L’écriture du mémoire

Hommage à Marcel Duchamp, Toulouse, © NJ 2018

Wouah !  A lui seul ce thème vaudrait un livre, et même plusieurs, puisque certains auteurs, sociologues, ethnologues ou autres se sont spécialisés dans l’écriture d’ouvrages spécialisés dans l’écriture de mémoire.

=> Howard Becker (2004). Ecrire les sciences sociales, préface de Jean-Claude Passeron, Paris : Economica, 180 p.

N’entrons pas dans les détails. Savoir rédiger, ça se travaille au quotidien, sur toute la vie. Il n’y a pas de fatalité. S’améliorer fait partie d’une culture de la progression. N’est-on pas sur terre pour progresser, pour aller de l’avant, pour ajouter sa pierre à l’édifice de la connaissance de l’Homme ? Waouh (2) !

Alors il faut savoir rester humble et avancer à son rythme. En l’occurrence, il vaut mieux écrire de petites phrases que de grandes (en longueur). Il vaut mieux rédiger simplement plutôt que d’essayer des phrases alambiquées. Il faut utiliser les auteurs lorsque l’on a quelques chose à dire de fort. Il ne faut pas oublier de citer les auteurs, au lieu de les plagier. Il faut être honnête avec soi-même, et ne pas chercher à impressionner à tout prix.

Je propose un texte autour du travail d’écriture et de l’expérience du métier, rédigé par Yves Winkin et intitulé « Brûlures fertiles : traces mnésiques et travail ethnographique« . Le sociologue Yves Winkin, disciple de Bourdieu, de Ray Birdwhistell et de Erving Goffman, revient ici sur son passé et son expérience, sur son mode d’écriture et sur quelques conseils éthiques en la matière.

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