réponse à l’article de Nick Hallo

Lorsque je pense à l’altérité, je vois d’abord un test de Rorschach: tout le monde y voit quelque chose de différent. Je pense aussi à comment je me sentirais si je montais jusqu’au sommet de Mach Picchu: de là-haut, je me sentirais tellement retirée de la société et donc dénuée de toute identité construite par ma culture, mon éducation.  Je me demande souvent comment mes très jeunes élèves (j’enseigne en maternelle) dont l’identité est à peine entrée dans la phase de construction, voient les autres.  Alors que je peine souvent à trouver les meilleurs mots pour leur enseigner la diversité, l’autre obligation pour moi dans cet enseignement, qui est de faire exprimer les élèves, est plus facile pour moi.  Je suis facilement inspirée pour les inciter à partager leurs perspectives sur ce que nous sommes en train d’étudier.  Ce qu’ils partagent stimule et enrichit la discussion.  Ainsi, les élèves trouvent leur voix, ils commencent à apercevoir leur propre personnalité et rôle au sein de la classe.

Une réflexion sur « réponse à l’article de Nick Hallo »

  1. Bonjour, je partage votre avis et particulièrement sur que vous dîtes à propos du test de Rorschach. Nous avons tous une vision du monde différente et c’est ce qui fait la richesse de nos relations sociales. Je suis d’avis que c’est grâce à cette diversité de personnalités que l’on peut apprendre de l’autre et enrichir notre propre monde.

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