Publié dans Année 2012-2013, écrits des 5èmes A, Espace 5ème

Les mots ….de Sofiene

Le mot que je préfère c’est « bonbon », car j’adore le son et le mot en lui même. Le mot « bonbon » me fait penser au sucre , à quelque chose de rond, qui fond et de toujours bon.
Le son de ce mot est doux comme du coton.
Ce mot me donne l’eau à la bouche.

Il y a aussi un mot que je déteste:  » TERREUR ». Ce mot me fait penser à la peur, à la frayeur. Je trouve que ce mot n’est pas un beau mot de la langue française.
Le son de ce mot n’est pas agréable non plus « (r) » il est rèche. On n’aime ni l’entendre, ni le toucher,comme une planche de bois non poncée.
Ce mot me donne la chair de poule.

Enfin, le mot qui me fait rêver est « voyage » car un jour j’aimerais voyager, faire le tour du monde, explorer d’autres horizons, apprendre des nouveautés, découvrir d’autres paysages.
Quand je pense à ce mot,  j’ai la tête dans les nuages.

Sofiène- 5ème A
Publié dans Année 2012-2013, écrits des 5èmes A, Espace 5ème

Les Mots d’Alice

Le mot qui me fait rêver est « légende » : il me fait penser au Moyen-âge, il me fait voyager dans le temps. Quand j’entends « vanille » je pétille, la sensation de la saveur me donne envie de partir loin dans le ciel. Enfin « paysage » je le compare à une belle montagne un soir d’hiver dans le froid, je voyage à chaque moment que j’entends ces mots.

 

Un mot que je ne supporte pas d’entendre d’une bouche d’enfants : « irritation » ! Il me fait crisser de souffrance. Le « r » qui est si puissant par rapport aux autres lettres. C’est, comme si on leur arrachait leurs droits de lettres. « Fixer », « fixation », ils me font penser aux lions qui guettent leur proie. Le malheur de la proie me désole. Je ferme les yeux, je respire et je me taie silencieusement au lieu de souffrir en m’exprimant.

 

Le mot « mousse » me fait du bien et enlève la peur, l’angoisse de la tête. Je me détends. Je me laisse aller sur un nuage de mousse qui flotte dans l’air ou sur l’eau d’un lac, une nuit de pleine lune. Je parts pour le paradis…

 

Alice 5ème A

Publié dans Année 2012-2013, écrits des 5èmes A, Espace 5ème

Les mots d’Aloys

Tous les mots que j’utilise me font penser à un champ de fleurs colorées de partout. Il y a un mot en particulier qui est grandiose, magique qui m’envoie sur une planète inconnue encore inexploitée. Ce mot est, sans aucun doute, « jacuzzi ». Il signifie pour moi la relaxation, la détente, le bonheur, tout ce qu’il y a de plus joyeux dans la galaxie.

Bien sûr il y a une énorme quantité d’autres mots qui me caractérisent comme une personne calme, joyeuse, sympathique, rêveuse, grâce à leurs sonorités. Il y a en particulier deux mots: « paulownia » et « pechblende ». Il y en a une cinquantaine d’autres.

D’autres me font souffrir, et quand je les entends ça me fait comme une craie qui grince contre un tableau noir. Pendant ce temps, mon coeur se resserre jusqu’à que je pense à quelque chose de joyeux. Heureusement il n’y en a pas beaucoup mais ils sont insupportables, je vous en cite quelques-uns: crispé, frotter, croquer… haaaaaa je n’en peux plus, ils me font trop mal !!! Voilà, je crois que j’ai fait le tour des mots qui évoquent des sentiments pour moi.

 

Aloys- 5ème A

Publié dans Année 2012-2013, écrits des 5èmes A

Les mots de Merwan

Le mot que j’aime est le mot « éphélide « . Je l’aime parce qu’il est doux, agréable. Il me fait penser à des flocons qui se déposent délicatement sur la neige déjà posée sur la cime des arbres.
 
    Par ailleurs, le mot que je déteste, c’est le mot   » rèche  » . Ca me fait penser à quelque chose qui nous fait ressentir de la douleur. Comme si on m’arrachait les ongles un part un. Et, à chaque fois, que je le prononce, on dirait que je me tranche la langue.
 
