Dans cette édition de Masques et Plumes présenté par Thylane, nous allons vous parler du film Into the Wild de Sean Penn. Nous retrouvons les critiques Faustine de France Inter et Naëlle du Figaro. À travers cette émission, vous découvrirez les avis de nos invités du jour ainsi que les conseils de la semaine !
Présentation du film :
Into the Wild est un film américain réalisé par Sean Penn et sorti le 9 janvier 2008.
Le personnage principal est Christopher McCandless incarné par Emile Hirsch, on y retrouve également Kristen Stewart dans le rôle de Tracy ou encore Hal Holbrook dans le rôle de Ron.
Ce film évoque l’histoire d’un jeune homme tout juste diplômé et promis à un brillant avenir. Pourtant, celui-ci plutôt que de vivre l’existence confortable et sans surprise qui l’attend, il décide de prendre la route en laissant absolument tout derrière lui. Des champs de blé du Dakota aux flots tumultueux du Colorado, en passant par les communautés hippies de Californie, il va rencontrer des personnages hauts en couleur. Ainsi, chacun à sa manière va façonner la vision de la vie et des autres.
L’ÉMISSION DE NAËLLE, THYLANE ET FAUSTINE
L’IMAGE FANTÔME
Pour créer cette image, on a utilisé l’outil d’intelligence artificielle Canva. Le prompt qui nous permis de réaliser ce projet est : “un admirateur du monde, perdu dans un océan ”
L’éclairage que nous avons voulu porter sur le film à travers cette image est qu’en réalité McCandless (le personnage principal) n’est qu’un admirateur du monde, perdu dans un océan de bêtise, en quête d’infini.
Explication : McCandless redoute de suivre le même chemin que ses parents malheureux, pris au piège dans des emplois qu’ils détestent et une relation qui s’est éteinte. Or, il n’est pas question de jouer cette comédie pour McCandless et celui-ci ne s’imagine pas emprisonner de sa propre vie. Son ambition le pousse à devenir un aventurier en quête de vérité. Cependant, ce jeune homme qui voulait être en maîtrise de sa vie et se l’est fait voler en beauté. L’expérience devient une leçon d’humilité, car bien qu’il ait cherché à dominer son destin, il découvre que la nature sauvage domine toujours. Cette réalité met en lumière une vérité fondamentale : personne n’est plus puissant que le monde, et la véritable menace réside là où on ne l’anticipait pas.
On aurait pensé que cette image aurait pu être intégrée à la scène où McCandless a failli se faire emporter par la rivière (quand celle-ci a dégelée) s’il n’avait pas réussi à se rattraper.