La Délivrance

La délivrance

Cric, crac, faites silence, faites silence, c’est la queue du chat qui danse.
Il était une fois, un assassin appelé Zilou. Il était plutôt sournois, flatteur, avare, malin et surtout habile pour conduire sa voiture volante. Il avait toujours une canne et un chapeau et était habillé en noir. L’assassin vivait seul avec ses gardes. Et dans son château, se trouvait une pièce que personne ne connaissait. Cette pièce comptait deux objets magiques : une baguette magique et une boule de cristal.

Une nuit, alors que Zilou était en plein sommeil, quelqu’un frappa à la porte…
…C’était un homme habillé tout en vert ; et il lui dit : « Bonjour assassin, je viens juste pour te dire que ton château a reçu un sort : il va devenir volant pour toujours. Mais pour qu’il redevienne normal, toi seul peux trouver la solution, moi je n’ai pas le droit de te la dire ».
Zilou resta bouche bée, il était très étonné, mais il retourna se coucher. Dans son lit, l’assassin se posa plein de questions : Quand son château allait-il devenir volant ? Arriverait-il à vivre avec son château ensorcelé ? On peut dire que là, il était très très inquiet !
Un jour, alors que Zilou était dans sa pièce secrète, il sentit un tremblement, et tout de suite, il repensa au sort du château. Il regarda par la fenêtre et il vit qu’il n’était plus sur terre…

…Zilou était très angoissé, car il ne pouvait plus sortir de son château : il était dans les airs. Mais tout à coup, il pensa que, s’il pouvait sortir de son château, car il possédait une voiture volante. En fait, peut-être qu’il allait bien vivre dans son château volant ! Mais il ne cessa pas de réfléchir à la solution qui pouvait faire redescendre le château sur terre.

Un matin, Zilou alla dans sa pièce secrète. Sa boule de cristal allait lui annoncer quelque chose de très difficile à faire, pour un assassin : Zilou devrait délivrer tous les animaux de tous les zoos en faisant le tour du monde avec son château volant sinon, il mourrait. Dès qu’il eut cette information, il commença son tour du monde. Dès qu’il voyait un zoo en dessous de lui, il prenait sa baguette magique et ouvrait toutes les cages de tous les animaux. Au bout de cinq mois, il avait fini de faire son tour du monde. Il retourna dans sa pièce secrète. Sa boule de cristal lui annonça qu’il avait réussi à délivrer tous les animaux.
Et finalement, il adora vivre dans son château volant et il continua à vivre dedans.
Kiki carabi, mon histoire est finie pour aujourd’hui.

Clara-Lou, 6D

Le Singe et Le Vampire

Le Singe et Le Vampire

Juliette

Gardez bien ouvertes vos oreilles pour entendre l’histoire. Elle est ici parmi nous et veut parler. Il était une fois un singe bleu, petit, gentil et beau. Il était méchant quand on touchait à ses bananes ! Il vivait dans une ferme qui se situait dans la forêt. Elle était belle et en plus elle était en bois.

Une nuit, le singe dormait tranquillement dans sa ferme jusqu’à ce qu’il entende une chose bizarre dans le bas de sa ferme où se cachaient ses bananes ! Il descendit doucement et là il vit le Vampire. C’était lui qui essayait de lui voler ses bananes.

Le singe fut terrifié sur le coup et donc il décida de courir n’importe où. Il ne savait pas où il allait et en courant il ressentit de la haine et se rappela qu’il voulait tuer le Vampire pour prendre possession de son collier et puis après l’adoucir.

Donc le singe se rendit chez le Vampire. Puis il entra doucement en cassant une vitre et il vit le collier sur la table. Il le prit et l’adoucit directement sur place. Il se dit : « c’est bon j’ai le collier en porcelaine ».
Il retourna chez lui comme prévu et essaya de tuer le Vampire sauf qu’il ne réussit pas. Donc il le tua avec la lumière du jour. Et puis le singe réfléchit et il se dit : « Je vais me contrefaire en mouche ! ». Et il rentra tranquillement chez lui !
Cric, crac, écoutez bien, je l’entends d’ici, la fauvette fait cui-cui et voilà, le conte est fini.

