La passion du Quad

I. De la première apparition des Quads (1950) à nos jours.

Les Quads en 1950 avaient d’abord six roues  et c’est Honda qui créa le premier quad.

En 1970, Honda va encore plus loin et va sortie de ses usines le premier Quad à 3 roues !
En 1983, c’est  Suzuki qui reprend l’avantage en sortant le premier Quad à 4 roues. On le surnomme alors le QuadRunner LT 125.

Le Quad  actuel  était né !

II. Ma première sortie en Quad

J’ai commencé à pratiquer le Quad à 8 ans. Il était jaune et j’étais fier de conduire cet engin un peu bryant prés de mon père. Depuis j’en ai eu un autre, un bleu et c’est un 250 centimètre cube. C’est un polaris phénic avec un parbuffe + un pot d’echappement. Il a une bonne suspension.

Je sors maintenant avec mon père en Quad et des amis.

Ce n’est pas toujours facile à conduire, il faut bien garder l’équilibre dans les charnières et les fosses d’eau car l’engin se retourne facilement… Donc, il faut TOUJOURS porter un casque, des gants et des vêtements qui ne craignent pas l’eau et la boue. Certains chemins sont interdits afin de protéger la nature.
Les réserves naturelles sont interdites mais les chemins communaux et ruraux sont autorisés.

Alors, n’oubliez pas votre casque et… à vous les sensations fortes !

Kevin MALLET (4eme E)

New York – the big apple

CARNET DE VOYAGE
New York – the big apple

Virtuellement, chacun peut croire, l’espace d’une escape sur le Web, qu’il a pu visiter ce pays, cette ville dont il a toujours rêver. Au retour, il en reste un joli carnet de voyage… les tampons de la douane en moins !

Un voyage à New-York, le rêve ! Tellement d’endroits et de lieux à visiter… Impossible de tout voir en 7 jours. Il a fallu faire des choix. Nous en avons fait quelques uns de bons !

Jour 1 :

Aprés 8 heures de vol, nous voici enfin arrivées à l’aéroport J.F Kennedy ! Vite, nous prenons l’un de ces fameux taxis jaunes pour rejoindre le nord de New-York où se situe notre hôtel. Nous passons sur le fameux Manhattan Bridge : premières photos… Cette ville est surprenante car elle donne une impression de déjà vu. De connaître ou de reconnaître tel immeuble, telle rue, tel paysage ! Nous sommes naturellement très imprégnées des images de cinéma et de télévision…

La soirée se termine en douceur au restaurant de l’hôtel.

Jour 2 :

Dés l’aube nous prenons le bateau pour découvrir Ellis Island. Cette île de la baie de New York fut, entre 1892 et 1924, le point d’entrée d’environ douze  millions d’immigrants. Nous terminons notre visite par la célèbre Statue de la Liberté qui fut inaugurée par le président Cleveland le 28 octobre 1886. Celle-ci domine le port sur l’île de Beddœs, aujourd’hui Liberty Island. La fin de l’après midi se déroule dans un des restaurants de l’île.

Jour 3 :

Nous passons la matinée à Wall Street qui est la première place boursière du monde. Ce temple de la finance fut construit en 1903 sur les plans de George Post. C’est un bâtiment de style néo-grec 8n marbre blanc de Georgie, doté de 6 gigantesques colonnes corinthiennes et portant en fronton un haut-relief symbolisant le commerce et les finances. Un bâtiment de 23 étages lui fut annexé entre 1920 et 1923. Notre après midi est libre, pour faire les boutiques… Tout cela coute cher !

Jour 4 :

Le matin, nous prenons le métro new-yorkais pour visitons le quartier des galeries d’art, des boutiques de fringues branchées, des cafés et des restaurants en vogue. Nous poursuivons la journée à little Italy : visite de la cathédrale Saint Patrick et nous mangeons dans le restaurant « Da Nico ».

Jour 5 :

Notre hôtel se situe face au Washington Square Park, jardin à la française, avec arc de triomphe. Washington Square fut dès le début du 19e siècle habité par l’aristocratie. La famille Delano, les écrivains Henry James, Edith Wharton résidaient en bordure de Washington Square. Puis, départ en bus pour rejoindre la 5ème avenue et notre nouvel hôtel.

Jour 6 :

Cette journée est consacrée à la 5ème avenue et à l’Empire State Building. Dans les années 1860, l’homme d’affaires William Astor fit construire sur ce site une maison particulière. En 1893, cette maison céda la place au premier hôtel « Waldorf Astoria ». Et c’est sur ce même emplacement, en bordure de la 5ème avenue que l’on érigea l’Empire State Building à partir de 1929, au plus fort de l’expansion immobilière des années 1920. Nous passons la matinée à visiter ce building, puis après midi shopping dans les boutiques chics de la 5ème avenue. Nous dînons dans un fastfood du coin de la rue. Il fallait bien en faire au moins un !

