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Bienvenue chez nous

La nuit de tous les mystères

LA NUIT-Guy de Maupassant

Guy de Maupassant est un écrivain français, originaire de Normandie, de la 2ème moitié du XIXème siècle. Il appartient au mouvement réaliste. Il s’inspire de ses rencontres avec le peuple et a rencontré Gustave Flaubert qui le fera entrer dans le monde de l’écriture et de l’édition. Durant sa carrière il a écrit plusieurs nouvelles (Au champ, Boule de suif,…, et ici La nuit) mais également des romans (Bel Ami, Une Vie…).

Le narrateur adore la nuit. Un soir, il sortit, comme à son habitude, se promener dans la ville de Paris qui était alors animée. Mais il se sentit pas bien et sentit que quelque chose était différent de d’habitude. Tout, autour de lui semblait avoir changé était surtout vide. Il se perdit dans la nuit sombre et cria à l’aide, au secours. Personne ne lui répondit. Il se dirigea vers le quai de la Seine d’où montait une fraîcheur glaciale. Il descendit les marches. L’eau était là, froide, gelée, presque morte. Il n’avait plus de force, il avait faim, il faisait froid et il sentit qu’il allait mourir là. 

La Nuit est marquée par un réalisme minutieux. Les descriptions des personnages, des lieux et des événements sont détaillées et précises, ce qui donne une impression de vérité et d’authenticité à l’histoire.

Maupassant crée une atmosphère sinistre et oppressante. Dans La Nuit, il utilise habilement des éléments tels que l’obscurité, le silence et les bruits mystérieux pour instaurer une ambiance angoissante qui renforce le sentiment d’incertitude et de peur du narrateur. Il construit progressivement l’intrigue, augmentant le suspense au fur et à mesure que les événements surnaturels se déroulent. Cette construction de la tension maintient l’intérêt du lecteur jusqu’à la fin de l’histoire avec la chute.

Dans la littérature et l’art du XIXème siècle plus particulièrement, la nuit est toujours le moment de l’intervention du mystère, du surnaturel voire du dramatique. On comprend alors que Maupassant a choisi ce cadre dans le but de créer du mystère et éveiller la créativité et l’imagination du lecteur.

J’ai choisi cet extrait qui m’est en avant l’idée principal de la nouvelle qui est le mystère et le surnaturel. On peut voir dans cet extrait l’affolement du narrateur qui finira par se laisser emporter par les eaux glacées de la nuit.

Lilia Echatibi 2nde B

Quand l’amour et le pouvoir se rencontrent sur une île lointaine

Carrier de l’auteur :

Pierre de Marivaux était considéré comme l’un des plus grands auteurs du théâtre de la période des Lumières. Il a écrit plus d’une trentaine de pièces de théâtre, ainsi que des romans et des essais.

Parmi ses œuvres les plus connues, on retrouve « Le Jeu de l’amour et du hasard », « Les Fausses Confidences » et « L’Île des esclaves ».

Présentation de l’œuvre :

La Colonie est une pièce de théâtre écrite par Marivaux en 1750. L’histoire se déroule sur une île déserte où deux groupes de personnages échoués se rencontrent : les nobles et les gens du tiers état.

La pièce explore les thèmes de l’amour, du pouvoir et de la nature humaine, mettant en évidence les différences entre les classes sociales et les cultures. Marivaux utilise son style d’écriture caractéristique, le marivaudage, qui consiste a exploiter un langage subtil et une attention particulière aux dialogues et aux jeux de séduction.

Les relations amoureuses et les conflits qui se développent créent des tensions, remettant en question l’ordre établi et la notion de pouvoir. La Colonie nous propose alors une réflexion sur la capacité des hommes à vivre en harmonie avec la nature et entre eux, remettant en cause les hiérarchies sociales et les normes établies.

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La scène 13 de « La Colonie » de Marivaux est un moment clé de la pièce qui met en évidence les thèmes centraux de l’amour, du pouvoir et des différences culturelles. Cette scène est particulièrement caractéristique de l’œuvre et importante pour plusieurs raisons.

