Conseils méthodologiques – sujets (Colles – DS – CB) du premier semestre.

Conseils méthodologiques – sujets (Colles – DS – CB) du premier semestre.

 L’heure indiquée sur le planning des colles est celle du tirage.

La problématique générale du programme (Moyen -Age -> Renaissance, XIXe – XXe) porte sur la notion de « passage », c’est à dire sur les mutations et révolutions artistiques (théoriques, esthétiques et stylistiques) entre une période et une autre. L’idée est de montrer comment se forge une nouvelle manière de traiter la surface du tableau, d’aborder les questions de la représentation (imitation, symbolique) de la nature dans les atrts, les nouvelles pratiques artistiques mais aussi la place de l’artiste dans la société (commande, atelier, liberté et génie artistique…).

Pour une introduction à la première partie (M-Age -> Renaissance) voir ici : https://lewebpedagogique.com/hida/?p=31513

Florence - David by Donatello.jpg

Donatello, David,1430 et 1432,   bronze, Musée du Bargello, Florence.

Quelques conseils et remarques pour les colles.

Les sujets septembre et début octobre portent donc sur les premiers cours (Art artiste…). Au fur et à mesure qu’on avance dans le programme, on passera aux cours suivants de sorte que ceux qui passeront leur colle en novembre ne se retrouvent pas à réviser deux mois de cours pour leur colle.

– Organisation des colles.

La préparation dure 1h et a lieu dans la salle de travail. Le passage 30 min. environ 10 – 15 min. d’exposé (tâchez de les épuiser) et 10 min. d’entretien.

– Forme des sujets de colle – méthode.

Oral A/L (Lyon)

C’est un commentaire composé. Le dossier proposé aux comportera 4-5 oeuvresque nous avons vues en classe et une question sur un des grands thèmes du cours (voir plus bas). Vous organiserez votre exposé oral en suivant un plan (en deux ou trois parties découlant du sujet et en lien logique les unes avec les autres).

Les œuvres du dossier doivent être intégrées dans l’exposé comme exemples, dans un souci comparatif et d’analyse en fonction de la problématique du sujet.

Attention, pour les ENS il ne faut pas commenter les oeuvres les unes après les autres ni les ignorer en répondant au sujet comme s’il était une question de cours.

D’autres références à des oeuvres et à des artistes absents du dossier afin d’étoffer la réponse sont nécessaires. A vous de puiser dans celles que nous avons vues en cours ou de votre culture artistique personnelle. N’oubliez pas de faire autant que possible référence aux sources bibliographiques.

Préparez une prise de notes claire, hiérarchisée, LISIBLE, mais ne rédigez pas tout pour ne pas être obligé(e) de lire constamment vos notes. Les deux – trois  parties doivent apparaître clairement et s’enchaîner autant que possible logiquement.

-> Oral Chartes.

Tant qu’on n’a pas étudié des oeuvres en détail (le premières seront les sculptures de la cathédrale de Strasbourg) les premières colles de Chartes seront identiques aux ENS (Un sujet accompagné de 4-5 oeuvres à commenter).

Quand on aura commencé à étudier des oeuvres précises de manière plus détaillée, la colle prendre la forme de l’oral du Concours :

trois oeuvres non légendées, de nature différente et d’époque différente à commenter les unes après les autres sans sujet donné. La méthode du commentaire est à télécharger ici :

https://docs.google.com/document/d/1ZjiOBZ2cNcJq9V4I7_JaioXULKEAr_gaDDkbmkFXlZs/edit?usp=sharing

L’oral de l’École du Louvre – BEL (à l’issue de la khâgne).

