Le camp des fées

Le camp des fées

Louane

Plus je vous en dirai, plus je mentirai et je ne suis pas payée pour vous dire la vérité. Une jeune villageoise qui se nommait Margaux. Elle avait quinze ans, était belle, douce et éblouissante car elle avait les cheveux bruns qui brillaient au soleil et des yeux bleus magnifiques. Tous les habitants du village l’adoraient car Margaux était généreuse, reconnaissante et réfléchie. Mais elle avait un défaut : la jeune fille voulait toujours avoir raison ! Que va-t-il se passer ? Que va vivre Margaux ?

Un jour, alors que Margaux se promenait dans les bois, une vieille dame l’accosta :

« Que fais-tu ma belle enfant ? demanda la vieille dame ». 

La jeune villageoise lui répondit :

« Je vais chercher des champignons pour le village.

– Tu vas te perdre, prends cette boussole, elle te sera très utile, dit la veille dame. »

Margaux l’accepta même si elle ne savait pas comment s’en servir. Un peu plus tard, Margaux, en ramassant un champignon, fit tomber sa boussole et un magnifique diamant attira son attention. Tout à coup, en voulant la ramasser, elle fut emportée dans un tourbillon magique. En effet, la jeune fille était transportée dans un camp de militaire de fées.

Un peu étourdie, elle ouvrit les yeux et vit des fées en tenue de militaire. Margaux se frotta plusieurs fois les yeux pour voir si elle ne rêvait pas. Et bien non elle ne rêvait pas ! La jeune villageoise prit peur et commença à s’affoler. C’est alors qu’elle vit une fée qui n’était pas comme les autres et qui s’approchait d’elle. Margaux eut encore plus peur et voulut s’enfuir mais la fée arriva et se présenta :

« Bonjour Margaux nous avons besoin de toi ici. 

– Qui êtes-vous ? Et comment connaissez- vous mon prénom ? demanda Margaux.

– Je suis la fée qui te protège, je t’observe depuis ta naissance. Le Général des fées t’a choisie pour nous aider à éliminer la magie noire avec ta boussole. Toi seule peux le faire, dit la fée. »

Margaux était si choquée de ce qu’elle venait d’entendre qu’elle n’arrivait plus à prononcer le moindre mot. Mais elle fit un signe de la tête : elle acceptait finalement la mission, heureuse de pouvoir les aider.

Accompagnée de la fée, Margaux alla à la rencontre du général. Elle était impatiente de le voir et en même temps un sentiment de peur l’envahissait mais en le voyant Margaux n’eut plus peur car ce brave général ne mesurait qu’un mètre quarante-cinq centimètres. Malgré sa petite taille, Monsieur Lebeau donnait l’impression d’être autoritaire : il avait une forte voix et son visage était peu expressif. En quelques mots, il expliqua à Margaux que le camp avait été ensorcelé par un mauvais sort. En effet, un vieux sorcier avait décidé de faire de ce camp un endroit où la magie noire régnerait à tout jamais. Il allait les rayer de la carte pour toujours. Depuis cela, il arrivait plein de choses étranges aux fées. Par exemple, une pluie de poussière envahissait le camp et toute les fées étaient malades ou encore la semaine dernière une tempête de sable était survenue et avait déclenché la terreur sur le camp. Depuis cet incident, personne ne voulait plus sortir de chez lui. Le camp était désert comme sans vie. Le sorcier allait finir par vaincre : bientôt le camp allait s’éteindre ! Perplexe par ce qu’elle venait d’entendre, Margaux erra dans le camp en se demandant comment elle allait pouvoir les aider, elle qui n’avait que quinze ans !

