Les échos d’amour : L’œuvre captivante de Luis Sepúlveda
Luis Sepúlveda, écrivain chilien, a marqué le monde littéraire grâce à sa carrière prolifique. Ayant commencé comme militant politique, il s’est exilé en Europe en raison de son opposition à la dictature de Pinochet. Parmi ses œuvres les plus connues figurent « Le Vieux qui lisait des romans d’amour », « Histoire d’une mouette et du chat qui lui apprit à voler » et « Le Monde du bout du monde ».
Publié en 1989, « Le Vieux qui lisait des romans d’amour » est un roman emblématique de Luis Sepúlveda. Il nous plonge dans l’histoire d’Antonio José Bolivar, un trappeur vivant au cœur de la forêt amazonienne, dont la passion pour la lecture de romans d’amour devient son refuge. Ce livre explore des thèmes profonds tels que l’amour, la solitude, la résistance et la relation de l’homme avec la nature. La prose simple mais poétique de Sepúlveda captive les lecteurs en capturant la beauté de la nature et les émotions humaines avec une grande sensibilité.
Cet extrait se situe au début du roman, aux pages 12-13. Il révèle la sagesse acquise par Antonio José Bolivar et la vision de l’auteur sur l’amour. La simplicité de ces réflexions exprime la profondeur des émotions et annonce les thèmes clés qui seront développés tout au long de l’œuvre. Cet extrait est essentiel car il incarne la vision humaniste de Sepúlveda et met en évidence sa capacité à exprimer des vérités universelles de manière simple mais profonde. Il offre également un aperçu de l’évolution du personnage principal et des thèmes centraux de l’œuvre.
Gaston Ouvrard, Je ne suis pas bien portant : un hymne à la maladie
Gaston Ouvrard est un chanteur et compositeur français né en 1890 et décédé en 1981. Il est connu pour ses chansons humoristiques et légères qui ont marqué la scène musicale française des années 30 et 40. Parmi ses titres les plus célèbres, on trouve « Je ne suis pas bien portant », sorti en 1933.
Le sujet de la chanson est la maladie, Gaston Ouvrard dresse un portrait humoristique de toutes les affections qui peuvent toucher l’être humain, qu’il s’agisse de lumbago, de rhumatismes, de constipation ou encore d’hypocondrie. Tout en décrivant ces maux avec une précision médicale, l’auteur cherche à faire rire son public en utilisant un langage familier et des expressions imagées.
La chanson « Je ne suis pas bien portant » a été composée par Gaston Ouvrard lui-même, qui en a également écrit les paroles. Elle est sortie en 1933 et a connu un grand succès auprès du public. Gaston Ouvrard en a été le premier interprète, et d’autres chanteurs ont repris le titre au fil des ans, notamment Raymond Devos ou encore Les Frères Jacques.
Le texte de cette chanson est poétique à bien des égards. Tout d’abord, il crée une atmosphère comique et légère, qui invite le public à sourire et à se détendre. Les expressions imagées utilisées par Gaston Ouvrard, telles que « j’ai le foie qui pendouille » ou encore « j’ai des saucisses dans le dos », donnent vie à un univers farfelu et burlesque qui rappelle l’univers de la bande dessinée.
La construction de la chanson est remarquable, avec des refrains qui reviennent de manière régulière et des couplets qui se succèdent avec fluidité. Les rimes sont riches et variées, avec des assonances et des jeux de sonorités qui ajoutent à l’effet comique.
Le vocabulaire utilisé par Gaston Ouvrard est riche en images et en métaphore, il joue avec les mots pour créer des effets de surprise et de décalage, en associant des termes médicaux à des expressions familières. Les procédés littéraires sont également nombreux, avec des anaphores, des allitérations et des antithèses qui renforcent l’effet comique.
Yixuan Liu
Lettre Pierre Boulle | Yixuan
M. Pierre Boulle
8, Avenue des Saints Michel
Paris
Paris, le 15 avril 1998
Cher Madame Westmore
Je vous écris de vous parlez du changement du contexte de livre dans film. J’aimerais que dans le film le début soit gardé à l’origine car c’est le moment ou on nous présent les personnages principaux, et donc notre première impression sur eux. Après certain moment, au chapitre 7, ou nous allons avoir eu déjà une image du personnage, pour moi, c’est un moment vital, surtout la rencontre de Nova et l’homme qui nous a donner une idée de comment la population est-elle sur cette planète.
Merci d’avoir écouté mes propos, j’espère que vous portez bien.
Cordialement
Merci monsieur !
J'aime bien ton titre, même si ce n'est sans doute pas "le premier".
Oui, je sais que tu n'aimes pas lire... Dommage pour toi :-)
C'est bien !
Bon travail, Salma !