« L’auteur lui fait porter une intelligence qui lui permettra d’avoir aussi lentement et sûrement une influence et de là une voie vers la liberté… »
Les arbres et la forêt sont souvent perçus comme une source de courage, de pureté, de repos, de vie en purifiant l’air que nous respirons et de nature sauvage au sens large. Effectivement, c’est un lieu ou l’homme se détend, s’aventure et développe ses sens. Cependant Jack London dans l‘Appel de la forêt nous montre son côté effrayant, dangereux et à la fois intrigant, de par les expériences que le personnage principal a vécues. C’est l’histoire de Buck, un chien arraché à l’affection de son maître et au confort, qui devient chien de traîneaux dans le Grand Nord. L’auteur ramène tout le monde à la vérité primordiale de la nature et de la vie. Celle qui se caractérise par « l’odeur âcre et sauvage de l’instinct » qui règne au-dessus de tout. Buck va vite découvrir la cruauté des hommes et la rude loi de l’attelage. Mais son instinct sauvage se réveille : Buck reçoit un mystérieux appel venant de la forêt, saura t-il y résister ?
Carte postale sonore envoyée par Kéti et Gwendoline depuis la forêt de Jack London
« Son voyage vers un monde cette fois-ci entièrement coupé de la civilisation prend fin et Buck, dont la force est sans égal, devient le mâle alpha d’une meute de loups… »
Kéti et Gwendoline
