Catégorie : Concours Adolire

Grande-Bretagne, 1927. Noémie et Émilien ne sont pas des enfants comme les autres : cousins issus d’une riche famille, ils ont passé leur enfance dans un pensionnat sans presque jamais voir leurs parents ! Enfants géniaux, ils se sont finalement habitués à cette vie indépendante, loin du fracas de la guerre, et se sont créé leur monde à eux.

Lorsque les parents baroudeurs de Noémie sont de retour et envoient leurs domestiques les chercher pour qu’on les ramène vivre dans l’immense manoir familial, leur sentiment est partagé…

Mais le lieu est magique, avec ses pièces remplies des inventions du père d’Émilien et ses mille endroits à explorer. Ils décident donc de tester cette nouvelle vie, d’autant qu’un mystère reste à élucider : où est donc passé Alexander, le père d’Émilien ? Sa disparition soudaine pourrait-elle avoir un lien avec la machine qu’il était en train de créer pour le concours Jules Verne ?

Bienvenue dans ce monde chronique où une étrange troisième force, constituée d’incroyables robots, vient bouleverser les rapports de force entre l’Axe et les Alliés… Un monde où deux enfants brillants et intrépides vont vivre une aventure hors du commun, une aventure extraordinaire !

Avis (Armeya)  :

Cette BD est pas mal du tout. Sur une échelle de 20, je la placerais à 16 ou plus. Ce qui a attiré l’œil en premier, c’est la couverture ! Car on note qu’il y a une ressemblance avec celles des livres de Jules Verne (grand écrivain ô combien vénéré pour ses œuvres fabuleuses !). Puis, elle fait assez « ancienne », vieux livre, peut-être même conte de fée. Ensuite, le dessin : il faut dire que le « coup de crayon » est assez fluide et qu’il y a de jolie couleurs, c’est vraiment bien fait.
Mais,  bref, passons aux choses sérieuses ! L’histoire débute bien : deux enfants dans une cabane qui parlent de leurs vies, en quoi c’est bien ? Aha ! Je pense que c’est mieux que deux hommes d’affaires en costumes-cravates dans un bureau,  en train de parler des financements de leurs chantier et bâtiments, enfin … pour certains ! C’est aussi en partie « adorable », je parle de la cabane surtout, car qui n’a jamais rêver étant petit d’avoir une cabane aussi gigantesque et sophistiquée ? Personne ! Au fur et à mesure de l’histoire, des personnages apparaissent vêtus avec un style assez Steam-punk, vraiment magnifique en passant. Il y a quelques liens de parenté, des mystères à élucider et des inventions de génie ! Bref, cette BD est, ma foi, sympathique, et le dialogue est bien construit.
Bon, au bout d’un moment, je me suis un peu ennuyée lors de ma lecture. Mais ça ne m’empêchera pas de lire la seconde partie, et, pourquoi pas, refaire une critique sur celle-ci, qui sait ?
Enfin bref, Bonne journée, bonne soirée ou bonne nuit pour les couche-tard ! 😉
A  bientôt pour un prochain texte ou bien une critique de roman cette fois-ci! Bye!

Armeya.