Jour 7 :

Nous passons cette dernière matinée au Museum of Modern Art. Ce Musée d’art Moderne fut fondé en 1929 par un groupe de riches passionnés. L’actuel bâtiment ne fut terminé qu’en 1939 et réaménagé en 1963-1964 par l’architecte Philip Johnson. L’après-midi se déroule dans Central Park, au cœur de la ville, un parc immense dans la tradition des jardins anglais. Une des merveilles urbaines du monde, conçu à partir de 1857 par le paysagiste Frederik Law Olmsted. C’est le poumon vert de la métropole, le lieu de promenade du dimanche, l’espace nature où se côtoient chaque année 25 millions de visiteurs au milieu d’une forêt de 26 mille arbres.

Puis nous quittons à regret New -York… IL nous a fallu reprendre l’avion en direction de l’aéroport Charles de Gaulle, Paris !

Si nous pouvons vous donner un seul conseil : laissez-vous mener et New York vous donnera une partie de l’énergie qui se dégage d’elle.  Puis vous n’aurez qu’une envie, c’est d’y retourner. Vite, très vite…

Marie PENNEQUIN, Noémie MPUTU & Delphine DALLAINE (3e B)

Fin de crise au Japon ?

En août dernier, le gouvernement japonais annonçait la fin de la plus longue récession que l’archipel ait connue depuis la dernière guerre, en 1945. Au regard des chiffres, effectivement, la crise était passée : le produit intérieur brut (PIB) avait en effet progressé de 0,9 % au cours du deuxième trimestre par rapport à la période précédente (soit une amélioration de 3,7 % au rythme annuel). Donc tout va bien. La deuxième puissance va mieux, son traitement a été efficace. Passons à autre chose… De qui se moque-t-on ?

Je deviens de plus en plus critique, pour ne pas dire méfiant, face aux statistiques et projections de tout ordre. Comment peut-on se projeter de manière aussi absolue dans l’avenir ? L’un de ces projections, l’un de ces brillants analystes a-t-il prévu la chute abyssale des courts de la bourse en septembre 2008 ?  Si peu… Et qui les a écoutés ? Tous les jours, nous sommes inondés de données de ce type, et les conclusions sont souvent pour le moins hâtive. Sans vouloir être un pessimiste invétéré, j’aimerai que chacun garde son sang froid et soit un peu plus prudent dans ses analyses.

Le grand quotidien japonais Asahi Shimbun estime ainsi que cette progression, la première depuis début 2008, s’expliquerait  essentiellement par un redressement des exportations (une hausse de 6,3 % par rapport au trimestre précédent) et un redémarrage de la consommation des ménages soutenue par les plans de relance gouvernementaux (une augmentation de 0,8 % sur un trimestre). Oui, c’est un redémarrage mais rien ne dit que le carburant suffira pour suivre la course. Nous ne sommes pas encore sortis de la crise…

Bruno SENTIER

Réf. article de Courrier International du 17.08.2009

La crise du lait : la colère des agriculteurs

L’envolée du prix du lait explose à la figure des agriculteurs. En début d’année, après une période faste où les prix du lait étaient montés jusqu’à 400 euros la tonne, aujourd’hui, les prix ont bien du mal à franchir les 200 euros la tonne. Les agriculteurs ont de plus en plus de difficultés pour régler leurs factures, ils ont également des emprunts à rembourser, d’où une inquiétude grandissante  face à l’avenir.

Vivre du lait devient de jour en jour plus difficile. Du côté du gouvernement, aucune mesure concrète n’est annoncée pour relancer le prix du lait, les agriculteurs ont la certitude de ne pas être entendus, l’inquiétude face à leur exploitation agricole mise en péril fait place à la colère. Celle-ci s’exprime, dans un premier temps par le déversement du lait dans les champs et d’autre part, par la distribution gratuite du lait auprès des habitants. Cette colère se traduit également par des manifestations dans les grandes villes.

Il faut savoir qu’en France, le lait représente 60 000 emplois. Ce sont des milliers de français qui risquent de se retrouver au chômage. Face à cela, personne se dit responsable, ni les ministres, ni les services du Ministère, ni les industriels…

Les responsables politiques ont renoncé à jouer leur rôle de régulation au nom d’une législation européenne de la concurrence qui s’impose à tous. De leur côté, les consommateurs continuent de payer le lait de plus en plus cher, le panier de la ménagère ne cesse d’augmenter sans que les agriculteurs perçoivent la moindre augmentation.

Seule une nouvelle régulation européenne des marchés du lait reste désormais la seule issue pour sortir de la crise du lait…

Loïc DELWAULLE, Charlie DELEPINE & Valentin SLADEK (3ème B)

Les projets fous de Dubaï

Faire du ski à Dubai c’est possible
Îles artificielles, gratte-ciel d’1 kilomètre de haut, villes nouvelles dans le désert… Dubaï n’en finit pas de surprendre. Ici, le projet d’Anara Tower, une tour résidentielle de 600 m, comprendra des jardins suspendus tous les 27 niveaux et une piscine de 30 m. Sa gigantesque turbine, statique, abritera un restaurant de luxe dans une bulle de verre.

