Daigle, C. (2018). Vulner-abilité posthumaine. Con Texte, 2(1), 9-13.

« L’auteure soutient que l’être humain n’est pas un sujet autonome et rationnel, mais un être vulnérable et affecté par les autres êtres et les environnements matériels. Elle propose de penser l’humain comme un transject, c’est-à-dire un être qui traverse les frontières entre le sujet et l’objet, le vivant et le non-vivant, le naturel et le culturel. Elle s’appuie sur les théories du posthumanisme et du féminisme matérialiste pour montrer comment la vulnérabilité peut être une source de créativité et de résistance face aux normes oppressives. Elle illustre son propos avec des exemples de transcorporéité, c’est-à-dire des phénomènes où le corps humain se mêle à d’autres corps ou matériaux » (Résumé automatique)

Daigle, C. (2021). Que nomme le » post » du posthumanisme?. interconnections: journal of posthumanism, 1(1), 62-63.

« L’auteure soutient que le posthumanisme n’est pas une simple négation ou une simple continuation de l’humanisme, mais plutôt une invitation à repenser la condition humaine dans un contexte plus large et plus complexe qui inclut les autres êtres vivants et non-vivants. Elle conclut que le posthumanisme est un projet éthique et politique qui vise à créer des relations plus justes et plus respectueuses entre les différentes formes d’existence » (Résumé automatique)