La journée fut vite terminée. Margaux était tellement fatiguée qu’elle finit par s’assoupir au pied d’un arbre en espérant que la nuit lui porterait conseil. Soudain, Margaux fut réveillée par un bruit sourd et une odeur de brûlé. Elle regarda au loin et vit le camp qui se faisait attaquer par une boule de feu. La jeune fille courut vite à la rencontre du général pour savoir ce qui se passait. Sur son chemin, elle rencontra tous les habitants qui partaient se réfugier près de la rivière magique. Margaux décida de ne pas les suivre car elle avait une idée pour faire disparaître à tout jamais la magie noire. Ne prenant plus le temps de rejoindre le général, elle décida d’aller combattre seule le sorcier avec en main sa boussole qui lui servirait d’arme. En arrivant en haut de la colline, Margaux vit le camp détruit et le général qui prenait également la fuite. Margaux fut horrifiée : mais comment se servir de la boussole ? Alors la fée apparut devant elle et lui dit que la boussole réalisait des souhaits. Il fallait donc qu’elle pense très fort à un pouvoir et qu’elle appuie sur le diamant central. Tout en appliquant les conseils de la fée, Margaux pensa très fort à une poussière de fées qui étouffe dès qu’on la respire. La boussole se transforma en sac de poussière. Margaux en jeta autour du sorcier qui disparut en quelques secondes. Tout le village applaudit Margaux pour son courage. Mais il fallait reconstruire le camp. La jeune fille eut une petite idée pour les aider… Elle pensa très fort avec la boussole à rebâtir le camp et son souhait se réalisa.

Tout le monde dansa, grands et petits, j’en suis revenue et mon conte est fini.

Louane, 6B

L’aventure de Reina et Rina

L’aventure de Reina et Rina

Laurine

Au temps jadis une jeune fille qui s’appelle Reina. Elle était très généreuse, très souriante. Elle avait envie d’avoir une super voix. Elle était courageuse. Elle habitait au poteau des enfers, lieu très laid et aussi horrible. Dans ce lieu il y avait des bêtes féroces. Moi ça ne me donne pas envie d’y entrer.

Alors que Reina se promenait, elle vit de la fumée dans le ciel. Elle se rendit à l’endroit où elle avait vu de la fumée. Tout à coup, des bêtes sauvages lui sautèrent dessus. Les bêtes sauvages n’aimaient pas les belles filles. Les bêtes sauvages habitaient au poteau des enfers.

Reina sursauta de peur et cria : «  à l’aide !! Au secours !! Aidez-moi !! »

Reina alla chercher du bois dans la foret et créa un barrage. Reina ressentit de la peur, de l’effroi. Reina réussit à faire le barrage de bois.

Reina partit des poteaux des enfers. Soudain elle rencontra une jeune fille qui s’appelait Rina. Les deux jeunes filles firent connaissance. Rina dit à Reina que dès qu’elle toucherait de l’eau elle pouvait se transformer en sirène. Reina trouvait ça un peu bizarre. Mais en fait c’était la sorcière qui avait donné un sort à Rina. Reina posa la question : « tu sais où elle habite, la sorcière ? ». Rina lui répondit : « oui je sais où elle habite, elle habite au poteau des enfers ». Reina remercia Rina. Reina partit tout de suite au poteau des enfers pour éliminer la sorcière. Mais en capturant la sorcière elle vit une jeune princesse emprisonnée. Reina accrocha la sorcière à une chaise et essaya de délivrer la princesse. Pas de chance la porte était fermée à clé. Sauf que la clé c’était la sorcière qui l’avait. Donc Reina prit la pisto-foreuse et cassa la porte. La princesse avait pu être délivrer à temps. Du coup la sorcière fut, elle, emprisonnée.

Voici la princesse libérée, mon conte est fini.

Laurine, 6B

Le combat de Berni

Le combat de Berni

Il était une fois, une nuit, Berni fit un rêve étrange, dans lequel il était transformé en fantôme et qu’il vainquait une armée de dragons.

Il se réveilla en sursaut et, prenant ce rêve au sérieux, il décida de partir à la recherche des dragons.

Berni commença alors son périple dans la forêt en toute hâte. Au bout de trois jours de marche, il arriva dans un endroit où se trouvait une maison en ruine. Soudain, un vieil homme apparut. Il demanda à Berni ce qu’il faisait ici. Berni lui répondit alors qu’il cherchait l’armée de dragons. L’homme lui confia qu’il n’était pas le premier à essayer de vaincre cette armée. Il lui dit : « Je vais te donner un indice,arrête-toi lorsque tu apercevras un fleuve et cherche la clé passe-partout ».

Berni répondit : « Merci beaucoup Monsieur, si j’arrive à mon but je vous le ferai savoir ».