 

Juliette, 6D

L’aventure de Balthazar

L’aventure de Balthazar

Louanne

Faites silence, faites silence, c’est la queue du chat qui danse. Quand le chat a dansé, quand le coq a chanté, le silence est arrivé, mon histoire peut commencer.

Un petit garçon adorait chasser. Il était grossier et il s’appelait Balthazar alias le tueur. Il n’avait pas de copain car il était seul dans la forêt avec sa mère Ursula qui était magnifique, généreuse, délicate et éblouissante. Il n’était pas grand ni généreux mais il inventait des potions magiques. Il était très caractériel, il s’énervait très vite et il ne se doutait pas de ce qu’il allait se passer.

Un jour Ursula tomba très malade. La seule façon de la guérir c’était d’avoir une corne de dragon qui se trouvait à cinquante kilomètres de chez eux. Donc Balthazar prit la décision d’aller voir le dragon. Il prit son couteau. Ursula embrassa l’enfant sur le front et lui dit : « Fais attention car le dragon peut te tuer ». L’enfant lui répondit : « Ne t’inquiète pas maman, je vais rentrer vivant. Au revoir je t’aime ».

Balthazar n’avait pas grand chose, il n’avait pas de cheval ni d’épée ni de guerrier. Il y avait de l’espoir mais aussi beaucoup de peur en lui. Il prit le chemin pour aller chez le dragon. Après cinq heures de route à pieds, il eut faim, très faim. Il commença à chasser du gibier. Mais il était tellement fatigué qu’il n’arrivait pas à courir. Alors il eut une idée de faire un piège de roc pour les attraper. Cela lui prit une heure. Mais il l’avait enfin construit. Il mit dans le piège une fleur qui sentait la viande. Mais malheureusement les humains ne pouvaient pas la manger. Seulement quelques animaux. Un sanglier fut attrapé. Il mourait de peur. Pourtant il restait un problème : il ne savait pas faire du feu. Il essaya avec un bout de bois sur une pierre mais ça ne marchait pas. Au bout de la cinquantième fois, il y arriva enfin, soulagé. Il mangea le sanglier bien cuit, il n’avait plus faim. Il s’endormit paisiblement près de son feu pour ne pas avoir froid.

Le lendemain une grande marche l’attendait car il devait arriver avant qu’il fasse nuit. Il prit le chemin, déterminé. Il reprit son couteau car il allait l’oublier mais en route il se posait des questions : allait-il revoir sa mère ? Comment allait-il prendre la corne ?

Il eut une idée : une potion de ralentissement bien sûr. Il commença à prendre une limace, des feuilles, de l’herbe et des fleurs. Grâce à la peau de sanglier, il fit une pochette avec de l’herbe. Il mélangea tous les ingrédients. La potion était prête. Il la mit dans sa poche pour ne pas l’oublier.

Il arriva sur un petit chemin de terre. Il vit une cape et des bottes. Il les mit. Il commença à devenir invisible. Quand il voulut faire un pas, il fit sept lieues. Très surpris mais surtout content il reprit sa route. Après avoir fait cinquante lieues il vit la grotte du dragon. Grâce à sa cape le dragon ne pouvait pas le voir mais il ne savait pas que le dragon pouvait le sentir. Découvert, Balthazar enleva sa cape. Il commença à se battre contre le dragon. Il sortit son couteau mais le dragon le saisit et l’envoya dans les buissons. Le dragon lui bondit dessus pour le manger mais Balthazar lui lança la potion. Le dragon bougea à la vitesse d’un escargot. Balthazar eut le temps de couper la corne puis de partir et de reprendre son couteau et sa cape.

Après trois heures de route il réussit à rentrer à temps pour sauver sa mère.

Depuis ce jour grâce à la cape il put chasser plus discrètement.

Crip Crop la petite souris dit que mon histoire est finie.

Louanne, 6B

Le Chevalier John

Le chevalier John

Flavie

Cric crac voici l’histoire du chevalier John qui était timide et gentil. Ses seuls défauts étaient qu’il s’énervait vite et qu’il n’aimait pas les blagues. Il habitait sur une montagne enneigée dans le monde des séismes. Quand il était avec une femme il était sincère. Il était sévère avec ses enfants. Il était généreux avec les pauvres, il leur donnait de l’argent.