     Mais, le mot qui me fait rêver c est le mot  » ciel  » c’est comme si j’étais sur un nuage quand je le prononce. Comme , une mélodie douce et reposante, qui me fait songer à l’avenir.
   
                 Merwan–  5ème A

Publié dans Année 2012-2013, écrits des 5èmes A

« Liberté, étoiles », les mots d’Antoine…

Les mots

Mon mot préféré ? « Liberté ». J’aime cette sensation… Ah, la liberté. Quand on le prononce, ça fait comme si d’un seul coup, tout se débloquait. Comme si on nous libérait de chaînes invisibles et que l’on s’envolait jusqu’au ciel. La liberté, c’est vraiment le mot le plus savoureux qui soit.

 

La liberté est aussi en lien avec un mot qui me fait du bien. Le mot « Dehors ». En effet, j’adore passer mes après-midis à l’extérieur, regarder les montagnes, me reposer au soleil. En tout cas, je préfère ça à passer mes journées enfermé, en respirant de l’air souillé, pollué, vicié.

 

Mais quand je reste à l’intérieur, je rêve. Je rêve la tête dans les étoiles. « Etoile » c’est justement grâce à ce mot que je m’évade, que mon esprit galope au vent. Les étoiles, c’est comme de la lumière dans la nuit. C’est un refuge pour tous les humiliés, les opprimés du monde. C’est vraiment un mot pour rêver.

Antoine 5°A

Pour toi Antoine, cette vidéo qui associe l’art et l’informatique. Un tableau de Van Gogh, « La nuit étoilée », s’anime…

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=cveQBIl8D64[/youtube]

Publié dans Année 2011-2012, Ecrits 5ème A

La fin de Molière

 «Les trois coups retentissent, le rideau se lève et la pièce commence. Dans les coulisses, les personnages de la scène n°2 se préparent. Les maquilleuses, les costumières et les accessoiristes se pressent pour les aider à se préparer. Pendant ce temps, les premiers comédiens entament l’exposition. Molière en fait d’ailleurs partie. Tout va bien quand, tout à coup, en plein milieu de l’intrigue, au cœur d’une longue tirade, Molière s’effondre. Tous les spectateurs, du poulailler jusqu’à la baignoire, tout le monde retient son souffle. L‘éclairage diminue peu à peu ; sur scène ça court dans tous les sens. Une femme s’est même évanouie dans un balcon tandis que le metteur en scène essaie de ranimer Molière. Les habilleuses pleurent de peur que ce soit la fin du théâtre. L’estrade est noire de monde lorsque le rideau se baisse : c’est la fin ! »

Alix B. 5ème A

Publié dans Année 2011-2012, Ecrits 5ème A

LE FANTÔME DU THEATRE

Théâtre de Chambéry, minuit, le silence règne sur la scène et le parterre est vide. Cependant nous ne sommes pas seuls : Eh oui ! Caché dans les coulisses, un être que nous ne pouvons apercevoir effraie le public, et a laissé ce théâtre désert pour toujours. Vous l’avez compris, un fantôme hante les balcons. Qui que vous soyez,où que vous soyez il ne manquera pas une occasion de vous surprendre, du poulailler aux baignoires ; tout le monde succombe à son horrible cri terrifiant !

Tiens ! Justement le voilà. Il sort des rideaux, se glisse entre les décors tout en pleurant .

Quelle comédie ! Il se tient maintenant debout sous les éclairages, immobile. Oh ! Les cintres se mettent à bouger… Le décor change et un paysage sinistre, tel un manoir abandonné, apparaît sur l’estrade. Il fait maintenant deux pas sur l’avant scène. Il déclame une vraie tirade. Il recite son texte à la perfection. Et là ! Pouf ! Disparu ! Le voilà reparti .