Dans cette scène, les femmes et les hommes se rencontrent pour discuter de leur situation sur l’île. Les femmes souhaitent imposer un nouveau mode de vie, tandis que les hommes cherchent à le décliner.

De plus, cette scène révèle de multitude de tensions entre les femmes et les hommes. En ce qui concerne leurs libertés et leurs égalités. Dans cet extrait, les femmes ont une place énorme, on le comprends à l’aide de la monopolisation de la parole par ces dernières, qui cherchent à montrer aux hommes que elles aussi peuvent être égale à eux. à savoir qu’elles sont à la recherche d’une société plus égale et qui ne repose pas uniquement sur les hommes. D’ailleurs, on voit à plusieurs reprise qu’elles désirent à avoir un certain statut dans le quotidien.

En choisissant cette scène, je souligne son importance dans la pièce. Elle illustre la manière dont Marivaux aborde des questions sociales et politiques de son époque, tout en explorant les dynamiques amoureuses et les conflits de pouvoir. Cette scène incarne l’essence de l’œuvre, où les enjeux personnels et les enjeux sociétaux s’entremêlent, offrant ainsi une réflexion profonde sur la nature de l’homme et les relations entre les individus.

Zaid El Warzazi 2nde/B.

L’évolution inversée

Pierre Boulle était un écrivain français ne le 20 février 1912 à Avignon et décédé le 30 janvier 1994 à Paris. Avant de devenir écrivain, Boulle a eu une carrière variée. Il a servi dans l’armée française pendant la Seconde Guerre mondiale. Il a passé deux ans dans un camp de prisonniers en Indochine, ce qui a inspire son roman le plus célèbre, « Le Pont de la Riviere Kwaï » (1951). Ce roman a remporté le Prix Sainte-Beuve et a été adapté avec succès au cinéma en 1957, remportant sept Oscars, dont celui du meilleur film. Boulle est également connu pour son roman de science-fiction « La Planete des Singes » (1963). Cette œuvre a également été adaptée au cinéma plusieurs fois avec succès, donnant naissance à une série de films emblématiques. C’est surtout grâce à « Le Pont de la Riviere Kwaï » et « La Planete des Singes » qu’il a eu une renommée internationale. 

« La Planete des Singes » est un roman de science-fiction fascinant et captivant qui aborde les themes de l’évolution, de la civilisation et de la nature humaine. Située dans un avenir lointain, cette histoire met en scène trois astronautes venant de la Terre qui découvrent une planete habitée par des singes intelligents, tandis que les humains sont réduits a l’état de créatures sauvages. Le livre soulève des questions essentielles sur la condition humaine, l’oppression et la lutte pour la survie.  

L’écriture de Pierre Boulle se fait de manière linéaire qui incluent une narration précise et un style fluide. Il utilise également des éléments moqueurs pour parler de la société actuelle. Il parvient à créer un univers crédible et complexe, et son exploration de la relation entre les humains et les singes est à la fois captivante et troublante. 

Ce qui rend « La Planète des Singes » particulièrement intéressant, c’est sa réflexion sur la nature humaine et sa remise en question la civilisation. Le roman pousse les lecteurs à réfléchir sur les notions d’intelligence, de culture et de pouvoir, ainsi que sur notre place dans l’univers. L’inversion des rôles entre les humains et les singes est un puissant dispositif qui soulève des questions sur notre propre évolution et notre capacité à préserver notre humanité. 

« Donc, sur cette Terre, c’est dans la race humaine que 

l’esprit s’incarna. C’est ainsi et je n’y peux rien. Tandis que les 

singes – j’en suis bouleversé depuis que j’ai découvert votre 

monde – tandis que les singes sont restés à l’état sauvage, ce 

sont les hommes qui ont évolué. C’est dans le crâne des hommes 

que le cerveau s’est développé et organisé. Ce sont les hommes 

qui ont inventé le langage, découvert le feu, utilisé des outils. Ce 

sont eux qui aménagèrent ma planète et en transformèrent le 

visage, eux enfin qui ont établi une civilisation si raffinée que, 

par bien des points, ô singes ! elle rappelle la vôtre. » 

Deuxieme partie chapitre 8 page 125. 