Un beau matin il décida d’aller se promener dans une grotte. Il vit un magicien : il repartit et à l’entrée de la grotte il vit une chose brillante qu’il prit. C’était une bague sur laquelle était écrite : « Voici une bague qui guérit contre le poison ». Il la mit à son doigt.

Tout à coup il vit un sorcier maléfique qui prit une potion et la mit sous la lumière du soleil. La potion devint aussitôt plus puissante. John, terrifié, se cacha.

Le sorcier se sentait plus fort, plus puissant. Puis il prit la potion et la mit dans sa sacoche.

Soudain John, marcha sur une branche et elle se brisa. Le sorcier vit John, il lui lança un brouillard d’aveuglement. John ne pouvait pas voir à un mètre devant soi et le poison l’empêchait d’avancer. Il ne savait pas où aller car il ne voyait rien. Plein d’astuces, il enfila ses lunettes anti-aveuglement. Il avança vers le sorcier, lui prit sa sacoche. Le sorcier lui lança une corde dans les jambes pour ne pas qu’il prenne la fuite. John tomba mais il sortit son épée de sa poche, coupa la corde et étrangla le sorcier. John prit la potion qu’il avait dans la sacoche et la brisa contre le sol. Puis il rentra chez lui sain et sauf.

Kiki carabi mon histoire est finie pour aujourd’hui.

Flavie, 6B

L’incroyable aventure de M. Écureuil

L’incroyable aventure de M. Écureuil

Capucine

Cric, crac, sabot, cuillère à pot, je sais un conte.

Il était une fois un écureuil aux yeux bleus et au ventre vert. C’était un écureuil très coloré. Du coup les autres ne l’acceptaient pas comme il était et le laissaient tout seul faire ses réserves pendant que les autres faisaient les leurs. Il y avait aussi une sorcière très laide, horrible, ingrate et elle était gourmande. Elle faisait des gâteaux des gaufres, des crêpes… (elle était généreuse en sucre).

Un jour, alors que M. Ecureuil faisait ses réserves, il entendit une voix : «Tu me livreras trente kilos de noisettes pour que je fasse un énorme gâteau  ». C’était la sorcière.

M. Ecureuil ressentit de l’angoisse et de la peur.

Aussitôt, il eut le réflexe de cacher toutes les noisettes qu’il avait ramassées au-dessus de son placard.

Puis il pensa : « il faut que je la tue ».

Toute la journée il imagina des plans en vain. Le soir, avant de se coucher, il lut un livre où il découvrit que les sorcières cachaient près de leur maison une pierre de feu pour se protéger de leurs ennemis.

Le lendemain, il se fabriqua une armure. La nuit suivante, il se dirigea vers la maison de la sorcière pour l’attaquer pendant son sommeil.

Lorsqu’il s’approcha de la maison de la sorcière, il vit une lueur au creux d’un arbre. C’était la pierre de feu. Puis il la prit sans se brûler grâce à son armure. Il grimpa à l’arbre près de la maison de la sorcière et jeta la pierre de feu sur le toit de chaume qui s’enflamma. La sorcière périt dans le feu. Depuis ce jour tous les écureuils devinrent ses amis et ils firent leur réserve ensemble. M. Ecureuil se trouva une femme et ils eurent beaucoup d’enfants de toutes les couleurs.

Ni, ni, mon petit conte est fini.

Capucine, 6B

Brignon

Brignon

Léna

Jadis un jeune Brignon à la chevelure blonde et aux yeux bleus. Il portait une très belle paire de lunettes qui le rendait intelligent et très obligeant. Il habitait dans un château, cet habitat était très laid sans couleur, très mystérieux car personne n’habitait dedans sauf Brignon.

Un beau matin, Brignon se leva puis alla dans le jardin. Tout à coup il vit un dragon qui jetait une bombe magique sur son château.

Brignon rentra dans le château mort de peur. Dans sa tête, il se dit qu’il devait tuer ce dragon car il risquait de détruire sa forteresse. Il ne comprenait pas pourquoi le dragon l’attaquait. Et il resta enfermé dans le château à attendre que le dragon parte.

Quand un jour il en eut assez de rester enfermé dans le château. Il sortit et il courut vers le dragon puis le tua. Le dragon, avant de mourir, lui dit : « je voulais te protéger, je ne voulais pas te faire de mal ». Puis il mourut. Brignon, choqué par ce que le dragon venait de lui dire, alla acheter un sort de guérison. Puis il le lui donna. Le dragon était heureux de revivre. Ils devinrent amis. Et tout est bien qui finit bien.

