La planète des singes: L’étrange rencontre sur la Planète.
Lorsque j’ai ouvert le livre « La Planète des Singes » pour la première fois, je ne m’attendais pas à être complètement absorbé par un monde aussi fascinant, je me suis complètement plongé dans l’histoire captivante d’Ulysse Mérou. Dans cet article, je vais vous présenter une analyse détaillée d’une partie spécifique du livre « La Planète des Singes ».
Quelques mots sur l’auteur :
Pierre Boulle était un écrivain français né le 20 février 1912 à Avignon. Il est connu pour ses livres de science-fiction et d’aventure. Avant d’écrire, il a participé à la Seconde Guerre mondiale en tant qu’ingénieur dans l’armée française.
Deux des livres les plus connus de Pierre Boulle sont « La Planète des Singes » (1963) et « Le Pont de la rivière Kwaï » (1952). « La Planète des Singes » est un célèbre livre de science-fiction, et « Le Pont de la rivière Kwaï » est un livre qui a été adapté en un film qui a remporté de nombreux prix, dont l’Oscar du meilleur film.
Présentation de l’œuvre:
L’œuvre choisie est « La Planète des Singes », une histoire qui se passe sur une planète où les singes sont plus intelligents que les humains. Les singes dominent la société, tandis que les humains sont traités comme des animaux. Ce livre parle de l’intelligence et de l’évolution.
L’écriture de Pierre Boulle est facile à lire. Il décrit bien les personnages et les endroits, ce qui nous aide à imaginer l’histoire. Ce qui rend ce livre intéressant, c’est qu’il nous pousse à réfléchir à des questions importantes sur la différence entre les espèces et sur la façon dont nous traitons les autres êtres vivants.
L’extrait que je viens de lire se trouve au début du livre « La Planète des Singes » de Pierre Boulle. Dans cette scène, le personnage principal fait une découverte étonnante sur une planète inconnue. Il remarque un singe, un gorille, qui est habillé comme un être humain. Il remarque un gorille, qui est habillé comme un être humain. Ce qui est étonnant, c’est la manière naturelle dont le singe porte ses vêtements, donnant l’impression qu’il est habillé normalement, comme un chasseur lors d’une grande chasse officielle.
Cet extrait est essentiel car il présente l’idée principale du livre : l’inversion des rôles entre les humains et les singes. De plus, la manière dont Pierre Boulle décrit les vêtements du singe est vraiment détaillée. Ses descriptions précises créent une image vivante et réelle dans la tête des lecteurs.
Justification de mon choix:
j’ai choisi cet extrait du début du livre « La Planète des Singes » car il présente un moment clé de l’histoire où le personnage fait une découverte surprenante. Cela crée immédiatement de la curiosité chez les lecteurs, les incitant à poursuivre leur lecture pour en savoir plus. De plus, cet extrait établit le thème central de l’œuvre, qui est la rencontre entre les humains et les singes.
« La Planète des Singes » est un livre qui m’a passionnée dès le début. L’histoire était très intéressante et pleine de surprises. J’ai vraiment appréciée la façon dont les rôles étaient inversés entre les humains et les singes, cela m’a fait réfléchir sur la façon dont nous traitons les autres et sur les inégalités.
Sara Lahlou
Et pour toi, la poésie, qu’est-ce que c’est ?…
Pour moi la poésie est un art où les paroles sonne bien à l’oreille, des paroles où le poète peut s’exprimer sans atteindre une fin.
Léo Ferré, Joli Môme – Sara Lahlou
- La chanson « Joli Môme » de Léo Ferré parle d’une femme qui vit sa vie librement, sans se soucier des règles de la société. La chanson décrit cette femme comme étant charmante, joyeuse et libre, qui se promène dans les rues et les cafés de la ville. La chanson célèbre l’importance de la liberté individuelle et de vivre sa vie selon ses propres termes.
- La chanson « Joli Môme » a été écrite et composée par Léo Ferré, un célèbre chanteur et auteur-compositeur français. Elle est sortie pour la première fois en 1960. Léo Ferré est également l’interprète original de la chanson.
- Le texte de la chanson « Joli Môme » est poétique en raison de sa structure et de son vocabulaire. Tout d’abord, le texte est construit comme un poème, avec des strophes, des rimes et une structure rythmique. De plus, les paroles de la chanson sont pleines de métaphores, ce qui renforce le caractère poétique du texte. La chanson utilise des jeux de mots, tels que « tes p’tits seins sont du jour à la coque », pour créer des effets comiques et poétiques. « T’es qu’une rose éclatée que l’on pose à côté », cette phrase utilise une métaphore pour décrire la beauté fragile et éphémère du personnage principal, comparé à une rose éclatée.
Lettre Pierre Boulle
Rabat, le 15 avril 2043
Cher Monsieur,
Je me présente Pierre Boulle, l’écrivain qui a écrit le roman La Planète des Singes. J’aimerais pouvoir adapter au cinéma des scènes qui me paraissent essentielles de garder, tout d’abord la scène où il se fait capturer par des gorilles, il a failli pousser un cri de surprise, mais quand il vit un gorille se tenant devant lui a l’allure et habillé comme les hommes de la terre, il était impressionnée. Cette scène fait penser que la société est dirigée par les singes et que les hommes sont traités comme des animaux.
La deuxième scène C’est lorsque le docteur emmène Mérou voir des singes faire des expériences du cerveau sur des hommes. Car comme ce qu’il a était dit dans l’œuvre, je cite : « C’est une chance que la nature ait mis à notre disposition un animal sur lequel nous pouvons étudier notre propre corps. » en parlant de l’humain. Dans le monde où nous vivons la planète terre. L’Homme se comporte de façon sauvage envers les animaux, n’hésitant pas à justifier certaines manipulations faites en laboratoire au nom de la science. Lorsque Mérou découvre que les singes font des expériences sur des hommes, il réagit de façon choquée.
C’est une œuvre de science-fiction qui remet en question la définition de l’humanité et qui peut-être sensibilisera les scientifiques à arrêter de faire des expériences sur des singes.
Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer, Monsieur, mes sincères salutations.
Merci monsieur !
J'aime bien ton titre, même si ce n'est sans doute pas "le premier".
Oui, je sais que tu n'aimes pas lire... Dommage pour toi :-)
C'est bien !
Bon travail, Salma !