  • Préparation une demi-heure, deux oeuvres non légendées à commenter l’une après l’autre 2×10 min. Suit un entretien d’une dizaine de minutes sur le projet de poursuite d’études et l’intérêt pour le domaine du patrimoine et des arts (musées, expositions, métiers).
  • Entrée en 3ème année de 1er cycle, concours BEL commun aux deux Écoles Normales Supérieures et à l’École des Chartes. Il est réservé aux élèves inscrits dans la spécialité Histoire et théorie des arts et qui ont suivent l’option Histoire des arts depuis l’hypokhâgne.
  • Bibliographie proposée par l’École pour la préparation de cette épreuve :
    Dans la série Histoire de l’art, Paris, Flammarion, les volumes suivants :
    M. Barrucand et C. Heck (sous la dir. de), Moyen Âge. Chrétienté et Islam, Paris, 1996.
    C. Mignot et D. Rabreau, Temps modernes. XVe-XVIIIe siècles, Paris, 1996.
    F. Hamon, et P. Dagen, Époque contemporaine. XIXe-XXe siècles, Paris, 1998.

         Oral Ulm.

– Sujets  de colles pour la première partie du 1er semestre (Histoire de l’Art, Art, artiste et oeuvre d’art).

-Regarder, voir, quelle approche de l’oeuvre d’art

Décrire une oeuvre d’art.

-La vie d’une oeuvre d’art.

-Daniel Arasse : un historien de l’art face aux oeuvres, entre rigueur et sensibilité.

-L’affirmation de l’artiste XVe – XIXe siècle. (Oeuvres d’andrea Pisano, de Giotto, Autoportraits

– L’évolution des conceptions de l’œuvre d’art depuis Giorgio Vasari jusquà Roland Recht, Daniel Ararsse et Hans Belting.

– De l’artisan à l’artiste.

– Comment la peinture devient un « Art » digne des arts libéraux, de la Renaissance à Nicolas Poussin (: cf. Théories de Charles Le Brun sur l’expression des passions, dessin et couleur, hiérarchie des genres)

 

Art, artiste et oeuvre d’art : liste d’oeuvres pour accompagner le sujet ENS ou pour commenter en Chartes sans légende)

-Jean Fouquet Autoportrait (médaillon)

-Nicolas Poussin : Autoportrait du Louvre

-Andrea Pisano, Allégorie de la Peinture.

Andrea Pisano, Allégorie de la Sculpture.

Groupe du Laocoon.

Apollon du Belvedère

Théodore Géricault Fragments anatomiques, Têtes de suppliciés

Altes Museum de Berlin, La salle des antiques grecs.

Le portrait de groupe hollandais (Hals : Cie de Saint-Georges, -Rembrandt Le syndic des drapiers

Matthias Grünewald, Résurrection

Francesco Maffei : Salomé avec la tête de saint Jean-Baptiste.

Nicola Pisano, Hercule – vertu Force

Raphaël, La Madone sixtine,

Connaître les grandes lignes des approches de Riegl, Wölfflin, Meyer Shapiro, Hans Belting.

 – Sujets pour la 2e partie (novembre) : passage du Moyen Age à la Renaissace

Pour les colles sur la sculpture du début novembre (au fur et à mesure qu’on avance elles vont remplace les oeuvre de u premier chapitre sur l’oeuvre d’art)

 Prblématique La référence à l’antiquité (stylistique et iconographique) et l’affirmation d’un langage et d’une plastique propres au gothique.

– Question rapide sur la permanence des références au modèle antique dans l’art roman avec quelques œuvres : portail triomphal de Saint Trophime d’Arles, Saint Gilles du Gard puis dans le premier gothique (XIIIe : « le style 1200 ») :

Études de la sculpture des portails de la cathédrale de Strasbourg : Pilier des Anges  (les figures des apôtres et la Dormition de la Vierge au portail du transept sud), Eglise et Synagogue, Portail central et deux autres portails de la façade ouest (Prophètes, Vierges folles et Vierges sages), iconographie de la façade (interprétatio théologique)Cathédrale de Reims : Visitation – Annonciation, Revers de façade (l' »arc triomphal » des rois de France), Paris (Musée du Moyen Age : Adam, apôtres de la Sainte Chapelle. Allemagne : Bamberg (Cavalier), Naumburg (Princesse Uta, comte Eckert…)

Italie : le retour à l’antique du XIIIe siècle et son abandon.
Nicola Pisano : Chaire du baptistère de Pise ensemble, Hercule et reliefs : Nativité, Présentation au Temple, Adoration des mages).