 

Thomas P. 5ème A

Publié dans Année 2011-2012, Ecrits 5C, Espace 5ème

 

Baptiste…

 

Du haut de ses 1,50 mètres, il voit le monde en rose ! Fort sympathique, il aime jouer et rigoler tout comme il déteste travailler. Si vous voulez en savoir plus sur cet être intéressant, lisez l’histoire de Baptiste…

 

Ce jeune adolescent a des yeux marrons qui reflètent son esprit de vengeance. Montez un peu plus haut et vous verrez des cheveux très souvent courts qui n’aiment pas le gel. De loin vous aurez peut-être peur mais regardez-le de près : vous reconnaîtrez sa douceur ! Vous lui direz « balle ou ballon »,  il vous répondra « tennis » ou « rugby », vous lui direz « jeux », il vous dira playstation. Ensuite descendez plus bas vous verrez ses bras et ses jambes tels des élastiques qui lui permettent de marquer des essais ou bien de vous frapper.

Sachez que si vous le rencontrez et que vous lui donnez votre amitié, jamais vous ne le regretterez, malgrè quelques accrochages ; à côté de lui vous rigolerez. Ce jeune homme c’est mon copain Baptiste…

 

Bilel, 5ème C

Publié dans Année 2011-2012, Ecrits 5ème A

Autour des 10 mots de langue française: Dis moi 10 mots !

 

 

 

 

 

Les dix mots imposés sont surlignés.

Voici un poème collectif, sur l’air des trois p’tits chats, célèbre ritournelle…

Vidéo du mot âme

Dix p’tits mots

Dix pt’its mots, Dix pt’its mots, Dix pt’its mots, mots, mots
Mots d’amour, mots d’amour, mots d’amour, mour, mour,
mourir jeune, mourir jeune, mourir jeune, jeune, jeune,
je n’peux pas, je n’peux pas, je n’peux pas, pas, pas
patinoire, patinoire, patinoire, noire, noire
noir mensonge, noir mensonge, noir mensonge, songe, songe
songe amer, songe amer, songe amer, mer, mer
mer de glace, mer de glace, mer de glace, glace, glace
glace fondue, glace fondue, glace fondue, due, due
dur métier, dur métier, dur métier, tier, tier
tiers états, tiers états, tiers états, ta, ta, ta
états d’âme, états d’âme, états d’âme, d’âme, d’âme, d’âme
dame nature, dame nature, dame nature, ture, ture
naturelle, naturelle, naturelle, relle, relle
elle confie, elle confie, elle confie, fie, fie
confiture, confiture, confiture, ture, ture,
tu repars, tu repars, tu  repars, pars, pars
pars chez toi, pars chez toi, pars chez toi, toi
toit penchant, toit penchant, toi penchant, chant, chant,
champs d’maïs, champs d’maïs, champs d’maïs, is, is
Histoire d’O, histoire d’O, histoire d’O, do, do
Autrement, autrement, autrement, ment, ment
menthe à l’eau, menthe à l’eau, menthe à l’eau, l’eau, l’eau
l’eau de vie, l’eau de vie, l’eau de vie, vie, vie
vie d’Incas, vie d’incas, vie d’incas, cas, cas (hum…)
caractère, caractère, caractère, tère, tère
terre en transe, terre en transe, terre en trans, trans, trans
transport ‘moi, transport’moi, transport’moi, moi, moi
moi je dis, moi je dis, moi je dis, dis, dis
dix p’its mots, dix p’tis mots, dix pt’its mots, mots, mots !

La classe de 5ème A

 

Publié dans Année 2011-2012, Ecrits 5ème A

La magie crée l’amour

En novembre 1450, le roi Léonois décida d’organiser un grand tournoi pour marier sa fille Béatrix. Il invita sa cour toute entière. Cela se passa dans la ville de son fils, Charlie le Magnifique, en France. Quant à Béatrix, elle décida elle-même de trouver des preux combattants. La dame choisit Egerton, le fils du roi Arnourak de Norvège et Kaerdin, de Turquie.

La loge du roi était occupée de belles dames, de Béatrix et de ses cousines coiffées toutes d’un hennin rouge. Une servante soutenait un plateau sur lequel se trouvaient des hanaps. Le frère de Léonois, Chrétiens de Troyes, et enfin des danseurs chaussés tous de poulaines et jouant de la viole se trouvaient là aussi.

Cette immense loge était décorée d’un très bel oriflamme rouge et or. Il y avait des savants, des prêtres et des pratiquants chrétiens qui étaient venus du Portugal en nef. La place coûtait environ cinq deniers.

Les rambardes du cercle de combat étaient décorées de mosaïques représentant les exploits de Charlie au cours de ses aventures.

