Le salon du capitaine Nemo

Voici le salon du capitaine Nemo décrit par un élève de cinquième. J’avais demandé de faire cette description à l’imparfait, dans un récit au passé simple.J’ai réorganisé le texte, qui était un peu compact, en paragraphes.

« On mit une serviette d’eau froide sur mon front brûlant. Je me réveillai. Je vis le visage de mon meilleur ami Guillaume, penché sur moi. Je regardai  autour de moi. Sur ma droite, je vis des murs flamboyants sur lesquels étaient accrochés de magnifiques tableaux. Sur ma gauche, il y avait une étagère en bois impressionnante, appuyée contre le mur orange. Au dessus de moi, je vis le plafond où resplendissaient de belles peintures, [peintes] avec des couleurs très vives.

Je me relevai. J’aperçu le capitaine Nemo, barbu et brun, affalé dans un canapé jaune et moelleux. Il essaya de se relever pour m’accueillir, mais il eut beaucoup de mal car il était si bien assis qu’il ne pouvait plus se relever. Il m’accueillit avec un grand sourire. Il nous demanda si moi et mes compagnons nous avions soif. Nous répondîmes « non » d’un hochement de tête.

Le capitaine nous emmena visiter son salon en détail. Il nous montra en premier l’arrière du salon. Nous aperçûmes le globe terrestre recouvert d’un vêtement sombre. Le capitaine ne devait pas apprécier la terre…Ensuite, il nous montra son plus beau tableau, [enfermé] dans un coffre-fort. La bibliothèque, située au fond de la pièce, était splendide. Sur les rayons, étaient exposés de nombreux ouvrages très célèbres, comme les Misérables.

Au milieu de la pièce, il y avait une fontaine décorée d’anges blancs et de cygnes majestueux. Puis nous retournâmes dans la pièce principale où nous attendait un succulent dîner : des foies de dauphins cuits au bain-marie, des filets de tortue de mer accompagnés de quelques crustacés…

Une fois ce merveilleux repas englouti mes fidèles compagnons, Guillaume et Rémi, partirent se coucher après cette longue et éprouvante journée. Moi, je restai encore un peu pour discuter avec le capitaine Nemo. Je le trouvais très curieux et très étrange. 

A 23 h 30, mort de fatigue, je partis me coucher. Arrivé à mon lit, je tombai sur mon matelas et je m’endormis facilement.

(Benjamin F.)

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