Dubailand Ski Dome est une station de ski, ayant vu le jour en novembre 2005, au cœur du Mall of the Emirates, le plus grand centre commercial de Dubaï. Il a coûté environ 250 millions de dollars de sa conception à sa réalisation. Il a été voulu par Majid Al Futtaim, un des plus gros entrepreneurs de Dubaï et leader de la grande distribution au Moyen-Orient. Le but a été de construire et aménager une piste de ski indoor, un snowpark et une piste de bobsleigh dans un dôme dont la température ne dépasse pas les -2 degrés.

D’une taille de 80 m de hauteur, de 80 m de largeur et de 400 m de longueur, il a fallu un mois pour faire descendre la température de 40 °C en moyenne à la température actuelle malgré les murs d’une épaisseur d’un mètre. Plusieurs sports d’hiver sont praticables dans ce complexe : le ski bien sûr mais aussi le snowboard, la luge et même le bobsleigh.

C’est une véritable entreprise qui gère cette station qui possède entre autres une école de ski, des loueurs de matériels, et des billetteries permettant d’utiliser des remontés mécaniques. L’opérateur de la station, transmontagne originaire de Lyon, a participé à la création du projet et continue de gérer ce dernier. Les 200 employés faisant tourner la station sont salariés de la société Majid Al Futtaim.

Ce complexe hivernal accueille en moyenne entre 2 000 et 4 000 personnes par jour. Des formules de séjours existent aussi comme dans les stations de ski, c’est-à-dire semaine entière avec hébergement et accès aux pistes.

Un gratte-ciel pivotant a 360°
La « Tour dynamique » de Dubaï comprendra 80 étages réalisés en modules préfabriqués pivotant autour d’un axe vertical. Le gratte-ciel, de 420 mètres de haut, abritera des appartements luxueux de 125 à 1200 mètres carré, vendus 30’000 dollars le mètre carré, soit entre 3,7 à 36 millions de dollars (à peu près la même somme en francs suisses).

Sur un simple ordre vocal de son occupant, chaque appartement pivotera sur son axe et fera un tour complet en une à trois heures. Ce sera un « immeuble intelligent » et « vert », avec les équipements domotiques les plus récents et générant sa propre électricité grâce à 79 éoliennes horizontales installées entre chaque étage.

Sarah QUINTARD (4eme C)

Bonus : dossier complet et photos sur le site de l’Internaute

Les élections en Allemagne

Tout d’abord, rappelons que l’Allemagne est un état démocratique et fédéral, composé de 16 länder, qui sont autant de véritables régions autonomes…

I. Le système électoral Allemand

Le système électoral allemand est un système mixte à finalité proportionnelle. Il prévoit l’élection d’une première moitié d’élus au scrutin uninominal majoritaire à un tour, puis l’élection d’une seconde moitié au scrutin proportionnel plurinominal. L’élection de la seconde moitié dépend des résultats découlant de l’élection de la première : la part proportionnelle est répartie de manière à corriger la mauvaise transcription des voix en sièges de la part majoritaire.

Une fois cette opération réalisée la composition de l’assemblée correspond, à quelques détails près, au vote populaire. Il s’agit donc d’un système de représentation proportionnelle, et non d’un mode de scrutin mixte à proprement parler. Ces particularités ont contribué à la formation d’un système de partis original dans lequel coexistent deux partis dominants et plusieurs partis moyens.

II. Les élections Allemandes en 2009

Les conservateurs du parti de la chancelière sortante Angela MERKEL, les chrétiens-démocrates (CDU et CSU), alliés aux libéraux du FDP ont remporté une majorité confortable aux élections législatives du 27 septembre 2009, avec 332 députés sur les 622 que compte le Bundestag.

Cette victoire permet à Angela Merkel d’être reconduite à la tête du pays pour un nouveau mandat de quatre ans. Les négociations pour la formation du gouvernement de coalition devraient durer plusieurs semaines. Avec 23 % des voix, les sociaux-démocrates (SPD) – auxquels la CDU était alliée pour gouverner dans la précédente législature – sont en déroute. Le parti de gauche Die Linke a obtenu 11,9 % des suffrages, et les Verts 10,7 %.

Le nouveau gouvernement devra en priorité s’attaquer au chômage et à la révision du système de santé. Il devra en outre gérer l’engagement militaire en Afghanistan, particulièrement impopulaire chez les Allemands.

Rémy LEBREUX (4eme C)

Bonus : un bon dossier du site France 24 sur les élections législatives fédérales allemandes de 2009.

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