On les aura

Un matin d’hiver, Barroux trouve sur un trottoir un carnet qui contient un témoignage incroyable : le récit des premières semaines de mobilisation d’un poilu durant l’été 1914 (Première Guerre mondiale). L’auteur de ce journal raconte les débuts de la guerre, la séparation, les trajets vers des destinations inconnues, l’attente du courrier, les nuits interminables, le bruit sourd du canon et aussi la peur…

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