L’abandon du modèle antique, l’affirmation du gothique expressif avec Giovanni Pisano : chaire de la cathédrale de Pise (Hercule âgé, Massacre des Innocents, Nativité), Platon (façade de la cathédrale de Sienne).

Europe du Nord du XIIIe au XVe, du style 1200 à l’expressionnisme et à l’attrait pour le réel, fin XIIIe (Le cavalier de Bamberg, ), les oeuvres de Claus Sluter et Claus de Werve à Champmol (fin XIVe-début XVe)
Nicolas de Leyde (XVe) un sculpteur « moderne » : Bustes accoudés (MOND de Strasbourg) crucifix de Baden Baden, Epitaphe du Chanoine Von Busnang, chapelle Saint Jean-Baptiste, Cathédrale de Strasbourg).

-> Sujets de colles pour la sculpture du XVe siècle : entre gothique et Renaissance.

Le plus souvent il sera question de comparer des oeuvres d’Europe du Nord et italiennes : représentation de la figure, rapport à l’antiquité, humanisation de la figure, portrait, importance de la commande et du mécénat princier.

–  L’apogée du gothique en Europe du Nord : Claus Sluter à la Chartreuse de Champmol (Portail de la chapelle ducale,  Nicolas de Leyde à Strasbourg : un motif moderne, le Buste accoudé, Lamentation du Christ mort en France (Champagne : le Maître de Chaource).

-> L’entrée d’une partie de l’Italie dans le mouvement de la Renaissance.

Donatello et la naissance de la ronde bosse moderne en Toscane (Florence : Saint Georges, David, Saint Marc, la statue équestre Gattamelata, Judith, Sienne : raffinement gothique et influences antiques : Jacopo della Quercia : la Fontaine de Sienne, (Fonte Gaïa) et le Tombeau d’Ilaria dell Carretto à Lucques. La Porte triomphale d’Alphonse d’Aragon au Castelnuovo de Naples : une relecture gothique du modèle antique. L’antiquité s’introduit par petites touches.

– Les permanences du gothique : Lamentation du Christ mort par Niccolò dell’Arca à Bologne, Marie-Madeleine pénitente de Donatello (expressivité dans le visage et la gestuelle jusqu’au pathétique caractérise la fin du gothique.). Tombeau d’Ilaria del Carretto par Jacopo della Quercia (: le gisant).

Plan détaillé :

Lisez bien l’introduction générale et les problématiques particulières de chaque exposé.

Le Concours blanc portera sur ce thème et non pas sur Ouvre artiste et oeuvre d’art même si des référence à ce thème introductif sont les bienvenues cf. Léonard de Vinci, Raphaël...).
Les exposés portent sur des artistes et des œuvres grâce auxquels nous pourrons comprendre comment et pourquoi l’art européen et surtout italien bascule vers la Renaissance, c’est à dire une modernité qui s’appuie sur l’antique (Florence, Naples, secondairement Sienne) mais qui en Europe du Nord trouve d’autres voies, un autre humanisme non inspiré de l’antiquité, notamment son intérêt pour la représentation fidèle de l’être humain et de la nature, comme en témoignent les œuvres d’un Claus Sluter, d’un Nicolas de Leyde, d’un Dürer ou d’un Mathias Grünewald.

Thèmes et œuvres pour les sujets de colles jusqu’à la mi-novembre : les premières années de la Renaissance (XVe siècle) : la sculpture est le premier art à se tourner vers l’antiquité tout en recherchant un équilibre entre naturel et idéal antique..

