Olympes de Gouges

Adieu mon fils, demain ma tête sera coupée… Ils croient couper la mauvaise herbe et me faire taire mais c’est trop tard. La force de ma pensée, c’est qu’elle s’est enracinée dans le terreau de siècles d’injustice, nul ne peut désormais l’arracher de cette terre. Quelque chose est en marche que nul ne peut arrêter. La nature donne aux femmes le privilège de « pouvoir » mettre au monde des hommes, c’est ce « pouvoir » qu’ils pensent contrôler, et leur terreur qu’il leur faut maîtriser. Adieu mon fils… Demain je vais mourir.

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