Berni reprit son chemin. Au bout de cinq jours il découvrit enfin le fleuve. Il trouva à proximité une clé enfouie sous les feuilles. Puis, il leva la tête et aperçut au loin un château avec une immense porte en bois. Il décida de s’y rendre et d’entrer à l’aide de la clé. Les hommes dragons sortirent de leur cachette. La bataille commença, elle fut rude et l’avantage fut parfois pour les dragons parfois pour Berni.

Tout à coup, Berni tua six dragons d’un coup d’épée dans le cœur. Mais avant de mourir les dragons lancèrent une potion qui le transforma en fantôme. Berni fut alors invisible mais il décida de déposer la clé chez le vieil homme afin qu’il comprenne qu’il avait vaincu l’armée de dragons.

Il rentra chez lui. Sur le chemin son sort disparu. Berni reprit le cours de sa vie et garda en mémoire le héros qu’il avait été ce jour-là.

Je passe par un pré, mon conte est terminé.

Léa GL, 6D

La princesse enlevée

La princesse enlevée

Zoé

Il était une fois une lionne qui s’appelait Linda. Elle avait de très belles ailes multicolores. Sa mère n’arrêtait pas de crier sur son petit frère qui faisait beaucoup de bêtises (casser la télé, casser la tablette, déchirer les devoirs de sa sœur… ) et son père était très gourmand. Il adorait les gâteaux apéritifs. Linda adorait monter aux arbres, manger, jouer aux jeux vidéo surtout « Lionnacraft » et dormir.

Durant une sortie scolaire, la lionne et sa classe étaient parties dormir à la belle étoile. Sa meilleure amie, la princesse, fut kidnappée par un dragon qui voulait être le roi du pays. Elles s’étaient rencontrées à la maternelle.

Le matin, les élèves se réveillèrent et découvrirent que la princesse avait disparu en laissant ses affaires. Linda était enragée contre le seul dragon du pays car elle avait vu des traces de griffes mais elle était triste de ne plus voir sa meilleure amie. Elle devait la sauver.

Linda alla voir le sage et lui demanda : « Bonjour monsieur sauriez-vous où et le dragon qui emprisonne la princesse ?

– La princesse est coincée dans la tour et vous appelle.

– Merci et comment puis-je la sauver?

– En trouvant les quatre pierres : de l’eau, du feu, du vent et de la vie.

– Merci de votre aide. Au revoir ».

Linda chercha dans les rivières, les lacs, les fleuves, les océans et les mers. Il ne restait plus que la mer Noire et elle vit au loin une pierre scintillante qu’elle s’empressa de mettre dans sa poche. Elle alla à Tahiti et soudain une pluie de flèche empoisonnées s’abattit sur l’île. Linda ne réfléchit pas et battit des ailes pour faire du vent et détourner les flèches. Elle examina le volcan et au milieu du volcan flottait la pierre du feu. En descendant du volcan les hommes la remercièrent et lui donnèrent une bague avec une pierre rouge en forme de cœur. Elle monta sur le Mont Everest avec beaucoup de mal. Arrivée en haut, elle trouva la pierre du vent. Elle se dit : «  Cette bague, je vais la montrer au sage ». Le sage dit : « C’est la pierre de la vie. Avez-vous les autres pierres ?

– Oui tenez.

– Merci. Que les pierres se réunissent. Allez tuer le dragon et n’oubliez pas votre pierre.

– Au revoir ».

Elle alla près de la tour et cracha du feu mais elle tira de l’eau. Le combat dura longtemps et elle lança un pouvoir de la pierre de la vie en disant : « Après la vie, il y a la mort. Alors que la dragon meurt de vieillesse ! ». Le démon ailé s’éteignit.

La princesse cachait un secret : elle était aussi une lionne volante ! Les deux meilleures amies rentrèrent en volant.

C’est fini pour moi.

Zoé, 6D

Le dragon de l’horreur

Le dragon de l’horreur

Yanis

Ce sont des histoires de la Forêt Noire.

Un chamallow, qui s’appelait Wallow, était tout mou, rose et sincère . Il avait beaucoup d’amis fidèles et loyaux. De temps en temps cela lui arrivait d’être ingrat ou sournois et dans les moments-là il n’avait malheureusement pas d’amis. En fait, son humeur changeait tout le temps. Pourtant il était tout le temps généreux.