On fit entrer les jouteurs agrippés à leurs destrier, tenant dans leurs mains de grandes lances. Celui de gauche était Egerton. Il était vêtu en vert et en violet et celui de droite était son adversaire Kaerdin, portant des couleurs orange et marron-beige.

La conque retentit ; le départ était annoncé. Les étalons galopèrent l’un vers l’autre. Les joutes se touchèrent bout à bout. Une fois les destriers nez à nez, les lances bicolores renversèrent en même temps les guerriers. Ils atterrirent sur le sol ensablé. Ils rajustèrent leurs hauberts, leurs heaumes et leurs baudriers avec soin en compagnie de leurs écuyers. Pendant ce temps, la princesse demanda à sa plus fidèle compagne :

« Pourriez-vous donner à Egerton ce haubert car il est plus lourd.

– Oui ma dame, je le ferai.

– D’accord, mais faites vite !

Comme promis, la courtisane accourut et donna l’armure à Egerton. Tant bien que mal, ce dernier essaya de s’adouber du mieux qu’il put. Kaerdin ramassa son écu et sortit sa hache tranchante. Egerton dégaina sa fine épée qu’il nommait ‘’ Turbulence ‘’. Le sénéchal, qui arbitrait, fit retentir une nouvelle fois la conque. Le heaume de chaque chevalier était dégoulinant d’un mélange de sang et de sueur.

Les combattants, lentement, s’approchèrent et soudain, les lames s’entrechoquèrent ; une d’elles baissa la hanche de Kaerdin. Ce dernier sentait son côté lui piqueter  d’une douleur précaire. Soudain, les maillons de la côte de mailles d’Egerton commencèrent à s’illuminer. Ces illuminations se mélangèrent avec des grains de sable ; comme s’il y avait une absorbation du sol jusqu’au ventre du guerrier norvégien. Ce dernier tomba à terre et là, ce fut le chaos total ; le sable s’éleva et devint une tempête. Quelques belles dames se réfugièrent derrière leur dossier de fauteuil. La tempête de rabattit sur Kaerdin et il fut emporté loin dans les airs.

« Egerton est le grand vainqueur du tournoi officiel de la région, qu’on le marie à ma sœur Béatrix ! s’exclama Charlie.

Béatrix descendit des tribunes et alla embrasser le vainqueur. Ce dernier enleva toutes ses armures jusqu’à de se retrouver en caleçon gris. La princesse fit de même avec sa robe. Il s’enroulèrent dans le sable ensanglanté pour s’embrasser. Tous les applaudissements du monde éclatèrent.  

 

Tanguy 5A

Publié dans Année 2011-2012, Ecrits 5C

L’heureux élu…

Nous sommes en l’an 1112, le soleil vient de se lever. C’est le grand jour ! Deux beaux et preux chevaliers ont décidé de s’affronter en duel et en public pour l’amour de la belle et charmante Dame Béatrice. En effet ne sachant qui choisir, Béatrice a décidé d’offrir son cœur au vainqueur du combat…

Tout est très calme, le public est déjà en place et parle à voix basse. Béatrice, anxieuse, se tient à l’écart. Soudain, le public frémit : on entend les sabots des destriers. Ils arrivent ! Vêtus de leur armure, de leur heaume, de leur haubert et protégés par leur écu, les deux rivaux sont prêts. Ils se mettent à jouter l’un contre l’autre avec une fougue incroyable ! Godeffroy maîtrise d’avantage la technique, mais Jaquard a plus de force ! Les lances se heurtent violemment ! Le palefroi de Godeffroy est plus rapide qu’un cerf ! Jaquard s’élance aussi vite qu’il le peut contre son adversaire, mais manque son coup ; il revient à l’attaque. Godeffroy, déconcentré par un bref coup d’œil à Dame Béatrice, tombe de cheval ! Mais l’amour qu’il a pour elle lui donne le courage de se remettre en selle.
Ayant un avantage, Jaquard en profite pour repartir à l’attaque. Godeffroy, plus rusé qu’un renard, pare le coup !
Le public retient son souffle. Dame Béatrice, elle, ferme les yeux. Godeffroy prend son élan et fait tomber Jaquard à son tour. Godeffroy immobilise son cheval, pointe sa lance sur son rival à terre, réfléchit et dit :

« Je vais t’épargner pour la vaillance dont tu as fait preuve ! J’épouse la belle et je te laisse la vie ! Adieu ! »

Béatrice se jette dans les bras du vainqueur et le félicite pour son courage, sa loyauté et sa générosité envers son adversaire !!