Ceci est un dialogue entre Ulysse Mérou, le protagoniste humain, et le chef des singes, le Docteur Zaius. Ulysse Mérou fait part de sa découverte ou il exprime son emerveillement et sa surprise face à cette réalité inversée où les singes, normalement considérés comme inférieurs, détiennent le pouvoir et les humains sont réduits à un état primitif. 

Cet extrait de « La Planète des Singes » met en avant la différence entre l’évolution des humains et celle des singes. Il souligne le rôle des humains dans le développement du cerveau, l’invention du langage, la découverte du feu et l’établissement d’une civilisation raffinée. Cela remet en question la supériorité de l’espèce humaine et suscite une réflexion sur la nature de l’humanité et son rapport avec les autres espèces. C’est pour cette raison que je le trouve important et que je l’ai choisi. 

Une mise en abyme ou une mise en cime ?

Argan et Béralde

Le Malade Imaginaire de Molière

Présentation de la carrière de Molière :

Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin était un dramaturge du XVIIème siècle. Ce dernier a eu une carrière très riche et a su se créer un nom parmi les plus grands. En 1643, il fonde l’Illustre-Théâtre avec Madelaine Béjart. Il possède plusieurs casquettes, celle d’acteur, d’auteur et de chef de troupe. La compagnie ne tient pas en raison d’échecs à répétition et prend fin en 1645. Quelques temps plus tard, il refonde une nouvelle troupe qui joue en province pendant treize ans. Leurs farces sont très appréciées. En 1658, la troupe regagne Paris. Il obtient le triomphe grâce à la pièce Les Précieuses Ridicules sortie en 1659. Il devient à partir de là, un dramaturge connu et reconnu pour son œuvre. En 1661, il crée la comédie-ballet en compagnie du musicien Lully. Louis XIV est séduit par le travail de Molière et lui donne sa protection, notamment lorsque le dramaturge publie Tartuffe, une pièce qui dénonce l’hypocrisie religieuse. Dans les années qui suivent, il publie des chef-d ’œuvres comme Dom Juan, L’Avare, Le Misanthrope, ou encore Le Bourgeois Gentilhomme.

Présentation du Malade Imaginaire :

Le Malade Imaginaire de Molière est une comédie-ballet créée en 1673. Cette pièce évoque divers sujets comme le Mariage, ou encore la Médecine. Le Malade Imaginaire est une satire de cette dernière. Le Malade Imaginaire est un spectacle total incluant la danse, le chant et l’art dramatique. Les caractéristiques d’écriture sont la présence de différents types de comiques, comme le comique de mots, de répétition, de caractère, et de situation, il y a également l’intégration de théâtre dans le théâtre, et on constate dans la pièce la capacité de Molière à répondre à ses détracteurs avec sa célèbre mise en abyme sur son opinion sur la médecine.

Présentation de l’extrait :

L’extrait choisi se trouve dans la scène 3 de l’acte 3. Il s’agit d’une discussion entre Béralde et Argan sur la médecine. On y trouve la fameuse mise en abyme mise en scène par Molière pour répondre à ses détracteurs. Jean-Baptiste Poquelin se justifie en clarifiant le fait qu’il ne se joue pas des médecins mais du ridicule de la médecine. Cet extrait est important car il met en valeur l’opinion de Molière sur la médecine et lui permet de tracer la ligne entre la prétention du savoir de la médecine et la réelle maîtrise de cette dernière. On comprend également que, dans la pièce, Béralde symbolise la parole de Molière. Molière se sert de cette scène pour défendre le théâtre et la capacité que celui-ci a pour remettre en question la société. Dans cet extrait, le comique de mœurs est employé.

Schneider-Reine Eva-Victoria

Les échos d’amour : L’œuvre captivante de Luis Sepúlveda

Luis Sepúlveda, écrivain chilien, a marqué le monde littéraire grâce à sa carrière prolifique. Ayant commencé comme militant politique, il s’est exilé en Europe en raison de son opposition à la dictature de Pinochet. Parmi ses œuvres les plus connues figurent « Le Vieux qui lisait des romans d’amour », « Histoire d’une mouette et du chat qui lui apprit à voler » et « Le Monde du bout du monde ».