I. Deux grandes tendances au XIIIe siècle : programmes imposants des cathédrales. Nombreux chantiers qui permettent à la sculpture de se déployer.

A. La référence à l’antiquité (stylistique et iconographique) et l’affirmation d’un langage et d’une plastique propres au gothique.

« Le style 1200 » : portails de la cathédrale de Strasbourg : Pilier des Anges  (les figures des apôtres et la Dormition de la Vierge au portail du transept sud), Eglise et Synagogue,  Cathédrale de Reims : Visitation – Annonciation, Revers de façade (l’ »arc triomphal » des rois de France), Paris (Musée du Moyen Age : Adam, apôtres de la Sainte Chapelle. Allemagne : Bamberg (Cavalier : statue équestre -> type antique ),

Italie : le retour à l’antique du XIIIe siècle et son abandon : Nicola Pisano. Chaire du baptistère de Pise ensemble, Hercule et reliefs : Nativité, Présentation au Temple, Adoration des mages).

B. Mais abandon du modèle antique.

Voir à la cathédrale de Strasbourg :  Vierges folles et vierges sages, Prophètes du portail central. Naumburg : Princesse Uta, Comte Eckardt

En Italie aussi on assiste à l’abandon du modèle antique et à l’affirmation du gothique expressif avec Giovanni Pisano : chaire de la cathédrale de Pise (Hercule âgé, Massacre des Innocents, Nativité), Platon (façade de la cathédrale de Sienne),

II. Le gothique tardif (fin du XIVe – XVe) : l’intérêt croissant pour la représentation de l’homme, l’humanisation du sacré

  • oeuvres de Claus Sluter et Claus de Werve à Champmol (fin XIVe-début XVe)
    Nicolas de Leyde (XVe) un sculpteur « moderne » : Bustes accoudés (MOND de Strasbourg) crucifix de Baden Baden, Epitaphe du Chanoine Von Busnang, chapelle Saint Jean-Baptiste, Cathédrale de Strasbourg).

–  L’apogée du gothique en Europe du Nord : Claus Sluter à la Chartreuse de Champmol (Portail de la chapelle ducale,  Nicolas de Leyde à Strasbourg : un motif moderne, le Buste accoudé, Lamentation du Christ mort en France (Champagne : le Maître de Chaource).

III. L’entrée d’une partie de l’Italie dans le mouvement de la Renaissance.

Sienne : raffinement gothique et influences antiques :

Jacopo della Quercia : la Fontaine de Sienne, (Fonte Gaïa) et le Tombeau d’Ilaria dell Carretto à Lucques.

-Florence et la sculpture civique :

Donatello et la naissance de la ronde bosse moderne en Toscane : Saint Georges, David, Saint Marc, Saint Luc,  la statue équestre Gattamelata, Judith, Les Quatre saints couronnés de Nanni di Banco.

-Naples : une nouvelle dynastie cherche la légitimité par un art monumental  d’inspiration romaine.

La Porte triomphale d’Alphonse d’Aragon au Castelnuovo de Naples : une relecture gothique du modèle antique. L’antiquité s’introduit par petites touches.

– Les permanences et l’exacerbation des tendances expressives gothiques :

Lamentation du Christ mort par Niccolò dell’Arca à Bologne, Marie-Madeleine pénitente de Donatello (expressivité dans le visage et la gestuelle jusqu’au pathétique caractérise la fin du gothique.). Tombeau d’Ilaria del Carretto par Jacopo della Quercia (: le gisant).

Ne pas oublier ici les apports de la sculpture dans l’affirmation de l’espace pictural : le relief sculpté  (décors et perspective géométrique, représentation du récit biblique (: l’historia) :

Reliefs de Donatello (Combat de  Saint-Georges avec  le dragon (1er exemple de perspective  monofocale centrale), reliefs du Maître-autel de Saint Antoine de Padoue, La décapitation de Saint Jean Baptiste (Danse de Salomé), Les reliefs des Madones à l’Enfant, La remise des clés à Saint-Pierre.