Ils décident d’être « heureux » et d’avoir beaucoup d’enfants !!

Lola P. 5ème C

Publié dans Année 2011-2012, Ecrits 5ème A

Les joutes imparables


Dans la cour d’un château majestueux, le roi organise un tournoi de joutes. Le vainqueur sera le descendant du roi à sa mort. Au bout d’une heure de compétition, deux combattants arrivent en final. Il s’agit de Alexandre et de son ennemi juré Tristan.

 

            Chacun prend son cheval aussi robuste l’un que l’autre. Ils se munissent de leur haubert et mettent enfin leur heaume. Les deux jouteurs sont en place.D’un côté Alexandre encore plus rusé que n’importe quel savant, de l’autre Tristan aussi violent qu’une bête déchaînée. Alexandre est muni de couleur blanche et verte, Tristan de noir et de jaune. Chacun veut défendre ses couleurs et devenir le futur roi. Ils transpirent de peur et d’angoisse.
            D’un seul coup d’éperon les deux destriers foncent l’un contre l’autre tel deux sangliers. Ils manquent tous les deux leur premier coup et se remettent en place. De nouveau les chevaux s’affrontent, lorsque d’un violent coup de lance Tristan déséquilibre Alexandre qui reste tout de même sur son cheval.
« Tu ne m’auras pas ! cri  Alexandre essoufflé.
– Combats au lieu de parler ! Trêve de plaisanterie, passons aux choses sérieuses ! répond Tristan.
Troisième affrontement, Lucas donne un énorme coup, ce qui fait chuter à terre le heaume de Léo qui est en sang. Dans les tribunes on cri le nom d’Alexandre.
            Quatrième heurt, ils s’élancent à vive allure, tels deux rapaces. Alexandre feinte un coup, Tristan se met en arrière. A ce moment, Alexandre donne un dernier coup fatal ce qui fait  chuter Tristan de son destrier et ce qui donne la victoire à Alexandre et le grade de futur roi.
– Je t’avais prévenu ! s’exclame Alexandre.
– Je t’aurais ! répond Tristan d’une voix faible.
Avec Alexandre comme nouveau roi, son royaume est victorieux à jamais !

 

Bilel-5ème A

 

Publié dans Ecrits 5C

L’interview d’un auteur du Moyen-Age

    Je m’installai à la taverne, et j’attendis. Je vis un homme de taille moyenne que je reconnus aussitôt Henri D’Andely !

 

    « Bonjour Mr D’Andely vous allez bien ?

    – Bonjour ma chère, oui je vais bien mais vous pouvez m’appeler Henri.

    – Très bien, maintenant pouvons-nous passer au questionnaire s’il vous plaît.

    – Bien sûr, répondit-il avec enthousiasme.

    – Alors question numéro une, dis-je en cherchant ma feuille, de quelle origine êtes vous ?

    – Je suis originaire de France et plus exactement de Normandie.

    – Quel genre de poésies aimez-vous ?

    – La poésie à rimes plates, dit-il avec un sourire.

    – Henri pouvez-vous nous parler du poème La Bataille des sept arts  s’il vous plaît.

    – Bien sûr, s’écrie-t-il tout ému, alors j’ai écrit La bataille des sept arts vers 1236-1250, j’ai mis en scène un combat entre deux personnages : Grammaire, et Logique.

    – Intéressant et La Bataille des vins est connue aussi sous le titre de Dit des vins de France.

    – J’ai écrit ce poème peu après 1224, il témoigne du vignoble français de notre époque. Ça se déroule à la table du roi de France Philippe-Auguste qui a envoyé ses messagers rassembler les meilleurs vins blancs.
    – Très bien, merci beaucoup pour toutes ces informations Henri, au revoir !!!

    – Au revoir et peut-être à bientôt, dit-il en fermant la porte de sa taverne. »

 

   Cynthia 5°C