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Au gré des vents et des étoiles, voguant à travers les méandres du monde, le voyageur intrépide embrasse l’essence du temps et de l’espace. Tel un explorateur de l’univers infini, il sillonne les terres lointaines, navigue sur les mers tumultueuses et gravit les montagnes majestueuses. Dans son périple, il découvre les secrets anciens enfouis sous le poids des âges, les histoires murmurées par les ruines antiques et les rêves caressés par les constellations éternelles. Dans chaque souffle du vent et chaque battement de son cœur résonne l’écho de l’immensité, tandis qu’il explore les horizons infinis de l’âme humaine et de l’univers qui l’entoure.

Je chercherai

Oiseaux, arbres, étoiles, galaxies..

Je te chercherai.

Je serai, tu seras voyageur

Ton nom.

Toujours sera celui qui rencontrera l’autre en premier

Je trouverai

Celui qui me sera destiné

Je te trouverai.

Pour ne plus jamais t’oublier

Ton nom.

“Quel est ton nom ?”

Ton nom.

“Kimi no na wa ?”

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2 commentaires sur “KALÉIDOSCOPE DE MARGAUX”

  1. Félicitations !! Je sens que tu as mis beaucoup d’énergie dans ce travail et que tu t’es investie.Tu apportes beaucoup d’éléments précis ce qui est super. J’ai pu m’imaginer les scènes décrites dans tes poèmes.Les consignes sont respectés : tu m’as fait voyager, l’utilisation du futur est respecté et je retrouve vraiment une plume poétique dans ton travail. J’aurai juste aimé retrouver ces souvenirs sous le regard d’un enfant.

    Le fragment du kaléidoscope selon moi le plus intéressant est SOUVENIR DE NOUVELLE-ORLÉANS car c’est un souvenir très joyeux. C’est celui auquel je m’identifie le plus car il évoque la musique et me fait penser au conte La Princesse et La grenouille. Grâce à tous les détails de localisation et de description des ressentis des différents sens, j’ai réellement pu m’imaginer la scène. Je me suis retrouvée un cours instant dans ton poème en Nouvelle-Orléans.

    J’ai commencé par des félicitations pour notifier que le travail est très qualitatif afin de motiver Margaux à continuer ainsi. Ensuite, j’ai pris une posture d’ « éditrice » pour évoquer mon ressenti.Puis, j’ai adopté une posture « stimulus-réponse » selon l’article de Jean-Luc Pilorgé, dans le but d’évoquer les consignes.

    (ANNOTATION DE PROF. MARIE)

  2. Au risque de me répéter -ce risque, je vais le prendre- ton écriture est toujours aussi fluide et agréable à lire ! Elle suscite de nombreuses émotions et sensations, ce qui, en plus d’être le but de l’exercice, m’a profondément convaincue qu’il te faut poursuivre ainsi ! Ne cesse pas de t’améliorer et de persévérer (car ta plume est jolie et inspirée !). Tu es présente dans ton travail et cela est une grande qualité. Ma lecture fut bienheureuse, déclinée joliment en plusieurs voyages, occupant plusieurs continents différents (3 au moins, la consigne est respectée).

    J’ai repéré plusieurs figures de style intéressantes (allitération “trois têtes dans une team”, répétition “que feras-tu ?”…:).

    Tes textes sont bien écrits au futur et avec poésie et moult sensations, c’est très bien. Tu as choisi de les écrire en vers majoritairement (seul ton Château est en prose), c’est une tâche difficile mais tu y es parvenue avec brio.

    Bien que l’on se doute que tous tes souvenirs n’ont pas été vraiment vécus (pour la Muraille, tu ne te focalises pas sur une action, mais sur une contemplation : cela rend bien, quoiqu’on perde un peu le côté “souvenirs”), tu arrives à nous faire ressentir.

    Ce qui était sûrement une petite faute dans ton souvenir de l’ïle d’Awaji “des iris ensoleillées” tombe peut-être très bien : sont-ce des yeux ou des fleurs ? Les deux, peut-être !

    Les commencements de ta Muraille de Chine et de ta Nouvelle-Orléans sont particulièrement bien trouvés, je te félicite. Dans les deux cas, tu fais un retour sur tes premiers vers, cela fait un clin d’œil très appréciable pour le lecteur : on se retrouve facilement.Souvenir d’Hollywood : le nom du lieu écrit avec chaque première lettre des vers, c’est très bien trouvé !

    Si je devais me déplacer instantanément dans l’un de tes souvenirs, je choisirais celui du Château de Neuschwanstein. Il s’agit de mon préféré, mais je ne suis pas impartiale : c’est un lieu que j’apprécie beaucoup en photo 🙂 et tu lui as bien rendu hommage. Avec ce souvenir, tu prouves que tu maîtrises bien le langage poétique et que tu sais transmettre la douceur d’un environnement…Bien sûr, je ne doute pas un instant du fait que tu y sois allée, après une telle production ! Que dirais-tu, afin de poursuivre et d’approfondir l’écriture de ce texte, d’appuyer davantage sur son parfum “d’ailleurs mystérieux” ?

    Je t’invite à relire une dernière fois tes textes pour corriger quelques petites coquilles, notamment dans ton “Ile d’Awaji”.

    Pour rédiger ce commentaire, je me suis appuyée sur plusieurs facettes de la posture de correcteur : “gardien de code”, pour les remarques langagières ; “stimulus-réponse” pour les commentaires sur ton adaptation à la consigne ; enfin, la posture “du critique”, en analysant ton texte.

    Comme suggéré dans le doc C, annotations dans la formation, j’ai commenté en employant le pronom personnel “je”, du moins, la majeure partie du temps. Pour la durée de ma lecture, Margaux, tu m’avais capturée ! Je te remercie encore !

    (ANNOTATION DE PROF. YUNA)

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