le mauvais côté du livre c’est qu’il est dur de compréhension, long et dur à lire..
On voit bien aussi que les gens ne te voient que par ce que tu as et pas pour ce dont tu es capable.