Tout à coup il se souvint que quand il était petit, il avait créé, pour l’aider à ranger sa chambre, un robot. Ce dernier s’était révolté contre lui et était devenu méchant. Il revenait pour le tuer. Mais pour le vaincre il fallait aller chercher la bague qui donnait tous les objets dans la ville fortifiée. Il fallait passer le monstre qu’il avait créé plus petit.

Le chamalow était terrorisé de le retrouver plus agressif qu’au moment où il l’avait laissé tomber. Mais il se dit qu’il devait sauver le monde, qui était en danger, car le monstre vivait.

Le chamallow ne perdit pas une seconde pour y aller avec ses amis Tagada, Sucette et Chocolat.

Ils se rendirent devant la ville fortifiée et rentrèrent sans soucis jusqu’à ce que le requin arrive de son bassin et essaye de tous les manger. Sucette et Chocolat moururent dans le ventre du requin et Chamallow et Tagada survécurent pour aller chercher cette fameuse bague. Quand ils poussèrent la porte, ils arrivèrent dans un manoir. Ils montèrent des escaliers, poussèrent une porte et une autre porte et arrivèrent devant la bague qui était dans une vitrine. Wallow la cassa et récupéra la bague. Il alla devant la montre et dit : « Par le pouvoir de la dague magique tu vas mourir dans trois secondes ! ». Et il mourut aussitôt.

Le peuple retrouva le sourire et tout se finit bien. Voilà, voilà et tout se termina dans la joie.

Yanis, 6D

Quels artistes ces 4F !

Cette année, les élèves de 4F ont pris part à un projet alliant la sculpture à l’écriture.

Ils ont rencontré, grâce à Mme Bernier, leur professeur, Mme Marchal-Sante, une écrivaine, et M. Meignien, un artiste lorrain, qui leur ont permis de réaliser deux magnifiques ouvrages.

En classe, les élèves ont longuement travaillé sur le déroulement de l’histoire et de son écriture. Ils ont également œuvré avec M. Meignien et ont confectionné petit à petit, un totem, assemblage de vieux outils et d’objets divers.

 

Voici le magnifique recueil en PDF :

SCAN CAHIER FINAL

Vous pouvez également écouter cette histoire en format audio :

 

Ce totem va prendre sa place dans les locaux du collège, bientôt rénovés.

Un vernissage a eu lieu en présence de M. Henry,de M. Royer, de nombreux professeurs, de M. Bazin, conseiller départemental, et des partenaires impliqués dans ce projet.

Nos camarades ont même un article dans l’Est Républicain :

Segpa artistes

 

A l’attaque !

Cette année, toutes les classes de 6èmes ont participé au même devoir commun.

Les élèves ont dû raconter un combat entre un héros et un adversaire transformé en monstre.

Voici quelques récits.


 

Cette nuit, le guerrier Thomas va vaincre Jacques le monstre à quatre bras dont un armé d’une lame de feu forgée et dans une autre main , il a une mitraillette très puissante.

Il va en direction de la grotte où Jacques habite.

Thomas est armé d’une mitraillette, de deux épées de ninja et d’un drone d’assaut équipé de missiles à tête chercheuse.

Au moment d’arriver à la grotte du monstre, Jacques ne s’est pas encore transformé, c’est à ce moment-là que Thomas décide d’attaquer avec sa mitraillette. Il le touche au pied droit mais pas assez gravement pour le faire tomber. Jacques en profite pour se transformer. Il attaque Thomas et le touche à son tour. Thomas décide de lancer son drone en direction du monstre ; deux de ses missiles blessent le monstre.

La fin du combat s’approche, chaque combattant utilise son épée ; Jacques lance une attaque mais Thomas le contre en bloquant son coup avec une épée tandis que la deuxième lui transperce le cœur et le tue.