Léna, 6B

Hubert

Hubert

Alexis

Il y a cinquante ans, dans la vallée des Alpes, en plein été, vivait un montagnard honnête et loyal qui s’appelait Hubert.

Il avait des lunettes et il était grand et musclé.

Après avoir escaladé le plus haut sommet des Alpes, il était en train de rentrer chez lui afin de rejoindre sa femme, même si elle était exigeante. Il avait un enfant gros et laid et cela contrariait beaucoup ses parents.

Tout à coup, Hubert se rendit compte qu’il n’avait plus d’eau mais il trouva sur son chemin une gourde d’eau avec un liquide transparent. A l’intérieur il pensa que c’était de l’eau mais en fait il s’agissait d’une potion magique.

Il la but et fut téléporté sur une île déserte. Il ne put se nourrir que de noix de coco. En allant en chercher, il trouva une pomme dorée. Il la mangea et s’aperçut qu’il avait une force surhumaine. Il poussa un rocher et il trouva une lampe magique qui lui permit de faire un vœu. Le montagnard souhaita rentrer chez lui. Cela ne marcha pas. Il se construisit un lit pour dormir.

Le lendemain, il se réveilla chez lui.

Il vécut heureux avec sa femme et son enfant.

Alexis, 6B

Les Souris au pelage en or

Les Souris au pelage en or

Anaelle

Une fois il y avait, une fois il y aura… C’est l’histoire d’un farfadet qui habitait à New York. Patrick le Farfadet était vif et rapide. Il avait les pouvoirs de geler tout ce qu’il voulait et de se téléporter. Son caractère ? Il était orgueilleux, ingrat, indulgent, modeste et désintéressé. Mais parfois il pouvait se montrer humble et généreux. Il avait deux souris avec un pelage en or qui attiraient bien des jaloux.

Un jour, les souris du farfadet disparurent. Le farfadet, énervé, chercha ses deux souris et il trouva une épingle à la droite de la cage. Le farfadet pensa qu’elles avaient disparu à cause de leur pelage en or.

Il était triste et sur son visage coula une larme de peur. Il avait peur que ses souris ne soient plus en vie. Mais il ne lâcha pas l’affaire. Il comptait bien retrouver ses souris magnifiques et belles.

Il alla chez tous les voisins du quartier pour savoir s’ils n’avaient rien vu mais malheureusement ce n’était pas le cas. Le farfadet, pour savoir si les gens mentaient, alla voir le grand méchant loup. Il dit comment étaient ses souris mais il ne trouva personne qui était coupable. Et même pas Louis le témoin qui surveillait le quartier. Mais, tout-à-coup, il vit quelqu’un qui avait des poils en or. Le farfadet alla voir ce monsieur qui sortit une dague et essaya de le blesser. Puis il partit en courant mais il réussit à l’attraper. Le farfadet prit son sac et voulut l’ouvrir mais il n’y arriva pas. Alors il décida d’utiliser son sort de gel. Il réussit à l’ouvrir et découvrit ses souris dedans. Il était si content qu’il rentra chez lui fêter ça.

Et il fut tranquille avec ses souris jusqu’à la fin des temps. Voici une souris, mon conte est fini.

Anaëlle, 6B

Un Pékka

Un pékka

Emmanuel

Un pékka habitait dans un village non loin de la mer et de la forêt. Un jour, le roi des barbares lui envoya une lettre disant qu’il avait enlevé sa famille. Le pékka, furieux, lança les chaises et les meubles de sa maison…

Il prit son épée et apprit des sorts de feu. Il partit vers le château pour sauver sa famille. Il ne savait pas tous les pièges qui l’attendaient.

Le roi des barbares le regardait depuis son château, au centre d’un labyrinthe ; il diffusa par les parois un gaz toxique. Le pékka eut la nausée à cause du gaz nauséabond. Puis, il commença à s’endormir… Il se réveilla quelques heures plus tard dans un cachot, enchaîné ; il utilisa son sort de feu pour faire fondre ses chaînes, puis il prit son épée et partit. Il y avait des gardes partout, mais il utilisa encore une fois son sort de feu pour les tuer.

