Avant de vous aventurer dans mes souvenirs. en voici un extrait :
Souvenir d’Eilan Donan Castle
Une après-midi jaune et à la fois noire reflétera la lueur d’un ancien château abandonné
Jaune comme rires, sourires
Noire comme espion, agent secret
Deux entités d’une fraternité opposée
Jaune, toi, qui seras d’une neutralité, tu pourras te faire poursuivre par ce noir qui ne cherche que ta joie
Pour découvrir la suite plongez dans mon kaléidoscope :
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De façon générale, c’est un très beau travail. La carte est jolie, il y a des couleurs qui nous donnent envie. Les points sont aussi très ingénieux, on sait presque tout de suite où on est et de quoi on va parler. J’ai pris le temps de lire en détail chaque poème que tu as écrit et j’aime beaucoup ce que tu as proposé. On a une part assez personnelle, à moins que tu n’ais tout inventé, mais aussi une grande part de mystère. Tu gardes pour toi des détails que l’on aimerait connaitre et c’est bien.
Dans ton travail on ressent beaucoup de choses et c’est ce qui fait la différence. Tu possèdes aussi une belle écriture, facile à comprendre mais qui est amplement suffisante. Continue comme ça !
Pour ma part, j’ai bien aimé le peu de ponctuation mais est-ce fait de façon intentionnelle pour tous tes poèmes ? Et dernière petite chose, dans le poème “Souvenir d’Espagne”, le moment où tu dis “comme si nous découvrirons”, je trouve que la formulation est bizarre à moins que cette fois ci encore ce ne soit fait exprès ?
Le poème que je trouve le plus intéressant est “Souvenir du Japon”. En effet ici encore on a cette grande part de mystère car on ne sait pas de qui tu parles mais on peut le suggérer. Tu nous racontes une histoire. Une histoire assez triste mais qui existe tout de même. L’écriture est fluide, on sait où tu veux nous emmener et on y va !
Tu utilises aussi des figures de styles qui nous plongent directement dans l’ambiance. On comprend que c’est une histoire qui tourne en boucle, encore et encore, jusqu’à ce qu’un jour elle en soit libérée. C’est pour moi le poème le plus profond que tu ais écrit.
Dommage qu’il soit aussi court j’en aurais aimé un peu plus !
Pour ma part, mes annotations tournent autour de la même règle: l’encouragement. J’adopte une posture “d’éditeur”. Je lui fais part de mes analyses sur le contenu de ses poèmes ainsi que sur le langage qu’elle a utilisé. Je l’encourage beaucoup aussi car c’est une chose qui me tient à cœur. Il faut qu’elle sache qu’elle est bonne dans ce domaine, et elle l’est. S’il y avait eu des côtés négatifs, que ce soit sur la langue ou le contenu en général, je le lui aurais dit. Je lui ai d’ailleurs fait part de mes deux petits blocages pour tenter de comprendre ce qu’elle a voulu faire passer.
(ANNOTATION DE PROF. MARGAUX)
C’est un très bon travail, original, avec des endroits variés. Un style d’écriture qui change, on a l’impression que les poèmes ont été écrit par des personnes différentes.
Le fragment du kaléidoscope selon moi le plus intéressant est « Souvenir du Mexique ».
Je peux noter le travail effectué sur les rimes, cela donnent un certaine musicalité au poème. De plus je suis vraiment transporté avec l’utilisation des sens comme le visuel « maison colorées », « soleil », « casquette », on retrouve aussi l’audition, » Cris, Pleurs », « magnifique chansons ». Tu parles de choses concrète de la vie de tout les jours ce qui mets en avant tes poèmes.
Ce lexique des sensations donne un impression de vivre ce moment, de pouvoir se l’imaginer.
Annotation de l’annotation :
D’après Jean Luc Pilorgé mon annotation correspondrait à un posture de « naïf » car par moment je ne comprend pas forcément tout ce qui est dit mais c’est peut être aussi fait exprès .
Enfin comme le suggère Olivia Lewi et Blandine Longhi mon annotation a été écrite à la première personne.
(ANNOTATION DE PROF. ALEXANDRE)