Tobyas, 6B


Il était une fois un héros qui habitait à Paris. Un jour, des méchants hommes arrivèrent chez lui. Ils volèrent des bijoux, des colliers, des bracelets …
Un matin, en allant chercher un colis, il trouva une lettre qui lui dit de venir à l’adresse suivante : 9 rue de Louis-Jacques IV. Il devait y aller une semaine plus tard.
Il se souvint du vol dont il avait été victime et pensa que c’étaient les voleurs.
Il se prépara à se battre, il prit une épée, un bouclier et une armure. Une semaine plus tard, il se rendit à l’adresse indiquée. Ce n’était pas une maison mais une grande arène.
Il entra dans l’arène et vit un monstre et une personne dans les gradins.
Cette personne lui dit : << Si tu veux repartir  avec tes objets précieux, il faut battre ce monstre mi-homme mi-monstre.>> Il était grand et tout vert. Le monstre sauta sur le héros mais le héros l’esquiva.
Il dut lui mettre vingt-cinq coups d’épée pour le tuer. Il réussit à le tuer malgré les coups de griffes qu’il avait reçus.
Il reprit ses objets et repartit heureux avec ses objets.

Alexis, 6B


Antman et Givré

Il était une fois un héros qui s’appelait Antman.

Un jour, il affronta un méchant qui s’appelait Givré. Ils se battaient dans une usine d’électricité. Le méchant avait un super pouvoir qui était la glace, il était grand, fort et il avait des rayons lasers qui glaçaient les ennemis.

Quelques minutes plus tard, Antman poussa le méchant et il tomba dans un réacteur en surchauffe.

Il se transforma en un énorme monstre, qui était plus grand que la ville.Le méchant possédait un canon de boule de glace pour lancer sur Antman. Il était tout bleu comme l’eau et la glace.

Antman réfléchit comment tuer Givré. Et pendant ce temps, Givré tuait toutes les personnes de l’armée afin d’avoir l’armure en or pour conquérir la ville. Mais Antman le tua en le poussant dans un volcan pour que la lave le désintègre.

Alexyan, 6D

Journée des femmes 2016

Nous avons fêté les femmes le 08 mars 2016. En effet, c’était la journée des femmes (et non de la femme comme on peut le croire).

DROITDELAFEMME

Pour cette occasion, les 3D ont fait des recherches sur des poétesses célèbres (françaises et étrangères). Chacun a rédigé une biographie et choisi un poème qu’il appréciait.

Leurs productions, en lien avec le printemps des poètes, ont été affichées sur les murs du collège.

Journée femme affiche coloriée

Mme Mangenot

Printemps des poètes 2016

Sigle printemps des poètess

A l’occasion du Printemps des poètes, les murs du collège se sont ornés de poèmes et d’affiches. Vous les avez sûrement vus lors de vos déplacements dans les couloirs.

Affiche 2016

Cette opération se déroule toujours en mars et dure quinze jours. Elle fête la poésie sous toutes ses formes.

Pour l’occasion, les 3D ont rédigé des poèmes célébrant des poétesses (Sappho, Anna de Noailles, Christina Rossetti, Louise Michel, Marceline Desbordes-Valmore…) et la poésie en général.

En voici deux exemples :

 

Tu ne fais pas partie de cet univers

Le tien est constitué de vers

Les mots tournent encore dans ta tête

Quoi qu tu fasses, rien ne t’arrête

Chaque jour qui passe est magnifique

Car à tes yeux tout est magique

Lorsque des nuages se profilent

Tu les effaces, d’un battement de cils

Ton armure en argile

Si fragile

Habillait les courbes de ta poésie

D’un art exquis

Tu as écrit pour la cour

Là était ton seul recours

Pour faire vivre tes enfants

Il te fallait composer avec acharnement

Tes poésies débordent d’allégresse

Elles ne possèdent ni pauvresses, ni faiblesses

Seulement finesse et sagesse

Tu t’es retranchée dans un couvent

Pour raviver tes souvenirs d’antan

Et finir ta vie paisiblement

Léonie

La femme

 

La femme est la fleur de la vie

La lumière de la vie

Le symbole de notre existence

La clé de notre attirance

 

On se rappelle de se sourire

Qui rime avec désir

Plaisir

 

La femme est ses cheveux magnifiques

Les cheveux qui s’envolent au vent

Auxquels s’ajoute une douce odeur de fruit

Un léger parfum de mangue

 

On se rappelle de votre regard

Qui fond de vous des êtres à part

 

On se rappelle de votre jalousie

Qui vous rendent si jolie

 

On rit de vos maladresses

Et  l’on rougit de votre gentillesse

Une tendresse touchante

Une gentillesse surprenante

Sourire à vos plaisanteries

Et ne regretter en rien d’être votre amie

                                                                                                                      Julien C

 

De même, le CDI s’est mis aux couleurs de la poésie : en exposition, florilèges poétiques (réalisés par les 6B et 6D), poèmes divers, recueils poétiques…

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Les professeurs ont eu la surprise de découvrir sur le pare-brise de leur voiture une contravention poétique : ils devaient, pour s’acquitter de leur amende, écrire un poème, un vers ou une strophe. Voici ce qu’a soufflé leur Muse :

 

Sur ma voiture …

J’ai trouvé …

Un joli papillon …

papillon de nuit ?

papillon d’amour ?

papillon d’argent ?