Il sortit du cachot et finit par trouver le roi des barbares : il le surprit en train de menacer sa famille à mort. Le pékka lui lança une boule de feu mais le roi riposta avec son épée et voulut l’attaquer.

Le tyran tomba à cause de la cendre brûlante sur ses jambes puis le pékka lui trancha la gorge. Il sauva sa famille et rentra chez lui en leur racontant toute l’aventure. Ils repartirent donc dans leur île magique.

Ils vécurent tous heureux et n’eurent plus jamais d’ennuis …

Emmanuel, 6B

Le gardien de la montagne

Le Gardien de la montagne

Pauline

Coucou!

Je vais vous raconter une histoire je vous jure qu’elle est vraie ! D’ailleurs je n’ai pas assez d’imagination pour l’inventer. Quoi que… Bon je vous la raconte ?

Alors il était une fois un jeune homme qui s’appelait Hadock. Hadock était le fils d’une fée et d’un homme et avait eu en héritage le pouvoir d’hypnotiser.

Il était plutôt grand, blond aux yeux bleus glacés. Il était toujours habillé avec des vêtements à rayures et un bonnet de marin lui tenait lieu de couvre-chef.

Son caractère? Hadock était honnête et généreux. Mais parfois, il pouvait se montrer impulsif et brutal si on le menaçait. Malgré ça, il était droit et fidèle. Hadock était le gardien de la boîte indestructible cachée dans la montagne de lave. Pour exercer sa profession, il avait déménagé aux pieds de celle-ci.

Un jour, Hadock se leva et en sortant de chez lui, il vit que quelque chose s’était passé pendant la nuit : la montagne de lave était entrée en éruption. C’était le signe que la nymphe du volcan (quoi? Ah oui ! J’ai oublié de vous dire que le volcan abritait une nymphe! Je peux y aller maintenant ?). Donc, c’était le signe que la nymphe du volcan avait vu qu’un malheur était arrivé à la boîte indestructible.

Hadock escalada la montagne et découvrit la nymphe devant le piédestal de la relique.Elle lui ordonna de la retrouver. Il accepta.

Hadock interrogea les habitants du village voisin et apprit que le triste sire Lord Horribolus avait été vu avec ce qu’il cherchait.

Il alla à la montagne de lave. Car Horribolus habitait juste à côté dans un grand palais sinistre. Il s’introduisit chez lui en passant par un passage secret. Il hypnotisa les gardes et arriva devant la salle du trône d’Horribolus : des armes en tout genre traînaient par terre devant un immense trône taillé dans la roche. A côté, figée dans un bloc de cristal,trônait la boîte indestructible.

Horribolus surgit alors derrière lui et engagea le combat avec un éclair noir que Hadock contra facilement. Les deux magiciens se lancèrent les sortilèges les plus puissants qu’il connaissaient.

Mais aucun ne réussit à prendre le dessus jusqu’à ce que Hadock, pris d’une rage meurtrière, attrape une épée qui prenait la poussière dans un coin de la pièce, ce qui déstabilisa Horribolus quelques instants et qui permirent à Hadock de l’assommer avec le plat de l’épée avant de le tuer.

Horribolus se désintégra et avec lui sa si sinistre demeure. Hadock se retrouva sur une colline déserte et encombré d’une dizaine d’épées. Ayant miraculeusement survécu, frissonnant, il brisa la protection de cristal qui protégeait la boîte avec son épée, prit la relique et marcha sur le chemin du retour.

Arrivé chez la nymphe Hadock, il lui rendit la relique et elle lui révéla pourquoi la boîte était si précieuse : elle renfermait le pouvoir du rêve qui pouvait faire fuir la plus courageuse des armées et faire fleurir le cœur des gens en un claquement de doigt. Sa seule limite était l’imagination de son propriétaire, qu’il soit bon ou mauvais. Malheureusement, ce pouvoir, bien qu’extrêmement puissant, était aussi très fragile : une seule mauvaise pensée pouvait réduire le monde en un chaos sans fin.

Secoué par ces révélations, Hadock rentra chez lui et appela les installateurs de système de sécurité.

Car si Horribolus avait réussi à voler la boîte indestructible, c’est parce qu’il était passé par la porte tout simplement!

Tout est bien qui finit bien !

Pauline, 6B

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