Publié en 1989, « Le Vieux qui lisait des romans d’amour » est un roman emblématique de Luis Sepúlveda. Il nous plonge dans l’histoire d’Antonio José Bolivar, un trappeur vivant au cœur de la forêt amazonienne, dont la passion pour la lecture de romans d’amour devient son refuge. Ce livre explore des thèmes profonds tels que l’amour, la solitude, la résistance et la relation de l’homme avec la nature. La prose simple mais poétique de Sepúlveda captive les lecteurs en capturant la beauté de la nature et les émotions humaines avec une grande sensibilité.

Cet extrait se situe au début du roman, aux pages 12-13. Il révèle la sagesse acquise par Antonio José Bolivar et la vision de l’auteur sur l’amour. La simplicité de ces réflexions exprime la profondeur des émotions et annonce les thèmes clés qui seront développés tout au long de l’œuvre. Cet extrait est essentiel car il incarne la vision humaniste de Sepúlveda et met en évidence sa capacité à exprimer des vérités universelles de manière simple mais profonde. Il offre également un aperçu de l’évolution du personnage principal et des thèmes centraux de l’œuvre.

Team Diafoirus ou Cléante ?

Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, étant un dramaturge, satiriste, poète et acteur de théâtre a réalisé plusieurs projets et œuvres lors de sa carrière. Tout d’abord, en 1658, soutenue par le frère du roi Louis XIV, Molière fonde une troupe qui marquera sa carrière qui s’intitule : « La Troupe de Monsieur » et plus tard : « La Troupe du Roi ».

Ses œuvres les plus connues sont des comédies satiriques qui critiquaient la hiérarchie de l’époque tel que « L’École des femmes », « Le Tartuffe », « Le Misanthrope » ou « L’Avare ».

Hélas, son succès n’a pas réussi à le protéger de la controverse ou censure sur certaines de ses œuvres comme ‘Le Tartuffe’.

Les pièces de théâtre de Molière marquent la littérature française jusqu’à ce jour et sont étudiées annuellement dans les lycées comme sa fameuse comédie : « Le Malade imaginaire », qui à son tour m’a marqué et plu cette année.

‘Le Malade Imaginaire’ est une comédie satirique de Molière qui dénonce l’hypocondrie, l’hypocrisie, les mariages forcés et critique la médecine de l’époque.

Parmi ses caractéristiques d’écriture, cette comédie contient un air satirique fortement présent ainsi que du comique de situation ou de mots tel que le quiproquo ou de l’humour scatologique.

En étant une des pièces les plus connues de Molières aujourd’hui, elle est également sa dernière pièce écrite qui marque ses derniers moments de vie. D’après certains, le personnage principale, Argan, peut-être une représentation de Molière lui-même, en lien avec sa condition physique dégradée ainsi que le fait d’avoir été joué par Molière en personne.

Enfin, l’extrait suivant provient de la scène 5 de l’acte 1 à partir de : ‘Ah ! Mon père, que je vous suis obligée de toutes vos bontés.’ à : ‘… que je connais que vous avez parlé d’une personne, et que j’ai entendu une autre.’

C’est un extrait qui retrouve Angélique, Toinette et Argan lors d’un éloge unanime entre eux, mais qui finit par la découverte d’un quiproquo, ce qui le rend important et indispensable dans l’œuvre et permet de lancer l’intrigue de la pièce.

-ELOUASBI Malak 2de B

« La Planète des Singes » : le monde inversé

Cette année, nous avons eu l’occasion d’explorer plusieurs lectures intégrales fascinantes. Parmi eux, j’ai choisi la « Planète des singes » de Pierre Boule en raison de la richesse de ses thèmes et de sa profonde analyse de la nature humaine. Pour mieux comprendre ce travail, je passe en revue les cours et activités que nous avons menés autour de ce livre. je vais vous présenter une analyse approfondie de « La Planète des Singes », en prenant compte sur la carrière de l’auteur, les caractéristiques d’écriture et l’importance de l’œuvre. 