Non !

Un papillon poétique !

M. Delubriat

Souvenir

Après cette journée bof

Limite catastrophe

Merci pour le sourire.

En voyant mon auto,

J’ai cru au pire fléau

Mais c’était irréel

Tant l’idée était belle.

M’est revenue en souvenir

Cette très belle strophe

D’un de mes philosophes :

« Il n’était pas que beau

Dans ma chemise à carreaux.

Elle n’était pas que belle

Dans sa chemise aquarelle ».

Mme Joliot

Si le conducteur n’est pas dans la voiture

C’est qu’il est ailleurs.

Il court d’aventures en aventures

A la recherche du meilleur.

Mme Jeannin

Voici le deuxième poème réclamé

Par le papillon laissé sur le pare-brise

Je regrette toujours ce qui m’est demandé

Et j’aimerais qu’on se le dise.

Mme Jeannin

Moi, ma voiture vole

Dès que vous tournez la tête,

Votre porte-monnaie s’envole.

C’est une voiture pickpocket.

M. Jeannin

La voiture ne vole pas,

Elle stationne,

Ma voiture ne roulait pas,

Elle stationne,

Elle me vole mes bons points

Quand je ne respecte jamais,

Toutes les règles ou tous les points,

Qui me roulent,

Qui me volent

Me chamboulent.

Ma voiture était un poème,

Ce jour-là elle a volé, j’aime,

Un  grand rire.

Mme Demonet

Journée vidée…

Voiture-Essence

Travail, pompée !

Poème ? On aime !

Sourire ressource

Soirée SAUVÉE

Retour aux sources !

Mme Bernier

Ô rage ! Ô désespoir !
Une contravention poétique !
N'ai-je donc tant travaillé que pour cette infamie ? 
Et ne me suis-je blanchie dans les copies
Que pour voir en un jour flétrir mon inspiration ? 
Mon bras qui toute la journée a copié, 
Mon bras, qui tant de fois s'est levé, 
Tant de fois a affermi le savoir de mes élèves, 
Trahit donc ma plume, et ne fait rien pour moi ?
Suis-je incapable de trouver l'inspiration ? 
Ô cruel souvenir de ma Muse passée ! 
Œuvre de tant de jours en un jour effacée ! 
Contravention fatale à mon imagination ! 
Précipice élevé d'où tombe ma créativité ! 
Faut-il de votre éclat voir triompher le doute, 
Et céder à la page blanche, ou vivre dans la honte ?

Mme Mangenot

Je suis Bruxelles
Je suis Paris
Je suis le vol 9268 pour Saint-Pétersbourg
Je suis Charly
Je suis Copenhague

Alors toi lâche ignorant
Crédule imbécile
Idiot instrumentalisé
Va te faire f...
Car je suis libre.

M. Deboine

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Mme Gury

Concours raconter l’adolescence par les 3D (2015-16)

Livres

Les élèves de 3D, comme toutes les troisièmes, ont participé au concours « raconter l’adolescence », concours organisé par la collection « Étonnants Classiques ».

Il fallait, à partir d’une liste imposée de mots clés tirés de La Classe de neige d’Emmanuel Carrère, raconter l’enfance et l’adolescence et l’illustrer.

Les élèves ont travaillé ce concours en cours de français et en cours d’arts-plastiques. Ils ont réalisé leurs productions écrites avec leur professeur de français et ont, avec Mme Wacrenier, réalisé des autoportraits ou des natures mortes. Les productions de la classe ont été réunies sous forme de recueil.

Ce recueil, vous pouvez le télécharger en cliquant sur le lien ci-dessous :

Recueil adolescence 3D

Mme Mangenot

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