Ghiberti : La Porte du Paradis : innovations stylistiques comme le schiacciato (: fortes variations de relief en fonction de la distance au spectateur), raffinement extrême des drapés de la gestuelle, expressivité chef d’oeuvre du gothique international qui en même temps annonce le retour à l’Antiquité.

-> Colles sur la peinture et la révolution picturale des Primitifs italiens à la Renaissance.

Ne pas oublier ici les apports de la sculpture dans l’affirmation de l’espace pictural : le relief sculpté  (décors et perspective géométrique, représentation du récit (: l’historia) : Donatello (Saint Georges et le dragon (1er exemple de perspective centrale), reliefs du Maître-autel de Saint Antoine de Padoue, La décapitation de Saint Jean Baptiste (Danse de Salomé), Ghiberti : La Porte du Paradis : innovations stylistiques comme le schiacciato (: fortes variations de relief en fonction de la distance au spectateur), raffinement extrême des drapés de la gestuelle, expressivité.

La révolution picturale de Giotto, les apports techniques et esthétiques de l’école siennoise (Duccio, Simone Martini, Pietro et Ambrogio Lorenzetti)

– Sujet comparatif, Giotto. Chapelle Scrovegni et revers de la Maestà de Duccio : deux démarches picturales opposées ?

L’Annonciation est au coeur des révolutions picturales du Trecento au Quattrocento (en rapport avec l’ouvrage de Daniel Arasse). La perspective sert ici la théologie chrétienne.

       – De l’espace pictural « médiéval » du Trecento (cf.Art de la mémoire, loci, personnages apparaissant plusieurs fois dans la même scène) à l’invention de la perspective géométrique et centralisée unifiant l’espace de la représentation.

Dissertation ou sujets de commentaire d’oauvres : pistes de réflexion pour le Concours blanc et les DST.

Les sujets associent peinture et sculpture.

Fiche méthode de la dissertation ici :

https://docs.google.com/document/d/1xTkm7mTYc-r6ZovVRtwTgCotDxFz8fb2fNLWMbNKlRE/edit?usp=sharing

SUJETS – pistes de réflexion.

– Le sacré et le profane dans la peinture et sculpture du XIIIe au XVe siècle (si le portrait est étudié avant le Concours blanc de décembre). L’humanisation du sacré et l’expressivité (sculpture, peinture), le naturalisme symbolique du gothique international, la nouvelle représentation « archéologique de l’antiquité (Mantegna). (en y incluant le portrait seulement si nous avons le temps de l’étudier avant le CB).

– Le rôle de l’Antiquité dans le passage du Moyen age à la Renaissance dans peinture et la sculpture du XIIIe au début du XVIe siècle ».

– Figures, espace, récit dans la sculpture et la peinture de la fin du XIIIe au début du XVIe siècle  : la perspective centralisée outil de représentation et symbole, le nouvel intérêt pour l’homme dans les arts.  (représentation de la figure, rapport texte sacré et image, composition et temps du récit, allégorie : une image purement symbolique). Ne pas oublier que certains artistes comme Pisanello à Mantoue (Tournoi : https://www.wga.hu/frames-e.html?/html/p/pisanell/1paintin/index.html) ou Gentile da Fabriano, pourtant florentin, (Adoration des mages https://lewebpedagogique.com/hida/?p=32192#more-32192) refusent d’appliquer les principes de la perspective centrale et s’incrivent dans le gothique international.

– La conquête du réel du XIVe au XVe siècle : de la vie de Saint François d’Assise par Giotto, l’humanisation de la figure sacrée, les effets de réel dans la peinture et la sculpture : naissance et développement d’un espace pictural cohérent, statues en ronde bosse, implication du spectateur (ou du fidèle pour les images religieuses, portrait sculpté et peint si nous l’avons étudié avant le CB).

Emmanuel Noussis

mis à jour le 24/11/2021

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