Pierre Boulle est un écrivain français reconnu, dont la carrière a été marquée par des romans de science-fiction. Né en 1912, Boulle a été un soldat pendant la Seconde Guerre mondiale avant de se tourner vers l’écriture. Parmi ses œuvres les plus connues, on trouve « Le Pont de la Rivière Kwaï » et « la planète des singes ». En 1953, il a remporté un prix prestigieux. 

« La Planète des singes » est un roman de science-fiction publié par Pierre Boulle en 1963. L’histoire se déroule dans un futur lointain où des explorateurs terriens découvrent une planète habitée par des singes intelligents et dominants, tandis que les humains sont réduits à l’état d’animaux primitifs. Le roman explore des thèmes tels que l’évolution, la société, la science et la condition humaine. 

Les caractéristiques d’écriture de Boulle dans ce roman comprennent une narration captivante et un style fluide. Il utilise également des éléments pour critiquer les comportements humains et explorer des idées philosophiques profondes. 

Permettait-moi de vous présenter un extrait de « La Planète des singes » : 

« Il m’arrive de penser que la planète Terre a été envahie par une autre planète et que les envahisseurs en ont subi les mêmes conséquences. Tantôt je songe que les envahisseurs ont péri dans des cataclysmes naturels, ou qu’ils se sont entredévorés, ou qu’ils se sont entretués dans des guerres sanglantes, ou encore qu’ils ont péri d’un mal incurable et ils ont disparu de la surface de la Terre, laissant les hommes survivants retomber dans l’animalité. » 

Cet extrait se trouve au début du roman, lorsque le narrateur, Ulysse Mérou, réfléchit à la possibilité que d’autres planètes aient subi une invasion similaire. Cet extrait est représentatif de l’œuvre car il met en évidence la thématique de l’évolution inversée, où les humains sont réduits à un état primitif et les singes deviennent dominants. Il suggère également la fragilité de la civilisation et la possibilité que l’humanité puisse suivre le même destin que d’autres espèces extraterrestres. 

J’ai choisi cet extrait car il illustre le concept central de « La Planète des singes », à savoir l’inversion des rôles entre les humains et les singes. Il pose également des questions sur l’avenir de l’humanité et la nature de la civilisation. De plus, cet extrait introduit les réflexions philosophiques présentes tout au long du roman, contribuant ainsi à sa profondeur et à sa portée thématique. 

« La Planète des Singes » de Pierre Boulle est un roman qui attire le lecteur à réfléchir sur la condition humaine. J’espère que cela vous permettra de bien comprendre le roman.

La planète des singes: L’étrange rencontre sur la Planète.

Lorsque j’ai ouvert le livre « La Planète des Singes » pour la première fois, je ne m’attendais pas à être complètement absorbé par un monde aussi fascinant, je me suis complètement plongé dans l’histoire captivante d’Ulysse Mérou. Dans cet article, je vais vous présenter une analyse détaillée d’une partie spécifique du livre « La Planète des Singes ».

Quelques mots sur l’auteur :

Pierre Boulle était un écrivain français né le 20 février 1912 à Avignon. Il est connu pour ses livres de science-fiction et d’aventure. Avant d’écrire, il a participé à la Seconde Guerre mondiale en tant qu’ingénieur dans l’armée française.  

Deux des livres les plus connus de Pierre Boulle sont « La Planète des Singes » (1963) et « Le Pont de la rivière Kwaï » (1952). « La Planète des Singes » est un célèbre livre de science-fiction, et « Le Pont de la rivière Kwaï » est un livre qui a été adapté en un film qui a remporté de nombreux prix, dont l’Oscar du meilleur film.  

Présentation de l’œuvre:

L’œuvre choisie est « La Planète des Singes », une histoire qui se passe sur une planète où les singes sont plus intelligents que les humains. Les singes dominent la société, tandis que les humains sont traités comme des animaux. Ce livre parle de l’intelligence et de l’évolution. 

L’écriture de Pierre Boulle est facile à lire. Il décrit bien les personnages et les endroits, ce qui nous aide à imaginer l’histoire. Ce qui rend ce livre intéressant, c’est qu’il nous pousse à réfléchir à des questions importantes sur la différence entre les espèces et sur la façon dont nous traitons les autres êtres vivants. 

L’extrait que je viens de lire se trouve au début du livre « La Planète des Singes » de Pierre Boulle. Dans cette scène, le personnage principal fait une découverte étonnante sur une planète inconnue. Il remarque un singe, un gorille, qui est habillé comme un être humain. Il remarque un gorille, qui est habillé comme un être humain. Ce qui est étonnant, c’est la manière naturelle dont le singe porte ses vêtements, donnant l’impression qu’il est habillé normalement, comme un chasseur lors d’une grande chasse officielle. 

Cet extrait est essentiel car il présente l’idée principale du livre : l’inversion des rôles entre les humains et les singes. De plus, la manière dont Pierre Boulle décrit les vêtements du singe est vraiment détaillée. Ses descriptions précises créent une image vivante et réelle dans la tête des lecteurs.  

Justification de mon choix:

j’ai choisi cet extrait du début du livre « La Planète des Singes » car il présente un moment clé de l’histoire où le personnage fait une découverte surprenante. Cela crée immédiatement de la curiosité chez les lecteurs, les incitant à poursuivre leur lecture pour en savoir plus. De plus, cet extrait établit le thème central de l’œuvre, qui est la rencontre entre les humains et les singes. 

« La Planète des Singes » est un livre qui m’a passionnée dès le début. L’histoire était très intéressante et pleine de surprises. J’ai vraiment appréciée la façon dont les rôles étaient inversés entre les humains et les singes, cela m’a fait réfléchir sur la façon dont nous traitons les autres et sur les inégalités.

Sara Lahlou

La poésie…

la poésie c’est mettre en musique des mots .Symphonie,harmonie…accordance,alliance, tous s’accordent délivrant doléance ou lettre à toute oreille prete à l’entendre.

« Vous voyez l’ombre,et moi je contemple les astres,chacun à sa façon de regarder la nuit »

-VICTOR HUGO-

lilia echatibi 2nde B

La poésie pour moi…

Hervé Bazin : « La poésie m’est nécessaire. C’est ma zone de gratuité, c’est ma zone de pleine liberté. Le roman vous impose un compte-rendu vous enferme dans le réel et dans l’extérieur alors que la poésie ce n’est pas un ramassage autour de vous, c’est un ramassage intérieur, c’est une découverte croissante. »

La poésie pour moi c’est la faculté de pouvoir s’exprimer pleinement, de façon captivante, sans autocensure et de la manière la plus diplomatique possible. C’est l’art de travailler les mots comme on travaille l’ébène. Le but étant de transmettre ses valeurs de paix.

Film : Le cercle des poètes disparus

Le train de la vie :

« A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents.
Et on croit qu’ils voyageront toujours avec nous.
Pourtant, à une station, nos parents descendront du train,
nous laissant seuls continuer le voyage…
Au fur et à mesure que le temps passe,
d’autres personnes montent dans le train.

Et ils seront importants : notre fratrie, amis, enfants,
même l’amour de notre vie.
Beaucoup démissionneront (même l’amour de notre vie)
et laisseront un vide plus ou moins grand.
D’autres seront si discrets
qu’on ne réalisera pas qu’ils ont quitté leurs sièges.
Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d’attentes,
de bonjours, d’aurevoirs et d’adieux.
Le succès est d’avoir de bonnes relations avec tous les passagers
pourvu qu’on donne le meilleur de nous-mêmes.
On ne sait pas à quelle station nous descendrons.
Donc vivons heureux, aimons et pardonnons !
Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train,
nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs a ceux qui continuent leur voyage…
Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel de ce voyage fantastique.
Aussi, merci d’être un des passagers de mon train.
Et si je dois descendre à la prochaine station,
je suis content d’avoir fait un bout de chemin avec vous !
Je veux dire à chaque personne qui lira ce texte que je vous remercie d’être dans ma vie et de voyager dans mon train. »

Jean D’Ormesson

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